Le blog de 22ansapprentiesoumise

En ce samedi 9 avril , Monsieur William me conduisait du côté de Clermont ferrant sans bien sur m’avoir donné aucune information, seul ma tenue m’avait été imposée.

Rien une simple robe moulant noir plutôt longue et ouverte par des lacets sur le côté monsieur William m’avait gâté. La robe etait très belle. Il avait même pris la peine de m’offrir une jolie paire de chaussures à talons qui donnait à mon mètre soixante-deux quelques centimètres de plus.

Evidement aucun sous-vêtement ne m’etais permit. La route etait assez longue et il demandait de lui raconter en détail la soirée passée avec mon oncle et ses deux amis joueurs de carte. Et quand je dis tous les détails c’etait vraiment tous jusqu’au gout de leurs sperme.

Bien sûr ceci l’existait et il dut faire un arrêt sur une aire de repos ou je dus le branler et le sucer, devant même me délecter de son sperme tiède tandis qu’il me traiter de trainée et pute. Je pensais même que j’allais devoir soulager quelques messieurs à cet endroit mais non ! nous reprenions la route.

Il etait pas loin de 18 heure, et nous arrivions devant une sorte de vielle station essence,  mais nous ne nous arrêtions pas pour prendre de l’essence. Monsieur William me m’ouvrit la porte de la voiture pour me conduire à son bras à l’intérieur de la station ou il demandait Victor.

L’homme derrière le comptoir, nous fit signe qu’il etait derrière et après avoir reçu l’agrément de ce dernière nous nous y rendions.

Victor semble t’il etait le patron de ce garage, mais lui et William ne semblaient pas vraiment se connaitre.  Mais je savais pourquoi j’etait la, et il ne fallut pas longtemps pour qu’en bonne chienne soumise je me retrouve assise sur un tabouret autour duquel etait placer quatre grandes planches trouées à diverse hauteur.

Là je reçu un ordre :  Branle et suce toutes les queues que tu vois ! Un premier entrait dans le trou et sans attendre je la prie en bouche, puis une deuxième , puis encore un autre et une autre un peut plus haut.

Certaines entraient d’autres ressortaient. Je passais près de quarante minutes à sucer des bites sans voir a qui elle etait .L’un d’eux sans doute un peu plus existé éjaculait même sur mon visage.

Moi aussi je commençais à être exister et je voulais jouir et la bien que j’aime sucer je n’en avais pas vraiment.

Victor demandait aux personnes présente de reculer et le paravent fut enlever.

Monsieur William me demandait de me lever et il fit glisser ma robe à mes pieds dévoilant à la dizaine de personnes présentes ma nudité.

Evidement j’ai maintenant l’habitude de m’exhiber et cela ne faisait qu’augmenter ma libido.

Puis il me conduit sur le capot d’une voiture ou penchée en avant il m’attachait les mains au rétroviseur.

Puis il revient vers moi plus précisément derrière moi pour m’écarter les fesses,

 Voyez cette croupe, Elle n’est pas belle, il ne vous fait pas envie sont petit trou ?  Monsieur William avait donner le ton.  Et tous un par un me sodomisaient jusqu’a ce qu’ils me remplissent mon anus de leurs foutre qui finissait par dégouliner jusqu’à mon minou qui lui ne reçut aucune bite.

Et la je la sentais bien…….la frustration, seul la sensation du sperme qui coulait me procurait un peu de bienêtre. Mon cul bien inondé j’etait enfin détachée et Monsieur William me demandait de me rhabiller. Et sans même dire au revoir nous regagnions la voiture .

Au bout de quelques kilomètres après avoir rejoint l’autoroute direction Lyon William me demandait d’ouvrir la boite a gang et de sortir l’objet se trouvant une boite .

Il s’agissait d’un œuf vibrant. Et comme il me l’ordonnait je le plaçais à l’intérieur de mon vagin. Et immédiatement William en prenait le contrôle grâce a une petite télécommande.

Evidement je me mettais immédiatement à mouiller mon plaisir montant.  Mais il avait l’art d’arrêter l’œuf ou de moduler la puissance des vibrations à sa guise s’arrangeant pour faire en sorte que mon plaisir ne vienne jamais.

Et ce jeu continuait tout au long du trajet qui nous menait à son domicile. Même le repas au restaurant n’échappait pas a quelques vibrations qui ne manquais pas de me faire gesticuler comme un asticot au bout de son hameçon .

J’espérais à chaque fois qu’il me laisserait prendre mon pied mais non !  Il jouait avec mon plaisir avec un certain sadisme.

Enfin ! Nous étions arrivées.  Et j’espérais que William m’honorait et me permettrait de jouir. Arriver nous allions directement au lit.

Nue toujours l’œuf en moi, il m’attachait les mains aux barreaux de son lit. il s’installait et me souhaitait une bonne nuit.

Je rageais de ne pas avoir eu mon plaisir et compris que mes liens étaient la pour que je ne me masturbe pas ma jouissance m’etait interdite.

Je fini par m’endormir mais son jeu vicieux repris a ce moment, l’œuf se mit à vibrer en moi. Mais s’arrêtait dès que je montais. Ce petit jeux durait jusqu’aux petit matin .