Partager l'article ! Limonest le 5 Février 2022 "Purgatoire": Samedi 5 février. Je me réveil, mon maitre n’est plus dans le lit, je prends mon téléph ...
Samedi 5 février.
Je me réveil, mon maitre n’est plus dans le lit, je prends mon téléphone pour regarder l’heure. Onze heures. J’ai plutôt bien dormi dans sas bras. N’ayant pas le droit de porter de vêtement chez lui je me lève pour me rendre aux toilettes, et alors que je m’assoie sur le trône j’entends : Thé, café ou cacao ?
Je réponds : qu’un grand café serait le bien venue et après avoir pisée je le rejoins dans la pièce principale de sa maison. Il m’invite à m’assoir sur l’un des tabourets de l’ilot centrale et me sert mon café et me propose même des croissants qu’il avait été cherché plus tôt . J’apprécie beaucoup cette attention et pendant que je mange, il vaque à ses occupations.
Ça sonne !!, Ne bouge pas me dit-il et se dirige vers la porte d’entrée, et reviens un colis a la main en me demandant si je voulais du jus d’orange , je lui dis que oui. J’avais très fain et engouffrait les deux croissant.
Pendant ce temps il ouvrait le colis, et me dit en me tendant un paquet : c’est pour toi !
Un peut surprise j’ouvrais le paquet, il s’agissait de dessous bleu un ensemble culote, soutien gorges et porte jarretelle ainsi que deux paires de bas. Je lui demandais si je pouvais l’embrasser pour le remercier. Il m’y autorisait et enroulant mes bras autour de son coup je l’embrassais sur la bouche tandis qu’il poussait ses mains sur mes fesses .
il me dit qu’il avait encore quelque chose pour moi Et qu’en parfaite petite chienne lubrique je l’avais gagné. Il ouvrit un tiroir et en sortie un collier de rouge et une laisse assortie. Qu’il me mit au cou.
Il te va bien. Me dit-il.
Puit il m’attrapait par la taille et me montait sur l’ilot centrale. Alonge toi me dit-il encore.
J’obéie : à ses demandes. Il me tirait un peu pour que mes fesses soient au bord et s’assaillant sur l’un de tabouret il engouffrait sa tête entre mes cuisses. Hummmm !! C’etait délicieux sa langue se promenait sur et dans mon sexe ses deux mains posées sur ma taille, il me goutait, me mangeait ma petite chatte. Je mouillais et quand sa langue touchait mon clitoris je poussais des petits cris de plaisir. Mais dès que mon plaisir montait, il arrêtait et reprenait quand je redescendais. Il jouait avec mon plaisir plusieurs fois. Et quand enfin il me laissait aller je pris encore une fois un pied de malade .
Honnêtement depuis que j’ai gouté à l’homme mur avec Éric le père de ma meilleur amis et Monsieur William je sais à qu’elle point j’ai eu raison. ils ont l’expérience que n’ont pas les jeune de mon age.
Puis après m’avoir redescendu de son meuble , il me demandait de passer les dessous sexy qu’il m’avait offert pour prendre quelques photos.
Puis il m’envoyait prendre ma douche. Lavée et j’en avait besoin, séchée, coiffée et maquillée. Il me donnait une petite robe courte de laine blanche moulante, que je devais porter avec mes talons aiguilles. Je dû également remettre mon collier de chienne. Evidement aucun sous vêtement.
13h10 il me demandait si j’avais Fain, mais j’avait manger les croissants donc non je n’avais pas fain.
Il me tendait mon sac et nous sortions, et toujours sans savoir où ! Il s’engageait l’autoroute direction Lyon, Je vous avoue que je n’aime pas trop les grande ville Valence déjà c’est trop, je fus donc rassurée quand, je vis que nous dépassions la grande ville. Nous sortions quelques kilomètres après le tunnel de Fourvière, pour prendre la route d’une montagne avec une grosse boule en son sommet.
Et nous arrivions devant un grand portail que nous franchissions après qu’il s’était annoncé à l’interphone. Et il se garait devant une grande maison bourgeoise.
Monsieur me dit : Que ce jour etait un début et qu’il fallait que j’obéisse, à qui conque. Un homme m’avait ouvert la porte comme a une grande dame. Nous le suivions à l’intérieur de la bâtisse la l’homme me fit signe de suivre une jeune femme guère plus âgée que moi, Monsieur lui entrait dans ce qui semblait être un salon ou plusieurs personnes se trouvait déjà.
Je commençai à m’inquiéter je n’avais jusqu’a présent jamais quittée mon maitre de vue si ce n’est la veille avec les deux jeunes homme que j’avais décupler enfin un seul en réalité.
Viens suis moi me dit la jeune femme, je la suivais la boule au ventre. Elle ouvrit une porte ou un escalier nous conduisait au sous-sol, l’éclairage du couloir etait médiocre et l’ambiance pesante. Là je paniquais.
Viens , n’est pas peur me dit elle encore , c’est la première fois que tu viens je lui répondais que oui et lui demandait où nous étions . Elle me répondait : au Purgatoire !
Elle ouvrait une nouvelle porte la pièce ressemblait à un vestiaire d’ailleurs ça en etait bien un.
Mets toi nue me dit elle ne garde rien d’autre que ton collier et range tes affaires dans se cassier.
Une fois nue , elle me dit tu es très belle avec ton visage d’ange et se corps, ils vont t’adorer. Puit elle me dit attends là on va venir te chercher.
Je restais là de longue minutes à regarder par tout l’angoisse me donnait la chair de poule, en même temps il ne fessait pas vraiment chaud . 2 Hommes torses nues et masqués entraient. L’un d’eux passait derrière moi attrapait mes bras et me les attachaient dans le dos .Je me laissais faire comme tétaniser il me fit me lever et me demandait de me pencher en avant et de me détendre tandis que l autre tentait de m introduire un objet dans l’anus . Un objet froid et très lise . Mais il me fit mal alors il prit une petite fiole posée sur une étagère et le badigeonnais l’anus avec et le dilatait un peut avec son doigt
Il replaçait l’objet et je sentais alors qu’il l’enfonçait, des choses qui le chatouillait les cuisses. L objet avait comme une queue de cheval de couleur rouge
Il me dit : Garde se plug en toi. Il doit rester jusqu’a ce que quelqu’un te l’enlève . Là on me mit une sorte de sac noir sur la tête et une laisse a mon collier . Sur laquelle il tirait je ne voyais pas ou j’allais mais je sentais bien que je sortais de la pièce.
Alors je ne sais pas si vous avez déjà marché avec un plug anal mais ça fait bizarre , mais en plus avec les mains attachée dans le dos et un sac sur la tête croyez-moi je ne fessais pas la fière , J’ avais la trouille mais avec un mélange de curiosité. Et j’avais froid et comme j’étais pieds nue cela n’arrangeait rien
Les deux hommes ouvris une autre porte j’entendais comme un gros verrou suivit d’un grincement et il me poussait à l’intérieur et mis fit assoir et je sentais une autre personne m’attraper par les l’épaules.
Nous montions trois marches et là on n’ordonnait de ne pas bouger, je sentais de la chaleur comme celle d’une cheminée . On n’enlevait enfin le sac de ma tête, je regardais autour de moi. Je cherchais monsieur du regard ouf !! il etait la dans son beau smoking comme tous les autres hommes ils devaient bien être une vingtaine -le regardes des hommes posés sur moi commencer à me gêner
La un Homme vêtu d’une toge noire entrait, il passait à côté de moi en me caressant la tête, puis il prit ma laisse.
Messieurs bien venus à vous dit-il. Aujourd’hui nous avons de la nouveauté, William nous a apporter la jeune Nathalie, Regarder se visage d’ange et se corps. Il me fit tourner sur moi-même. Les hommes applaudirent.
La !la jeune femme qui m’avait accueilli entrait accompagnée de chaque côté des deux hommes masqués.
Puis le maitre de cérémonie, dit : Messieurs à vous de jouer, ils se levaient pour nous rejoindre. la jeune femme appelée Emilie elle etait hissée sur une grande croix de bois qui pouvait basculer
Je devais rester pour cela juste à côté des croix . Mon rôle étant de sucer chaque homme avant qu’il ne baise Emilie. Ce qui ne me dérangeait pas puisque j’aime sucer. Mais je n’en avais jamais sucée à la chaine autant. Mon maximum datant de la nuit présidente et ce fut 4. Et la une vingtaine,
Les gémissements d’Emilie, etait étouffés par les boules qui il avait dans la bouche . J’etait contente j’avais pus avoir mon maitre en bouche, sa présence réconfortante pour moi, même s’il m’ignorait, Mais quand il allait pour fourrer sa bite dans la chatte d’Emilie j’en éprouvais presque de la jalousie .
Un moment plus tard l’un des hommes cagoulés, venait me chercher me tirant sur la corde qui me maintenait depuis près d’une heures les bras attachés dans le dos, je me relevais.
L’homme me conduit près d’un chevalet pas très large et matelassé de cuir ou Emilie après s’être prise toutes les queue etait maintenant attachée par les mains au pieds de cet objet et ses pieds de posés sur des étirés qui lui maintenait les jambes écartées.
Le maitre de cérémonie, demandait maintenant aux autres hommes s’approcher et mis un grand coup de cravache sur les fesses d’Emilie qui tentait d’hurler malgré la boule qui lui avait ete placè dans la bouche,
le MC, lèche l’anus de cette pute ! en me montrant Emilie. L’un des torses nue m’attrapait violement par les cheveux et m’écrasait le visage sur ses fesses de. Je reçu à ce moment aussi un coup de cravache sur le cul , Dépêche-toi rouge dit-il. Je me mis à pleurer mais pour ne pas reprendre un nouveau coup, j’engouffrait ma langue dans l’anus de l’autre jeune femme que le MC écartait.
Je n’ai pas aimé lécher cet anus, mais je m’appliquais à le faire. Sans plaisir.
Aller ! dit le MC, après m’avoir ordonné de me remettre à genoux. Au premier de ses messieurs et a sec. Un grand homme tout mince s’approchait et sodomisait d’un coup sec Emilie. L’homme au torse nue, toujours derrière moi, me tenais la tête en arrière par les cheveux et me dit de garder la bouche ouverte.
Chacun des hommes l’enculaient et venaient déverser leur foutre chaud dans ma bouche. Je me sentais vraiment humilier et je mouillais, j’avais hâte de me faire prendre car maintenant ma libido gonflait. J’avais besoin d’une bite en moi. Mais rien !! et cela me frustrais d’avaler toutes cette quantité de sperme et de ne ma moi aussi ma jouissance.
Je venais d’avaler le sperme de 20 hommes, tandis que Emilie après c’être fait enculer à la chaine recevait plusieurs coups de cravache sur ses fesses rougis. Des larmes coulaient
L’un des hommes masqués poussait un chariot qu’il amenait près d’une table d’examen ou Emilie fut maintenant conduite, il branchait une prise au mur et vient ensuite se positionner à côté de moi.
MC dit une sorte de prière, il but un liquide dans une sorte de coupe.et tandis qu’il buvait l’ensembles de personne répétait la prière. Il mit deux gangs de latex noir et saisie un coton qu’il passait sur le bas ventre d’Emilie au niveau de son pubis .
Il se saisie d’une machine à tatouer pour y écrire juste au-dessus de sons sexe et en lettre gothique le mot « Cummus » ce que je sais maintenant veux dire salope en latin, elle n’avait trop rien dit de toute façon elle avait toujours la boule dans la bouche.
Quand se fut fini il nettoyait et pris une sorte d’aiguille courbée et là ce ne fut pas la même chose . Il lui perçait a quatre endroit les lèvres de son sexe pour y apposer des anneaux, et elle se mis a pleurer sous la douleur
L’opération fini le MC se reculait pour quitter sa toge et l’on m’ordonnait de le sucer. Cela dura environ deux minutes et sans autre préparation il pénétrait le vagin d’Emilie en l insultant. Il ne fessait pas cas de ses larmes. Je suppose que le frottement de sa bite sur les lèvres vaginale tuméfiées par les piercings devait lui faire mal mais elle semblait tout de même avoir un peut de plaisir car ses gémissements etait de plus en plus forts et qu’elle finit même par pousser un gémissement long de jouissance.
Les hommes masqués virent me chercher et je pensais que j’allais subir le même sort, malgré mon opposition du départ a toute modification corporelle c’etait actée sur mon contrat de soumission. Je mis a pleurer, la peur m envahissais tellement que je me misse à me pisser . Laissant les traces au sol de mon cheminement.
Mais, l’on m’ordonnait de sucer les deux hommes masqués . Ouf ! j’étais soulagée leurs queues en main ils s’approchaient de ma bouche et honteuse d’avoir pissée comme une chienne je l’ai sucé .
Ils me relevaient et penchée en avant, toujours les mains attachées dans le dos et des douleurs qui se faisaient sentir aux épaules, ils me baisaient l’un après l’autre, et je reçu a chaque fois leur semence en moi. Enfin j’avais été baiser et j’en prenait grand plaisir après cette frustration
Je ne vous dis pas l’ascenseur émotionnel
Puis l’on m’entrainait vers un énorme god fixé sol par une ventouse et je dû avec l’assistance d’Emilie qui avait la chatte fermer par un lacet passé dans les anneaux qui lui avait été posée m’empaler dessus. Le MC lui ordonnait de me masturber le clitoris, à m’embrasser et me peloter les seins.
C’etait plutôt agréable. Et là ! je sentis quelque chose de liquide et chaud m’arroser, tandis que Emilie m’embrassait toujours .
MC etait entrain de me pisser dessus suivis des torses nus. Mais ce qui m’importais la maintenant c’est le plaisir que m’apportait le gros god qui avec le plug toujours dans mon cul et les caresse d’Emilie me fessait vibrer mais finalement c’etait un tout un subtil mélange de peur de honte de plaisir et maintenant l’humiliation de nous faire pisser dessus.
Quand le MC eu fini de me pisser dessus
L’un des hommes finis par me détacher ça fessait près de 3 heure maintenant que mes mains etait attachées . Mais je continuais avec la Brune à me faire du bien sur le god.
Maintenant, l’on se déplaçait sur un immense matelas rond surélevé après que Emilie et moi nous étions essuyées. Rejoint par l’ensembles des 20 hommes, des hommes masqués mc et tous aux milieux, le plug enlevé de nom anus, l’on se mélangeais dans une grande partouze. Ce fut énorme pour ma première partouze, tous les corps de mélangeait. J’etait baisée, sodomisée et je suçais sans vraiment savoir par qui, mais beaucoup jouir en moi. Ma chatte et mon cul etait remplis du plaisir de certain de ses hommes.
Cela dura encore deux heures mais deux heures de pur plaisir.
Douchée et rhabillée, Je m’inquiétais aussi pour Emilie, mais elle semblait aller malgré les brulures occasionnées par le tatouage la soulagé.
Je rejoignais mon maitre a l’étage ou un petit repas nous fut servie.
Angoisse, curiosité, peur, humiliation ,douleur, plaisir intense ascenseur émotionnel voilà ce que je retiens de cette expérience .
Malheureusement les photos étaient interdites et nos téléphones supprimés lorsque nous étions arrivés.
Sur le chemin du retour, Monsieur William m’expliquait que Emilie etait en fait la fille de Gerard (le maitre de cérémonie ). J’etait choquée, mais rassurée de savoir qu’elle tous ce qu’elle fessait avec son père, elle le fessait d’elle même et qui suis je pour juger de tout façon elle etait majeur et si elle y trouvait son compte pourquoi pas .
Nous arrivions à tournons il devait être a peut près 22 heures , Je remerciais monsieur en l’embrasant et je rentrais chez moi épuisée, je me mettais au lit devant Netflix mais je m’endormais paisiblement. Et je devais être en forme mon petit ami devant rentrer a la maison ce dimanche pour trois jours.
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