Le récit des copines

Mercredi 30 mars 3 30 /03 /Mars 23:35

Il se passait une semaine et une nouvelle période de petite vacances m obligeais a rentrer a la maison mais heureusement j’irais passer deux jours chez ma grand-mère avec qui j’entretenais des liens fusionnelle. C’etait la seule personne avec ma petite sœur avec il y avait de l’amour.

Et sans dire avec qui et comment j’avais couché je dis à ma grand-mère que je pensais être enceinte. Elle me proposait alors de consulter son médecin qui après un teste confirmait mon état. Heureusement nous étions dans les années 80 et l’avortement etait possible, d’avorter.

 Toutefois il fallait l’autorisation parentale, je prenais ma décision et le soir même en parlait a maman. Et elle ne se privait pas pour me mettre une claque magistrale et de me traiter de catin et trainer.  Puis il insistait pour savoir qui étais le père, évidement Maurice qui étais la ne brillait pas .

Mais je ne dis rien inventant un petit ami avec qui j’aurais eu une seule relation et que je n’avais pas revue.  Sans me demander mon avis elle me dit que j’allais subir un avortement évidement c’est ce que je souhaitais .

Le soir venue, maman au travail ma petite sœur chez sa copine qui vivait deux étages en dessous, Maurice me pris de force sur le divan familiale avant de m’avertir que je n’avais pas intérêt à dire à ma mère ce qu’il me faisait subir.

Evidement il me sorti l’enveloppe contenant les photos qu’il avait pris.

J’allais me coucher pensant que Maurice me laisserait tranquille mais ce ne fut qu’une douce illusion se dernier m’abusant toute la nuit et me faisant subir diverses expériences, en me pénétrant en autre avec une courgette sur la quelle il avait mis un préservatif et en enfonçant entièrement sa main dans mon vagin pour le dilaté. Il me le disait qu’il allait arracher le fœtus et me le faire bouffer .

Puis il me sodomisait avec force avant la aussi de tenter de me dilater l’anus avec sa main. Mais mes cris de douleurs l’empêchaient d’aller plus en avant mais pour se venger, il me tabassait et m humiliait. Puis il me violait de nouveau.

Après je vous l’accorde les humiliations et les brimades le viol répétitif me procurait un immense plaisir j’aimais être un objet de plaisir et une simple poubelle a sperme mais je détestais ce mec.

Le soir suivant, je savais qu’il recommencerait mais je ne m’attendais pas a ce qu’il avait préparé, maman l’avait autoriser a inviter des collègues de travail a diner mais comme elle travaillait le soir elle me laissait seule avec les 3 hommes.

 Ma petite sœur heureusement elle était de nouveaux chez son amie car je suis certaine qu’ils auraient abuser d’elle aussi.

A peine ma mère partie, Maurice m‘obligeait a me mettre nue devant ses invités et a me toucher devant eux,  il m’obligeait a me doigter et me masturber avec le même légume que la veille jusqu’a ce que je jouis pour ce faire il m’avais installer sur le divan, tandis qu’eux toujours a quelque mètres a table mangeaient et buvait en me regardant et m insultant.

Au bout de trois quart d’heure je fini par jouir, Maurice m’obligeait a garder la courgette dans mon vagin. Puis il baissait son pantalon avant de me mettre sa queue dans la bouche pour que je le suce devant ses amis.

Et avec l’une de ses mains il prit le légume pour me baiser avec jusqu’a ce que celui-ci se brise.

A ce moment il fit signe a ses amis de nous rejoindre et il lassait la place les deux hommes me baissaient pendant plus d’une heure, aucun de mes orifices ne fus épargné, ni les coups les deux hommes me traitaient comme la dernière des trainer. 

Bien sûr je jouis aussi a plusieurs reprise

Quand ils en eurent fini Maurice me trainait jusqu’à la table sur laquelle je dû me mettre à plat ventre pour qu’il me sodomise et me jouisse dans mon cul.

Quand il se retirais je voulu regagner ma chambre dans ma chambre. Maurice m’en empêchait et me demandait de desservir de laver la vaisselle en restant nue et de leur servir un café .

Je faisais mes corvées me disant que j’avais été mieux traité quand je faisais le trottoir bien que je n’eu aucune nostalgie pour ce moment.

Je leurs servais le café et bien sur les mains baladeuses ne tardaient pas à venir sur mon cul ou ma poitrine.

Une fois servi je demandais à Maurice si je pouvais aller me coucher il refusait et en profitait pour annoncer à ses amis qu’il m’avait mise en cloque. Et à le confirmer.

L un d’eux qui bandait de nouveau me demandait d’approcher et de le branler avec mes nichons.

Je m’appliquais à lui procurer entre mes seins la branlette demandée, y ajoutant quelque coup de langue, évidement les autres approchaient pour une séance de fellations .

Ils me baisaient dans toutes les positions possibles les deux invités me faisant même un double vaginal .

La nuit etait déjà bien avancé quand enfin ils partirent je dus évidement tout ranger et aérer avant de me mettre au lit.

Par BBLOVE26 - Publié dans : Le récit des copines - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Mardi 22 mars 2 22 /03 /Mars 22:20

prostituata

Pres de deux mois étaient passé j’étais retournée à l’internat et je ne rentrais que tous les quinze jours évidement ceux ou maman travaillant de nuit je devais m’occuper de ma petite sœur. Et ou par la même occasion Maurice couchait avec moi ou plutôt devrais je dire se vidait les couilles car je n’étais pour lui que ça. Les autre Week-end je les passait chez ma grande mère la seule personne qui me montrait vraiment de l’affection.

Les mercredis après-midi j’en profitais en générale pour sortir avec des copines. Pour aller au cinéma ,nous promener ou boire un verre au café.

Et un mercredi alors que je sortais de lycée avec un groupe des copines, je vis Maurice il saluait mes amies et m’entrainait dans sa voiture et démarrais.

Je lui demandais ce qu’il se passait et me dis j’ai besoin de toi ! tais-toi et obéie. Il me demandait ensuite de me changer tandis qu’il conduisait en me montrant un sac.

Je me changeais. Il avait récupéré dans ma chambre une mini-jupe en cuir un chemisier a carreaux rouges qui se nouait en bas et des talons ,il avait acheté une paire de bas noir . Il me demandait également de ne pas garder mes survêtements .

Je l’informait également que depuis plusieurs jours j’avais des nausées et des vertiges il me répondait que ce n’etait pas son problème. Bizarrement je m’attendais a cette réponse alors je l’informais que je n’avais pas eu mes règles. Il me répondit que cela ne changeait rien.

Je savais pertinemment ce qui allait m’arriver, Pour ceux qui ne connaissent pas Bordeaux il avait a cette époque une rue connue pour ses prostitués et ses cafés plus ou moins louche . La rue saint Catherine . Et bien que je sois naïve enfin un peu moins je voyais bien ou il me conduisait.

Il se garais et me menais à l’étage d’un vieux bâtiment qui abritait un bordel.

Maurice parlait avec un homme, puis il me présentait la voici je repasse la prendre vendredi soir.

Vendredi soit ! m’esclaffais-je ! Mais j’ai école et maman. Là il me dit de ne pas m’inquiéter pour ca qu’il avait fait en sorte que personnes ne pose de question.

Il rajoutait que je devais bien travailler pour payer sa dette . Maurice etait joueur et semble til I avait perdu une grosse somme qu’il ne pouvait pas rembourser et j’allais devoir me prostituer pour payer sa dette.

Il partait me laissant aux mains de l’homme et tu femme il me dévisageait et me montrait une chambre . Et me dire que j’allais officier en ce lieux il me montrait derrière un paravent un lavabo, des wc et des serviettes . il me donnait tout un tas de consignes. 

Puis la femme sortis me laissant seul l’homme il voulu me prendre mais dans un geste de panique je le repoussais, alors il me frappait un grand coup de poing sur le cotè droit de mon ventre et une grande claque sur le visage.  Il m’attrapait par les cheveux et me tirais jusque sur le lit. 

Il écartait mes jambes et me violait . Une fois fait il descendait en me tenant par le bras dans la rue.

Il fis signe a une autre fille et lui dit de me surveiller, J’avais peur la fille une autre prostituée tentait de me rassurer.

Deux hommes , des militaires s’approchaient. Laurence c’etait le nom leur donnais le tarif c’etait 50 francs la pipe ou 100 francs l’amour. Nous montions et dans la petite chambre après que le militaire mais donné l’argent , il me baissait après une courte fellation à cette époque on ne parlait pas encore du sida et les rapports se fessait nature sans préservatifs, ce premier client passé, je redescendais regardant à droite et à gauche une possibilité de m’évader, et alors que je commençais à m’éloigner j’étais rattrapé par un autre homme un grand chauve avec des lunettes fumé et un manteau de cuir marron. Il me disputait et me dis de reprendre le turbin.

J’enchainais les passes sans y trouver de plaisir, soumise et a purée. Jusqu’a ce qu’un maghrébin m’aborde,  je le repoussais mais il insistait m’agitant sous le nez une liasse de billet.

Je ne voulais pas qu’il me touche sans doute un peut de racisme primaire, Mais voyant le chahut l’homme chauve qui s’appelait Guy intervenait. Je pensais qu’il allait éconduire, mais non il me menaçait d’une raclée si je ne montais pas avec lui.

L’arabe me payait et me demandait de me mettre nue, j’obéie il me paraissait sur tout le corps me donnant des frissons, a la suite de quoi nous passion a un 69 et je vais être honnête jusque-là personne ne m’avait aussi bien léché et masturbé, et la mon clitoris excité par sa langue je jouissais.

Puis il me pris en missionnaire tout en massant et embrassant mes seins, je prenait une seconde fois mon pieds, j’entourais alors mes jambes autour de lui et lui demandait de m’en donner plus. C’était trop bon.  Dommage qu’il fini par jouir car j’en voulait encore et je restais sur ma Fain.

J’enchainais encore six ou sept clients avant que l’on me donne la permission d’aller dormir après une petite toilette.  Mais avant ça je dus donner le millier de francs gagné à la mère maquerelle,

Le jeudi matin je me réveillait avec de nouvelle nausée, mais je dus tout de même retourner tapiner. Sous la surveillance des autres filles et de Guy.

Le matin fut relativement calme , je pu même aller boire un chocolat chaud avec Laurence dans le bar d’en face.

Mais arriver midi les choses s’accélérait, sans doute la faite que je sois la plus jeune des filles et nouvelle j’avais fait une quinzaine de client dans la journée.  Je commençais même a y trouver du plaisir avec certain client. 

Le vendredi arrivait vite, il etait 18h00 quand Maurice vient me chercher. Nous allions voir le tôlier a qui je remettait ma recette et les compte fait j’avais gagné 3650 francs. Maurice en avait perdu un peut plus de 9000.

Je devais alors me prostituer durant encore quelques jours. Mais pas se Week end je devait rentrer chez moi Maurice avait été chercher mes affaires a l internant et remis un certificat de maladie a mon lycée prétextant une dépression j’etait exemptée d’école pendant près de 20 jours .

Les semaines suivantes j’avais pris un peux plus d’assurance et je commençais à être mal vue par certaines filles qui jalousaient l’argents que je rapportais. 

Et je dus en payer le prix puisque d’eux d’entre elle alors que je descendais après une passe virent me menacer et me frapper, Heureusement Laurence les mettaient en fuite.

Cette altercation venait de me redonner l’envie de fuir et le lendemain j’échafaudais un plan, j’avais remarqué que le bistro ou l’on allait boire un coup ou nous soulager avait une porte qui donnait elle même dans allée qui conduisait dans la Paul Bert. Ou je pourrais prendre un bus et rentrer chez ma grand-mère.

Malheureusement mon plan échouait car a peine avais-je franchit la porte que le patron du bar donnait l’alerte et j’étais poursuivit par GUY . Il me mit une claque magistrale et m’emmenait auprès de la tôlière. Là j’expliquais que je ne voulais plus faire le trottoir et que Maurice n’avait cas payer ses dettes tout seul .

Elle se mit en colère et ordonnait à Guy de me conduire à la cave, ou je l’on m’obligeait à me mettre nue. Attachée et un bâillonnée on me jetait au sol . Et je restais la plusieurs heures sans boire ni manger .

Je finissait par m’endormir a même la terre battu. Je ne sais combien de temps. Mais je fus réveillée par la maquerelle et Guy .

Alors tu retournes au turbin me demandait elle ! je lui dis que non de la tête. Guy me m’attrapait par les cheveux et me balançait une claque après m’avoir déplacée a il me sodomisait a la suite de quoi quand il eut jouis une dizaines d’hommes me sodomisait a leur tour . et ils m’abandonnaient encore une fois seul sans rien a boire ni manger .

la je sentais que j’avais fais une connerie et que si je ne voulais pas crever dans cette cave je devait obtempérer, le temps de mon séjours qui a du durer entre 24 et 48 heures je fus violée à la chaine. Plusieurs fois certain m’avaient même urinés dessus.

Quand la Maquerelle redescendue je me pliait a ses exigence, et je remontait a l’étage ou je pus me doucher et me sustenter et ou je pus dormir une nuit entière . J’appréciait d’autant plus que mes nausées devenaient de plus en plus fréquentes.

Le lendemain je retournait donc tapiner mais alors que jusqu’a présent j’avait garder mon sourire la je ne l’avait plus, je passait de la rue à la chambre enchainant les passes.

Quant à l’alentour des 18h00, Guy et un autre homme virent me chercher en voiture ou je fus conduite dans un de ses foyer pour travailleurs immigrés ou pendant la soirée je me fessait prendre a la chaine par des Noirs des turque, des maghrébins et même un asiatique.

Et quand je dis a la chaine c’etait vraiment ça pour 50 francs que Guy et son acolytes récoltaient devant la porte qui restait ouverte des gens attendaient leur tours. Je ne les ai pas comptè mais je pense qu’entre 40 et 50 immigrés passaient entre mes cuisses.

J’avais pris mon pied c’est certain, et j’etait tellement remplis de sperme que lorsque je me relevais pour partir je dégoulinais sur les deux cuisses, Mon sexe etait gonflé et me fessait un peut mal. Heureusement je regagnais ma chambre et me douchais je m’endormais jusqu’au lendemain.

Les jours suivant docile et soumise je tapinais sans histoire jusqu’au vendredi, La dette de Maurice etait payer et les tôliers me redonnais même près de 400 francs de surplus, Que Maurice me volait aussitôt dans la voiture.

Je lui disais tout de même que la prochaine fois il n’aurait qua vendre son propre cul se qui me valut une nouvelle claque. 

Je ne pleurais plus, mais ma haine augmentait. Malgré tout avant de rentrer il me sautait sur la banquette arrière de sa Talbot me rappelant à quel point j’etait une truie et une pute.

Nous reprenions la route quand mes nausées reprenaient, c’est sûr j’étais enceinte, et il allait falloir que j’en parle à maman car je ne pouvais garder l’enfant je n’avais que 16 ans et malgré mes tentatives d’en parler a Maurice celui ci ne voulait rien savoir .

Il me rappelait que si je disais à ma mère qu’il m’avait engrossée lui il n’hésiterait pas montrer les photos et de dire à tout le monde que je me prostituais . J’étais coincée

Par BBLOVE26 - Publié dans : Le récit des copines - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Mardi 22 mars 2 22 /03 /Mars 15:37

 Les légumes étaient ramassés lavés et triée,  il etait aux environs des 19 h, et je n’avais qu’une envie aller me coucher.

 Tandis que Maurice préparait le repas je mettais le couvert et allait m’assoir pour me reposer un peu sur le divan.

J ‘évitais toute conversations avec lui. Mais visiblement lui qui pourtant etait un taiseux semblait vouloir parler plus qua son habitude, me félicitant pour mon travail au jardin mais également celui dans la chambre.  Il me tendait la dizaine de photos qu’il avait pris de moi, Je n’eu d’autre choix que de les regarder.  Qu’en pense tu ? me dit-il

Je lui répondais sur un ton agacé qu’il avait eu ce qu’il voulait et que maintenant il devait me laisser tranquille . Grossière erreur de ma part !

Il me mit une grande claque sur le visage, et en m’attrapant par les cheveux. Avec un regard de colère.  

Me dit : tu es à partir de maintenant tu es ma chose, aujourd hui n’etait qu’un début, tu va faire la pute pour moi chaque fois que je te le dirais.

Il sortie son sexe et toujours en me tirant les cheveux m’obligeait a le sucer.  Voila c’est ça suce la bite salle putain . Toute en pleurant je le suçais que pouvais-je faire d ‘autre ?

Quand il eut éjaculé dans ma bouche. il me criait a table maintenant !

Je mangeais ma soupe sans rien dire évitant son regard, quand deux jeunes hommes entraient dans la maison.

Ses deux neveux je les avait déjà vues à une fête de famille il y a Louis 19 ans et Cyril 21 ans. Deux petits cons à l’époque qui se donnait des airs de voyous.

Après avoir fait les politesses d’usage Maurice me demandais de servir une bière aux deux garçons.

Ils s‘installaient à table avec nous, et buvaient leurs bières tout en discutant avec leurs oncles . sans rien demander je commençait a desservir la table et a faire la vaisselle .Quand je fus attirer par des ricanements.

Je me retournais et je vis les garçons rire en regardant les photos que Maurice avait pris, et la croisant le regard de Cyril ce dernier mimait une fellation, ce qui déclenchait de nouveaux rire de leurs parts.

Je continuais ma vaisselle mais j’avais honte et je me sentais humilier mais mines de rien j’écoutais et je le sentais venir se qui allais se passer. Etrangement je crois même que j’en avait envie, je venais de découvrir ma libido.

Et j’avais raison Maurice me demandais d’approcher près de lui, et une fois sur place il soulevait ma robe pour exhiber mon sexe et mon cul a ses neveux.  Et il m’obligeait à demander à ses neveux de me baiser.

Maurice enlevait ma robe et me poussait vers Cyril. Qui sortait sa bite et me dit de la sucer. Je me mettais a croupie et je fis ce qui mettais demander. Louis s’approchait à son tour et me présentais également son sexe . Maurice me dit quoi faire.  Sans macher ses mots à coups de salope et de grosse truie. Et il finit lui aussi par me tendre sa bite.

 

Voilai-je me sentais vraiment comme une putain, mais je décidais a ce moment de prendre mon plaisir dans cette situations et celle qui suivraient.

Apres avoir sucer les trois bites et les avoir branler entre mes seins, on me fis m’allonger sur la table de la cuisine, et mes fesses au bord jambes poser sur les épaules Louis ce dernier me pénétrait et me baisait tandis que ma bouche passait de la queue de Maurice à celle de Cyril.

Voila enfin j’allais avoir mon plaisir pour moi et pas seulement pour eux, j’acceptais leurs insultes leurs brimades et je le transformais en moyens d’atteindre, et mon sexe commençait a mouiller et les lèvres de mon sexe a devenir de plus en sensible a chaque coups de queue, Maurice pris la place en seconds même si je le détestais au plus haut points il me fessais jouir, et mon corps réagissait par la chair de poule.  Puis alors que je suçais Louis, Cyril me fit descendre de la table sur laquelle ,je m’appuyais avec les coudes et il me baisait à son tour. J’avais déjà pris mon pied mais j’en voulais encore .

Cyril demandait a Maurice s’il pouvait me sodomiser Maurice lui donnait la permission je vous rappel que j’ai reçu ma premier sodomie le jours même et que j’vais eu mal, j’appréhendais alors la pénétration de mon cul. Mais sa queue entrait très facilement et Louis c’etait mis à genoux pour me lécher la chatte en même temps, Maurice refit quelques photos évidements.

Mon cul inondé de la semence du garçon, Louis me trainait sur le divan suivit de son oncle. Je devais m’empaler dos a lui par le cul. Une foi sa bite au fond. Maurice vient me prendre par la chatte. Quelle sensation ! les deux bites taper à l’intérieur de moi je criais, gémissait de plaisir. Ils me baisaient et jouir chacun dans l’orifice ou ils étaient, 

Maurice fatigué, allait finalement se coucher tandis que les garçons qui m’avaient accompagné dans la chambre eux me baissèrent une grande partie de la nuit. Avant de repartir vers les quatre heures du matin.

Ayant peut dormis et ayant dû subir les assauts matinaux de Maurice, je m’endormais dans la voiture le long de la route du retour sur Bordeau.

Mais avant de rentrer, Maurice me montrant l’enveloppe qu’il gardait sur lui et contenant toutes les photos qu’il avait prit. Me mis en garde avec une menace. Je ne devais pas parler de se qui c’etait passé jusqu’à présent sous peine qu’il fasse la même chose a ma petite sœur  et qu’il diffuses les photo a ma mère, ma grand-mère et mes amis .

Je devais également continuer à être comme il me le disait sa pute et répondre a toutes ses demandes. 

Par BBLOVE26 - Publié dans : Le récit des copines - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Lundi 21 mars 1 21 /03 /Mars 15:40

                                            images

                                        Excusez la qualitèe de la photo il sajit d un vieux plaroide scanné

 

Il etait 6 heures Maman venait me réveiller avec aussi peut de délicatesse qu’ un  sanglier dans un champs de maïs, malgré mes protestations elle m’obligeait a aller durant une journée demie chez Maurice pour ramasser les fruit et légume.

Et comme je savais fort bien quel fruit Maurice voulait ramasser, je m’étais blindée sous mes vêtements en portant un jeans un sweatshirt et un blouson.

Nous faisions une petite heure de voiture jusqu’à Loubens après un arrêt au supermarché ou il fit quelque course dont une petite robe jaune a fleur et des chaussures a talon et du rouge a lèvres.

Je compris que c’etait pour moi et bien entendu il fallut que je lui dise merci.

Arrivé a sa maison ou j’étais déjà venue plusieurs fois pour des Week end avec maman et ma sœur. Nous devions nous mettre de suite au travaille, nous passions trois ou quatre bonnes heures a a ramasser , trier et cercler. Notre travail ou plutôt le siens a fut juste interrompu par le voisin avec qui il parlait a travers le grillage

Vers midi nous rentrions dans la maison et là ! il m’obligeait à me changer et à porter la petite robe jaune et les talons.

Mais une fois nue, il me demandait de rester un instant ainsi et sortie d’un placard un Polaroid il pris une photo de mois debout. Puis me demandant de m’assoir sur le divan en écartant les jambes pour qu’il puisse voir mon sexe. Il pris une deuxième photo. Une fois fait et sans sou vêtement je passais la petite robe

Puis nous passion a table bien sûr il fallait que je fasse le repas. Il se fendait tout de même pour mettre le couvert.  Les pattes à la tomate et les steaks cuits

Nous mangions sans un mot, monsieur voulait le silence le plus religieux possible pour manger et regarder ses infos. Au point ou pour que je lui verse du vin dans son verre il me tende se dernière. je ne le montrais pas mais j’étais déjà bien agacée.

Je mangeais tout de même me disant qu’il fallait que je prenne des forces pour je l’imaginais un Apres midi de travail au jardin. Mais il n’en fut rien !

Alors que nous arrivions a la fin du repas quelqu’un frappait a la porte et sans en attendre la permission entrait il s’agissait du voisin avec qui Maurice avait discuté quelque heures avent.

Il invitait l’homme a s’assoir et lui offrait un verre de vin rouge et me donnant l’ordre de débarrasser la table, de faire du café et la vaisselle.  J’obéissais !

Les deux hommes discutaient à mon sujet et Maurice lui montrait, l’homme qui s’appelait Simon et qui devait bien avoir 65 ans. Il poussait deux question d on je me rappellerait toujours .

La premier si j’étais Viège . Maurice lui indiquait qu’il m’avait dépucellè deux jours au paravent Simon l’air contrarier répondit que c’etait dommage il aurait payer au moins le triple.

La deuxième question fut si j’avait déjà été sodomisé et la Maurice lui répondit que non.

Et alors que je leurs servait le cafè .Simon donnait quelque billet de banque a Maurice qui s’empressait de les ranger dans le tiroir de la table.

Je vous le rappelle je venais d’avoir 16 ans et j’étais encore très naïve, je n’avais donc pas pris conscience que Maurice venait de me vendre pour un moment.

Je retournais donc finir ma vaisselle.  Quand Maurice me dis de venir près d’eux, et me dit de préparer une cuvette d’eau chaude une serviette de prendre un rasoir et de la mousse à raser et le blaireau dans la salle de bain et de mener tout cela dans sa chambre.

Je ne comprenais pas mais je le fis ! Suivi par Monsieur Simon et Maurice.

Nous entrions tous les trois dans la chambre et la Maurice, me dit que je devais me montrer très gentille avec Simon et faire tous ce qu’il voudrait .

Maurice le Polaroid a la main fermais la porte et ce plaçait en retrait, Simon s’approchait je commençais à trembler de peur ne sachant pas ce qui m’attendait. Il me rassurait en me disant qu’il ne me ferait aucun mal et me demandait de me mettre nue et de m’allonger sur la table.

J’hésitais alors Simon Haussait le ton.  Une fois nue sur la table jambes écartés il passait de l’eau sur mon sexe et avec un petit ciseau commençait à me couper les poils pubiens à la suite qui après m’avoir mis de la mousse a raser il me rasait le sexe.  Le j’entendais le sa caractéristique du polaroid.

Une fois que je fus lise, Simon demandait à Maurice de le laisser seul avec moi mais avant de partir il fit une nouvelle photo de mon vagin maintenant chauve.

Maurice sortis, Simon se penchait sur mon sexe et commençait à me lécher, je ne disais rien mais au bout d’une minute je commençais à gémir, sa langue se baladait entre mes lèvres et mon clitoris.

IL me demandait si j’aimais . Je lui répondais que oui.  Puis il me fit descendre de la table et me mettre a genoux pour lui faire pour une longue une fellation.

Au fur et à mesure que je le suçais, son sexe gonflait dans ma bouche. il me tenait fermement la tète comme pour me soumettre ce que de fait j’étais. Il me demandait d’insister avec ma langue sous ses couilles et de bien le branler.  J ‘obéissais toujours alors qu’il avait fini de se déshabiller.

 Il me conduit sur le lit ou en position du missionnaire il me baisait et je commençais à pendre du plaisir. Ma seule comparaison etait Maurice et honnêtement Simon me baissait beaucoup mieux.

Et surtout il se montrait bien plus doux. Il me demandait en suite de me mettre en position pour pouvoir me prendre en levrette c’est là qu’il inondait mon sexe d’une très grosse quantité de sperme. Mais il continuait malgré sa jouissance à me limer jusqu’a ce que mon plaisir arrive aussi .

Je m’écroulais sur le lit sentant le sperme dégouliner entre mes cuisses.  Simon me demandait de ne pas bouger il ouvrait la fenêtre et fumait une cigarette.  

Puis ils renvient sur le lit pour me caresser tout le corps en. Il me disait que mes nichons étaient magnifiques déjà à cette époque je faisais du 100 C.

Il se plaçait alors au-dessus de moi et mit sa verge entre mes deux seins avec les quelle ils se masturbait durant de longues minutes avant de me demander de m’empaler sur lui.

 

 J’avais le contrôle c’etait aussi une première fois et j’en profitais pour prendre moi aussi un maximum de plaisir.  Mais cela n’allait durer Simon me retournait pour me remettre a quatre pattes , il prenait avec main qu’il passait sur mon minou un peu du mélange de mouille et de sperme qu’il étalait sur mon anus.  

 A ce moment il me dit de me détendre et surtout de ne pas me crisper au risque de me faire mal.

 Il avait auparavant entré un doit dans mon cul, je ne vais pas dire que cela m’avait fait du bien mais c’etait supportable.

  Mais quand il enfonçait sa queue dans mon cul j’hurlait jusqu’à ce qu’ elle soit entièrement entrer en moi . Évidement la douleur tel une déchirure me fit pleurer.

  Mais il s’en foutait et a grands coups de reins il ramonait mon cul pendant plus de dix minutes sans qu’honnêtement j’y trouve du plaisir. Ça me brulait et picotait au niveau de l’anus et Jusqu’à sa jouissance , j’avais criée a chaque vas et viens et pleurée.

Voila il sortait et je m’écroulais a plat vent sur le lit le cul remplis de sperme, il se levait ouvris la porte et criait  « c’est bon c’est fait ! ».

Maurice entrait dans la chambre pour me prendre en photos, il voulait que l’on voit bien que je m’etait faite sodomiser.

il se déshabillait et m’obligeait a les branler et les sucer. Simon me dirigeait c’etait aussi la première fois que je suçais deux hommes en même temps et Maurice prenait toujours des photos . Mais juste de ses instants.  Ils furent vite très occupés a me baiser a deux et à tour de rôle . Je reçu pour cette fois ci la bite de mon beau père dans l’anus. Et ce fut tout aussi douloureux .

Simon du non laisser après m’avoir obligé a avaler sont foutre qu’il avait lâcher dans ma bouche. Quand a Maurice une fois son voisin partie me baisait une seconde fois.

La fin d’après-midi arrivait et nous retournions travailler au jardin durant encore deux bonnes heure mais il n’avait pas oublié que maintenant qu’il m’avait vendu mes charmes a un autre homme j’etait officiellement une pute et je serais traitée tel quelle

Par BBLOVE26 - Publié dans : Le récit des copines - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Vendredi 18 mars 5 18 /03 /Mars 10:54

Je savais que les nuit suivante maman etait de repos, déjà je n’aurais pas a gérer ma petite sœur et Maurice ne pour pas venir dans mon lit.

Mais le matin maman dormais ! et il en profitait pour me rejoindre dans la salle de bain ou tandis que je me lavais les dents . Il passait derrière moi et me prenait en levrette devant le lavabo.  Je le voyais derrière moi travers le miroir, il me fessait mal car il m’avait pris directement sans aucuns préliminaires .

Il m’insultait, me traitait de tous les noms, il aimait me rabaisser.  Heureusement il éjaculait très vite sans que se coups si j’y trouve du plaisir.

Il me demandait en suite, de ne pas m’essuyer ou de me laver le sexe, et m’ordonnais de porter une robe ou une jupe et de ne surtout pas mettre de culotte.

Il sortait de la salle de bain au moment où ma petite sœur qui c’etait réveiller sortait de sa chambre.

Il lui dit bonjours et m ordonnait de me dépêcher car je devais faire le petit déjeuner de Corinne. Evidement je me hâtait et suivant ses ordres.

 je m’habillais, d’une petite jupe Ecossaise rouge de mon teeshirt noir imprimer de la bouche de mon groupe préféré de l’époque les Rolling Stone. Et d’une grosse ceinture cloutée comme ça se fessait a l’époque et au pieds je portais une paire de Doc Martin coquée avec les quelles je me serais bien vue lui encrasser la Guelle.

J’etait dans la cuisine mon walkman sur les oreilles a m’occuper de ma petite et à préparer le repas du midi. Quand en passant pour jeter ses vieux tiquets de tiercé il en profitait pour me ploter les fesses.

 Il se penchait a mon oreille et me chuchotais que citais bien j’avais suivis ses ordre et me demandait si j’étais une pute. Voulant qu’il me laisse je lui répondais d’une petite voix que oui !

Il etait maintenant 13 heures et maman se levait, pour nous rejoindre a table. Maurice fessait son mielleux avec maman avec des petit mots doux.

Mais cela ne l’empêchait pas de me tripoter sous la table, Là il dit à ma mère qu’il devait passer chez lui pour ramasser des légumes et s’occuper du jardin et qu’il aurait besoin d’aide. Et il lui demandait de s’il pouvait m’emmener avec lui .

Elle lui donnait son accord malgré mes protestations, en me disant que j’avais de la chance d’avoir un beau père qui nous procurait des légumes frais et que je pouvais bien en reconnaissance de cela d’aller l’aider.  Je n’eux pas le choix et je savais que le seul fruit qui intéressait Maurice etait le miens.

En attendant maman avait cette après-midi rendez-vous avec ma sœur chez le dentiste et j’allait me retrouver seule avec lui et il allait en profiter.

Il etait assis sur le divan et me demandais de danser sur la musique que j’avais dans mon walkman.

Je refusais mais là il se levait et se mit à me hurler dessus me menaçant de sa main.  Je ne pleurais pas mais j’avais tout de même les larmes aux yeux, et j’obéissais il se rassis et je dansais en fermant les yeux.

Puis il m’ordonnait de me déshabiller, j’obéie et tout en dansant je me dévêtisais. Il me voulait nue toujours le walkman sur les oreilles et nue je dansais comme si j’étais seule avec ma musique .

Il se mit nu également, et vient se coller à moi pour danser les mains posées sur mes fesses, il m’obligeait a lui rouler une pelle. Il se mit a genoux devant moi glissait un doigt dans mon sexe et sa langue sur mon clitoris.

Je commençais mouiller, il se montrait délicat et les frissons envahissait mon corps, Avec son autre main toujours posée sur mon cul. Il plongeait un doigt juste a l’entrée de mon anus qu’il caressait du bout de doigt.  Soyons honnête j’adorais ça !

Son cunnilingus me fessait mouiller de plus en plus au point ou je crue un instant que j’avais pissé mais non ! il remarquait d’ailleurs que ma vulve etait de plus en plus mouiller.

Il se relevait avant que je ne prenne mon pied, me frustrant presque de ne pas être allé jusqu’à la jouissance.  Et me conduit sur le canapé ou il me prit en position du missionnaire en tenant mes jambes en l’air. Sa queue bien épaisse me pénétrait de plus en plus vite. Je Gémissais et couinais.

Mais merde pourquoi se porc arrivait il a me donner du plaisir alors que je le haïssais .

Encore un fois il coupait ma jouissance ! Sa queue maintenant dans ma bouche je lui fessais une fellation.  D’ailleurs je commençais la aussi a y trouver du plaisir trouvant même que sa queue etait au touché très douce et agréable a toucher.

Je pense qu’a un moment il allait jouir car il prit sa bite en main et la serait au niveau des testicules.

Je me retrouvais maintenant à quatre pattes, il posait sa queue sur mon cul et la fit glisser passant par la raie jusqu’à mon vagin en me tenant maintenant par la taille.

Ses insultes reprenaient, j’étais pour lui une garce , il insistait encore sur le fait que je serais encore plus une grosse pute que ma mère.  Il me traitait aussi de truie et autres mots toutes aussi délicats.

La voila ma jouissance je criais vraiment fort et je haletais sous ses coups de queue car il n’arrêtait pas il me limait bien encore plus de dix minutes avant de jouir .

Voilà plus d’une heure que maman etait mais avant qu’elle ne rentre, il me baisait encore une fois.

Quand se fut fini et avant le retour de ma mère , je rangeais un peut et aérais la pièce , tandis que l’autre allonger sur le divan c’etait endormis.  

Par BBLOVE26 - Publié dans : Le récit des copines - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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