22ansapprentiesoumise

Bonjour a vous qui me lisez,

Je m’appel Nathalie et c’est mon vrai prénom, je suis une jeune Ardéchoise de 22 ans , Je suis en couple avec un jeune de 24 ans qui a cause de sa profession est souvent absent pour plusieurs jours.

Le problème de ses absences est que je ne suis pas satisfaite sexuellement, a vrais dire même quand il est là ce n’est pas folichon ! je sais je ne devrais pas dire cela ce n’est pas bien !!!!

Mais il se trouve que je ne suis pas vraiment seule j’ai un travail que j’adore dans l’entreprise familiale et surtout j’ai ma meilleurs copine Léa une petite jeune fille comme moi, pétillante et pleine d’humour un vrai petit clown. Je lui raconte tout ou presque j’ai quand même un secret Dont je ne lui parlerais jamais et qui est le départ de tous ce qui va suivre.

Mais avant de vous raconter ceci : Si je fais ce blog c’est sur la demande de celui que j’appelle Maitre.

Donc voila au mois de mars 2022 alors que mon copain etait de nouveau en déplacement, Léa me demande me sachant seule si je voulais passer la soirée avec elle et ses parents.

Comme je m’ennuyais et qu’en plus j’avais la flemme de me faire à manger, j’acceptait il faut dire que je connais Léa depuis la maternelle et que ses parents et les miens sont amis.

Sa mère Solange est infirmière libérale et son père Éric médecin pas n’importe quel médecin. Le mien !!! enfin celui de la famille .

Bref après avoir diné et jouer aux cartes avec ses parents nous montions dans la chambre de Léa pour nous coucher. Mais au bout de trois de trois heures a me retournée dans le lit sans trouver le sommeil, Je me levais et descendait pour fumer une cigarette sur la terrasse la nuit étais plutôt belle et malgré la saison il ne fessait pas trop froid.  Je fumais une première cigarette en regardant les Etoiles et me plongeait dans mes pensés . Quand le Éric pousser par la soif descendit il ne vue pas tout de suite et se dirigeait directement vers le frigo ou il se servait un verre de lait ..et comme Éric est également fumeur sortie pour en griller une c’est la qu’il s’aperçu de ma présence . Et nous nous mime a discuté sans vraiment nous rendre compte de l’heure de tout et de rien. On etait assis sur le rebord d’un petit muret et comme il commençait faire un peut plus froid j’ai eu un frison. Éric s’ent aperçus et pour me réchauffer vient mettre son peignoir sur moi en me prenant dans ses bras pour me réchauffe.

Et je ne sais pourquoi ! je l’ai embrassé je m’excusais et sans me laisser le temps de finir ma phrase il me rendait mon baisser. Un long et langoureux baisser. Il se relevât me prit par la main et m’entrainât dans le bureau. Il fit glisser au sol le peignoir et me fit quitter ma nuisette sous laquelle j’étais nue.

Il me fit m’assoir au bord d’un divan et s’accroupie devant moi sans un mot. il écartait mes jambes pour y engouffrer sa tête écartant de ses mains les lèvres de mon vagin, Sa langue ce prenais le long des lèvres et venait de temps a autre titiller mon clitoris. C’était divin !!!  D’autant que l’on ne me l’avait jamais fait j’appréciait se moment qui me donnait des frisons dans tout le corps .

Il se relavait ensuite et fit tomber sont pantalon de pyjama a ses pieds. Il Prit sa bite dans une main et de son autre main il attrapait par les cheveux . En me lançant un :  « suce moi petite pute »  j’ouvrais la bouche et il y entrait ca queue que je tenais maintenant dans ma mains droite et tout en le masturbant je m’appliquai a le sucer

Tu aimes ça salope , vas-y suce moi bien . Je n’avais pas l’habitude de me faire insulter mais bizarrement cela m’excitait beaucoup, je me sentais entre humilier et plus femme . De temps en temps il me fessait avaler sa bite en entier se qui me donnait envie de vomir.

Puis il me demandait de le branler entre mes seins mais là encore je ne l’avait jamais fait et je n’ai pas dut être très performante de temps à autre il remettait sa queue dans ma bouche .continuant de me traiter de pute, de salope ou de petite garce.

Il me renversa d’un coup et me pénétrait, son coït commençait doucement, puis il donnait un grand coup de rein avant d’augmenter la cadence plus la cadence augmentait plus je haletais. Il me baisait comme jamais on ne me l’avait fait. Monplaisir montait je le sentais il me mit une main sur la bouche car je commençais à être bruyante.  Et je jouis je pris un pied d’enfer mais il ne s’arrêtais pas continuant à me baiser avec vigueur et force, je tremblais , je haletais je transpirais.et je senti en moi son jus me remplir. A ce moment il prit mes deux seins dans ses mains, et les pressait, sa queue toujours en moi il plongeait son regard dans le miens et il m’embrassait. Il me demandait de me retourner et de me mettre a croupie contre le divan. A laide de sa queue il ramassait un peut de sperme qu’il déposait sur mon anus, la peur en moi commençait a grimper mélanger a de l’excitation. La encore je ne l’avais jamais fait ! il me dit de me décontracter. Et je sentais le bout de sa verge qui écartait mon anus. Je poussais de petits cris que j’étouffais avec un cousin .

Quand le bout de bite fut entré, il posait un grand coup et le reste de son membre me pénétrait le cul . Je sentais comme une déchirure ou brulure et des larmes commençaient à couler sur mes joux. Accompagnant mes gémissements .

Puis le vas et viens commençait . il dit :  j’adore ton petit cul serré de salope, je vais te le défoncer !

Je ne répondais pas, au fur et a mesure de des vas et viens la sensation de brulure se mélangeait a une nouvelle sensation que je découvrais, quand a un moment il passait une main entre mes cuisses pour me titiller le clitoris tout en m’enculant la le plaisir pris le dessus sur la douleur la sentions me plaisait et il jouit dans mon cul. Il se retirais et m ‘obligeait a le sucer pour lui nettoyer la bite.

On se rhabillait et il me proposait de fumer une dernière cigarette avant de retourner nous coucher.

Il me remerciait de mettre offerte a lui . Sans oublier de me dire que je ferais une superbe pute et que j’etait visiblement née pour cela .

Je remontais me coucher a côté de la fille de celui qui venait de me baiser , des image plein la tête et je me disais que je n’avais jamais pris un tel pieds.

Et si effectivement mon destin etait de m’offrir comme une pute.