22ansapprentiesoumise

La nuit etait passée et maman etait rentrée et ayant travailler de nuit elle etait partie se coucher . je devais m’occuper de ma petite sœur en faisant le moins de bruit possible, Maurice etait partie jouer son tiercé et je savais que je ne le reverrait pas avant le début d’après-midi.

Mais une fois rentré et maman toujours au lit, lorsqu’il passait près de moi il ne manquait pas l’occasion de venir se frotter contre moi, et me dire à l’oreille combien il comptait faire de moi une putain.

L’après-midi se passait en définitif sans trop de problème. Maman avait fini par se réveiller il ne pouvait donc pas en profiter . Mais j’appréhendait la nuit ou encore une fois maman partie travailler j’allais me retrouver seul avec lui.

D’ailleurs j eu raison car, malgré le tabouret que j’avais placée, derrière la porte de la salle de, ce dernier y entrait et m’obligeait à me doucher devant lui puis il se mit nue et entrait dans la baignoire avec moi.   CHUUUUUT ! il me dit de me taire et de me laisser faire. Il accrochait le pommeau de la douche sur son emplacement au mur et il vient se coller a moi.

Je n’osais trop bouger ou parler, ses mains se promenait sur tout mon corps et sa bouche embrassait ma poitrine, je sentais son sexe contre mon ventre se mains caresser mes fesses.

Je dus me mettre à genoux dans la baignoire, et il m’obligeait à lui faire une fellation. Comme je l’avais fait la veille j’essayais de reproduire ce qu’il m’avait appris et je n’ai pas dut être trop mauvaise à entendre ses gémissements, il me demandait de lui masser les testicules en même temps. Il me lâchait que c’etait bon que je suçais bien et que je ferais une formidable pute.

Il fini par couper l’eau et nous descendions de la baignoire et après nous être séchés il m’entrainait dans la chambre conjugale.

Il poussait sur le lit, et engouffrait sa tête entre mes cuisses pour me lécher et me doigter. Insistant sur mon petit bouton.  J’avais des frissons et de la honte, mais je l’avoue c’etait très bon et je ne tardais pas a mouiller. Puis il me retournait sur le ventre ou il caressait mes fesses et après les avoirs embrasser sa langue allait fouiller mon petit trou.  Une nouvelle sensation que je découvrais .

Il attrapait les deux oreillers et les plaçait son mon ventre, il me dit d’écarter mes jambes et de surtout pas me contracter. Jusque-là malgré le dégout que j’avais pour Lui Maurice m’avait donné du plaisir,

Il me soulevait un peut par la taille et me fit me cambrer, il avait en enfoncer des doigts dans mon sexe qui allait être remplacé par sa verge.  

Son sexe pénétrait le miens doucement et quand il fut coincé par mon hymen, je poussais un petit cri . Il me demandait de me détendre et il poussait un grand coup, j’entendais en moi comme un craquement une brulure, son membre avait percé l’obstacle et pénétrait entièrement. Et tandis qu’il me baissait de plus en plus fort je mis à pleurer.  Je sentais sa verge frotter les parois interne de mon vagin et plus il me baisait plus je mouillais et commençait à ressentir du plaisir. Je me mis à gémir au rythme de ses vas et vient et de plus en plus fort ma bouche s’ouvrant contre ma volonté.

Et la c’est lui qui poussait un ralle de plaisir en bloquant son mouvement au font de moi, et je sentait son liquide s’écouler dans mon sexe, il restait quelque instant comme ça sans bouger. Puis il dit que maintenant je lui appartenais que j’étais au même titre que sa mère sa putain.

Quand il ressortie il me renvoyait dans ma chambre, ou je me mis à pleurer, je savais que je ne pouvais en parler. Mais en même temps il m’avait donné du plaisir .

Je fini par m’endormir mais dans la nuit il etait venu me réveiller pour recommencer en venant ce caler contre moi en position de la cuillère.

Ce coup si je n’avais pas plus la sensation de brulure, mais juste le plaisir et je jouis aussi chose que je n’avais pas eu l’ors de mon dépucelage.

Les deux nuits suivantes je subis le même sors devant baiser avec lui.  Je découvrais de nouvelles positions et je décidais de profiter de ses plaisirs nouveaux malgré la haine que j’éprouvais pour cet homme.  Car a chaque fois  qu’il me touchait je me sentait salit et humilier.