Le blog de 22ansapprentiesoumise

prostituata

Pres de deux mois étaient passé j’étais retournée à l’internat et je ne rentrais que tous les quinze jours évidement ceux ou maman travaillant de nuit je devais m’occuper de ma petite sœur. Et ou par la même occasion Maurice couchait avec moi ou plutôt devrais je dire se vidait les couilles car je n’étais pour lui que ça. Les autre Week-end je les passait chez ma grande mère la seule personne qui me montrait vraiment de l’affection.

Les mercredis après-midi j’en profitais en générale pour sortir avec des copines. Pour aller au cinéma ,nous promener ou boire un verre au café.

Et un mercredi alors que je sortais de lycée avec un groupe des copines, je vis Maurice il saluait mes amies et m’entrainait dans sa voiture et démarrais.

Je lui demandais ce qu’il se passait et me dis j’ai besoin de toi ! tais-toi et obéie. Il me demandait ensuite de me changer tandis qu’il conduisait en me montrant un sac.

Je me changeais. Il avait récupéré dans ma chambre une mini-jupe en cuir un chemisier a carreaux rouges qui se nouait en bas et des talons ,il avait acheté une paire de bas noir . Il me demandait également de ne pas garder mes survêtements .

Je l’informait également que depuis plusieurs jours j’avais des nausées et des vertiges il me répondait que ce n’etait pas son problème. Bizarrement je m’attendais a cette réponse alors je l’informais que je n’avais pas eu mes règles. Il me répondit que cela ne changeait rien.

Je savais pertinemment ce qui allait m’arriver, Pour ceux qui ne connaissent pas Bordeaux il avait a cette époque une rue connue pour ses prostitués et ses cafés plus ou moins louche . La rue saint Catherine . Et bien que je sois naïve enfin un peu moins je voyais bien ou il me conduisait.

Il se garais et me menais à l’étage d’un vieux bâtiment qui abritait un bordel.

Maurice parlait avec un homme, puis il me présentait la voici je repasse la prendre vendredi soir.

Vendredi soit ! m’esclaffais-je ! Mais j’ai école et maman. Là il me dit de ne pas m’inquiéter pour ca qu’il avait fait en sorte que personnes ne pose de question.

Il rajoutait que je devais bien travailler pour payer sa dette . Maurice etait joueur et semble til I avait perdu une grosse somme qu’il ne pouvait pas rembourser et j’allais devoir me prostituer pour payer sa dette.

Il partait me laissant aux mains de l’homme et tu femme il me dévisageait et me montrait une chambre . Et me dire que j’allais officier en ce lieux il me montrait derrière un paravent un lavabo, des wc et des serviettes . il me donnait tout un tas de consignes. 

Puis la femme sortis me laissant seul l’homme il voulu me prendre mais dans un geste de panique je le repoussais, alors il me frappait un grand coup de poing sur le cotè droit de mon ventre et une grande claque sur le visage.  Il m’attrapait par les cheveux et me tirais jusque sur le lit. 

Il écartait mes jambes et me violait . Une fois fait il descendait en me tenant par le bras dans la rue.

Il fis signe a une autre fille et lui dit de me surveiller, J’avais peur la fille une autre prostituée tentait de me rassurer.

Deux hommes , des militaires s’approchaient. Laurence c’etait le nom leur donnais le tarif c’etait 50 francs la pipe ou 100 francs l’amour. Nous montions et dans la petite chambre après que le militaire mais donné l’argent , il me baissait après une courte fellation à cette époque on ne parlait pas encore du sida et les rapports se fessait nature sans préservatifs, ce premier client passé, je redescendais regardant à droite et à gauche une possibilité de m’évader, et alors que je commençais à m’éloigner j’étais rattrapé par un autre homme un grand chauve avec des lunettes fumé et un manteau de cuir marron. Il me disputait et me dis de reprendre le turbin.

J’enchainais les passes sans y trouver de plaisir, soumise et a purée. Jusqu’a ce qu’un maghrébin m’aborde,  je le repoussais mais il insistait m’agitant sous le nez une liasse de billet.

Je ne voulais pas qu’il me touche sans doute un peut de racisme primaire, Mais voyant le chahut l’homme chauve qui s’appelait Guy intervenait. Je pensais qu’il allait éconduire, mais non il me menaçait d’une raclée si je ne montais pas avec lui.

L’arabe me payait et me demandait de me mettre nue, j’obéie il me paraissait sur tout le corps me donnant des frissons, a la suite de quoi nous passion a un 69 et je vais être honnête jusque-là personne ne m’avait aussi bien léché et masturbé, et la mon clitoris excité par sa langue je jouissais.

Puis il me pris en missionnaire tout en massant et embrassant mes seins, je prenait une seconde fois mon pieds, j’entourais alors mes jambes autour de lui et lui demandait de m’en donner plus. C’était trop bon.  Dommage qu’il fini par jouir car j’en voulait encore et je restais sur ma Fain.

J’enchainais encore six ou sept clients avant que l’on me donne la permission d’aller dormir après une petite toilette.  Mais avant ça je dus donner le millier de francs gagné à la mère maquerelle,

Le jeudi matin je me réveillait avec de nouvelle nausée, mais je dus tout de même retourner tapiner. Sous la surveillance des autres filles et de Guy.

Le matin fut relativement calme , je pu même aller boire un chocolat chaud avec Laurence dans le bar d’en face.

Mais arriver midi les choses s’accélérait, sans doute la faite que je sois la plus jeune des filles et nouvelle j’avais fait une quinzaine de client dans la journée.  Je commençais même a y trouver du plaisir avec certain client. 

Le vendredi arrivait vite, il etait 18h00 quand Maurice vient me chercher. Nous allions voir le tôlier a qui je remettait ma recette et les compte fait j’avais gagné 3650 francs. Maurice en avait perdu un peut plus de 9000.

Je devais alors me prostituer durant encore quelques jours. Mais pas se Week end je devait rentrer chez moi Maurice avait été chercher mes affaires a l internant et remis un certificat de maladie a mon lycée prétextant une dépression j’etait exemptée d’école pendant près de 20 jours .

Les semaines suivantes j’avais pris un peux plus d’assurance et je commençais à être mal vue par certaines filles qui jalousaient l’argents que je rapportais. 

Et je dus en payer le prix puisque d’eux d’entre elle alors que je descendais après une passe virent me menacer et me frapper, Heureusement Laurence les mettaient en fuite.

Cette altercation venait de me redonner l’envie de fuir et le lendemain j’échafaudais un plan, j’avais remarqué que le bistro ou l’on allait boire un coup ou nous soulager avait une porte qui donnait elle même dans allée qui conduisait dans la Paul Bert. Ou je pourrais prendre un bus et rentrer chez ma grand-mère.

Malheureusement mon plan échouait car a peine avais-je franchit la porte que le patron du bar donnait l’alerte et j’étais poursuivit par GUY . Il me mit une claque magistrale et m’emmenait auprès de la tôlière. Là j’expliquais que je ne voulais plus faire le trottoir et que Maurice n’avait cas payer ses dettes tout seul .

Elle se mit en colère et ordonnait à Guy de me conduire à la cave, ou je l’on m’obligeait à me mettre nue. Attachée et un bâillonnée on me jetait au sol . Et je restais la plusieurs heures sans boire ni manger .

Je finissait par m’endormir a même la terre battu. Je ne sais combien de temps. Mais je fus réveillée par la maquerelle et Guy .

Alors tu retournes au turbin me demandait elle ! je lui dis que non de la tête. Guy me m’attrapait par les cheveux et me balançait une claque après m’avoir déplacée a il me sodomisait a la suite de quoi quand il eut jouis une dizaines d’hommes me sodomisait a leur tour . et ils m’abandonnaient encore une fois seul sans rien a boire ni manger .

la je sentais que j’avais fais une connerie et que si je ne voulais pas crever dans cette cave je devait obtempérer, le temps de mon séjours qui a du durer entre 24 et 48 heures je fus violée à la chaine. Plusieurs fois certain m’avaient même urinés dessus.

Quand la Maquerelle redescendue je me pliait a ses exigence, et je remontait a l’étage ou je pus me doucher et me sustenter et ou je pus dormir une nuit entière . J’appréciait d’autant plus que mes nausées devenaient de plus en plus fréquentes.

Le lendemain je retournait donc tapiner mais alors que jusqu’a présent j’avait garder mon sourire la je ne l’avait plus, je passait de la rue à la chambre enchainant les passes.

Quant à l’alentour des 18h00, Guy et un autre homme virent me chercher en voiture ou je fus conduite dans un de ses foyer pour travailleurs immigrés ou pendant la soirée je me fessait prendre a la chaine par des Noirs des turque, des maghrébins et même un asiatique.

Et quand je dis a la chaine c’etait vraiment ça pour 50 francs que Guy et son acolytes récoltaient devant la porte qui restait ouverte des gens attendaient leur tours. Je ne les ai pas comptè mais je pense qu’entre 40 et 50 immigrés passaient entre mes cuisses.

J’avais pris mon pied c’est certain, et j’etait tellement remplis de sperme que lorsque je me relevais pour partir je dégoulinais sur les deux cuisses, Mon sexe etait gonflé et me fessait un peut mal. Heureusement je regagnais ma chambre et me douchais je m’endormais jusqu’au lendemain.

Les jours suivant docile et soumise je tapinais sans histoire jusqu’au vendredi, La dette de Maurice etait payer et les tôliers me redonnais même près de 400 francs de surplus, Que Maurice me volait aussitôt dans la voiture.

Je lui disais tout de même que la prochaine fois il n’aurait qua vendre son propre cul se qui me valut une nouvelle claque. 

Je ne pleurais plus, mais ma haine augmentait. Malgré tout avant de rentrer il me sautait sur la banquette arrière de sa Talbot me rappelant à quel point j’etait une truie et une pute.

Nous reprenions la route quand mes nausées reprenaient, c’est sûr j’étais enceinte, et il allait falloir que j’en parle à maman car je ne pouvais garder l’enfant je n’avais que 16 ans et malgré mes tentatives d’en parler a Maurice celui ci ne voulait rien savoir .

Il me rappelait que si je disais à ma mère qu’il m’avait engrossée lui il n’hésiterait pas montrer les photos et de dire à tout le monde que je me prostituais . J’étais coincée

Mar 22 mar 2022 2 commentaires
Fabienne, t'es née chienne et tu le resteras. Preuve en étant à ton âge tu continues à prendre ton pied à te remémorer les instants où tu faisais la pute.

On veut voir des images. Montre nous ce qu'on a raté. J'aurais pour ma part apprécié te faire le plein, dans le cul.
R. - le 24/03/2022 à 01h19

iL est extrement  surprenant que tu utilise les meme mots que mon beau pere de l époque qui me disait que j'etais née pute et pour assouvir les desirs des hommes .

 

BBLOVE26
Monsieur R c'est vraiment pas cool ce que vous dites a fabienne la et si vous étiez en face de moi ça se passerait pas comme ça.....
Sébastien - le 24/03/2022 à 14h42

Merci de vouloir prendre ma defence, Mais il na pas tout a fais tord 

BBLOVE26