Le blog de 22ansapprentiesoumise

Vendredi matin et depuis la veille mon oncles m’avait envoyé des messages toujours avec la même demande. Comme je vous l’avais dit je ne souhaitais pas lui céder. Je ne répondais donc pas a ses sollicitations et ses messages d’autant que mon petit amis etait rentée pour le Weekend .

 Et c’est bien ce qui ma fais craquer car, je pense qu’avec mon petit ami il y a s quelque choses de casser, ça façon de me baiser en fait ne me procure aucune sensation particulière ,

Je ne précise rien à voir avec mes sentiments pour lui, simplement sexuellement parlant je m’ennuie.

Et ce matin quand il est parti il devait être 5 heures, j’ai eu une grosse envie de me faire baiser comme la chienne que je suis devenue. Mon maitre je le sais est indisponible jusqu’à mercredi jour où j’ai rendu vous avec lui. Éric est lui partit en vacances avec sa famille.

J’ai donc attrapé mon iPhone et regarder mes SMS. Là je me suis mise à lire les messages de mon Oncle Antoine . A ce moment je lui ai envoyée une réponse lui disant . Si tu le veux toujours c’est maintenant je t’attends chez moi . Je sais que mon oncle est une lève tôt et qu’il gère son temps comme il le souhaite et qu’il se rendrait disponible.

Et j’avais raison à peine vingt minutes plus tard il etait là.   Juste vêtue d’un tee-shirt long je l’entrainait dans ma chambre par la main et m’allongeais sur mon lit . Baise-moi, baise fort lui dis-je

Mon oncle se mit nu et la queue déjà dure, s’installait entre mes cuisses et me pénétrer directement,

J’insistais : Baise-moi, baise-moi comme j’aime, dis-moi des choses. Il se mit à me baiser de plus en plus fort .Ses mains posées sur mes seins qu’il pressait, il commençait à me traiter ,de traîner et de putain et j’en avais besoin.

D’un coup il sortait de moi pour venir se positionner au-dessus de mon visage, je commençais à lui lécher les couilles et la bite. Il se penchait et en 69 nous faisions mutuellement du bien.

Je le suçais et lui caressais et il me rendait l’appareil en écartant le plus possible ma chatte pour y fourrer ses doigts et sa langue. Putain que c’etait bon, de temps a autre l un de ses doigt venait s’enfoncer dans mon anus et il me demandait d’en faire autant.

Nos bouches et nos sexes mélangeaient, je commençais à frissonner, mes gémissements se rapprochaient. Je mouillais de plus en plus. Et jus une première jouissance et après la frustration que j’avais eu en faisant l ‘amour avec mon petit ami qui ne m’avais procuré aucun plaisir . Je ne pouvais qu’être satisfaite mais j’en voulais encore.

Tonton Antoine me retournait comme une crêpe et m’allongeais sur le ventre en me calant un oreiller sous l’abdomen.  Il écartait mes deux fesses et sa queue bien dure pénétrait mon cul. Et pendant plus de 5 minutes il m’enculait, sans oublier les insultes qui font de moi ce que j’aime. Au bout de ses longues minutes je sentais le jus chaud de sa bite inonder mon cul.

Nous restions allonger quelque instant et je lui proposais unes cigarettes, Que je lui proposais de fumer en prenant un café.

Nue tout les deux accouder à l’ilot centrale de ma cuisine fumant et buvant notre café.  Il me demandait ce qui m’avait fait changer d’avis .

Je lui répondais. Que j’avais une furieuse envie de me faire baiser comme une chienne. a ce moment il posait sa cigarette dans le cendrier. Me soulevais pour me faire m’assoir sur le plan de travail, écartait mes jambes pour me baiser de nouveaux. Je me sentais bien pute, je me sentais chienne il me baissait fort pendant que je finissais ma clope. La-il éjaculais dans mon minou alors que je jouis de nouveau également.

Nous avions passé une partie de la matinée ensemble à baisser. Me sentant honteuse mais satisfaite j’appelais Monsieur William pour lui raconter. Évidement il me faisait un peu la morale mais me dis que maintenant il etait certain que ma vraie nature de salope etait bien la et que je ne pourrait plus aller contre .Mais que mercredi je serait punie comme il se doit .