22ansapprentiesoumise

Je sortais sortait du travail ce mardi soir et j’allais rejoindre, Monsieur William chez lui pour la nuit.

Je savais évidement que j’y etait attendus me délectant déjà d’une soirée de luxure, ma libido étant déjà très haute.  Mais a ma surprise il n’y avait en présence de William qu’un homme d’une bonne quarantaine d’années répondant au prénom de Frederic . Il etait plutôt grand et bien bâtit portant une barbe poivre et sel et du genre hipster et tout à fait à mon gout.

Installés sur le grand divan, chacun un verre a la main, Frederic ne tardait à me caresser sous le regard de William qui ventait mes exploits.

Sa main libre sous ma jupe après avoir logement caresser mes cuisses c’etait glisser sur mon vagin. Ses doigts me fouillaient passant de long moment sur mon clitoris, ce qui évidement me faisais gémir et mouiller,

Bientôt il me fit quitter ma robe dévoilant ma nudité, sa bouche sur la mienne une main toujours sur mon sexe il ne tardait pas à prendre mes seins en bouche.  J’appréciais je prenais un grand plaisir quand sa langue et ses lèvres attrapaient mes tetons tous durcit ou se promenaient sur l’auréole.

William me regardait et je lui rendais sons regard avec mon petit air de salope offerte.

Prends-lui la queue ! m’ordonnait William, Obéissante comme toujours d’une main je dégrafait son pantalon sans regarder, et c’est la que la bette est apparue. Je la prenais en main et je m’aperçus tout de suite de la taille de l’engin que j’etais entrain d’astiquer.

Il m’attrapait la tête pour me faire descendre au niveau de sa bite. Suce moi petite me dit-il .

Son sexe etait énorme bien 25 cm et très large avec une main je ne fessais pas le tour, et je du ouvrir bien grand ma bouche pour qu’elle puisse y entrer. Et elle ne rentrait pas en entier ! je le suçais du mieux que je pouvais et j’appréciais se sexe bien raser et lise,

William attrapait son téléphone voulant absolument prendre en photos ce sexe énorme dans ma petite bouche.

Frederic c’etait déshabillé son corps etait musclé ses tatouages tribaux sur tout son corps soulignaient magnifiquement l’ensemble.

Il m’attrapait de nouveau par les cheveux, pour me trainer sur la méridienne, Ou je dû m’installer sur le dos il passait une jambe par-dessus ma tête pour que son sexe et ses couilles tombe juste au niveau de ma bouche et il se penchait écartait mes cuisses et se mis également à me lécher goulument.

Evidement que je prenais mon pied. Et je me régalais à branler et manger de plaisir sa bite.

Je mouillais de plus en plus gémissant et me tortillant .il me fessait jouir juste avec sa langue.

Il se relevait, et fit le tour de la méridienne et sans ménagement me prit en position du missionnaire pendant une minute ou deux.

Mes jambes entourant son torse et mes bras son cou il me soulevait comme si je ne pesais rien et continuait à me baiser debout tout en me conduisant sur la table. 

Sa queue me transperçait et je la sentais dans tout mon corps, mon sexe aussi ouvert que si je subissais une double pénétration vaginale, chaque va et viens en moi me procurait plus que du plaisir, et le summum fut lorsqu’il déchargeait une très grosse quantité de sperme en moi.

Mais il ne s’arrêtais pas pour autant continuant à me baiser longuement et jus de multiple orgasme.

Puis appelé par sa soif il sortit de moi, pour aller se désaltérer.  Le sperme dégoulinant sur mes cuisses, il s’approchait de nouveau de moi me retournait de façon à me prendre en levrette sur la table. 

Reste calme et décontractée me dit-il, je vais tenter de te sodomiser!

Là j’avoue j’ai eu peur, comment son gros sexe allait-il pénétrer mon anus sans me déchirer.

IL prit du sperme qu’il étalait sur mon anus, et y enfonçait un doigt… puis un deuxième .Il branlait mon cul, puis il posait le gland de son sexe a l entrer de mon petit trou.

IL poussait et je pinçais mes lèvres pour ne pas crier, mais il n’entrait pas.

Cambre-toi salope me dit-il sur un ton autoritaire.

Je me cambrais, et il tentait de nouveau. Son sexe entrait, mais là je ne pus retenir mon cri, puis il poussait de nouveau, son sexe s’enfilait dans mon anus, et bien que j’etais maintenant habituer a me faire sodomiser. Je n’avais jamais eu un tel engin en moi.  Il commençait à me ramoner et à chaque mouvement mon cul se dilatait comme lors de mon dépucelage anal la brulure, la douleur et le plaisir se mélangeait.

Il m’enculait durant plus de 15 minutes avant de m’inonder l’anus de son foutre. Enfin il sortait.  William s’approchait étonner par la dilatation de mon anus dans le quel il arrivait presque a entrer sa main, Puis ils me conduit sur le divan ou ils me baisaient plusieurs fois chacun leurs tour.

Bonjours 

A tous et toutes mes excuses a ceux qui se sont preocupè de mon absence  et oui je l'ai eu ce putin de COVID  et il ma bien mise KO . j'ai egalement quelquexs petites choses a vous raconter  donc a tres bientot 

et Bise a tous 

En ce samedi 9 avril , Monsieur William me conduisait du côté de Clermont ferrant sans bien sur m’avoir donné aucune information, seul ma tenue m’avait été imposée.

Rien une simple robe moulant noir plutôt longue et ouverte par des lacets sur le côté monsieur William m’avait gâté. La robe etait très belle. Il avait même pris la peine de m’offrir une jolie paire de chaussures à talons qui donnait à mon mètre soixante-deux quelques centimètres de plus.

Evidement aucun sous-vêtement ne m’etais permit. La route etait assez longue et il demandait de lui raconter en détail la soirée passée avec mon oncle et ses deux amis joueurs de carte. Et quand je dis tous les détails c’etait vraiment tous jusqu’au gout de leurs sperme.

Bien sûr ceci l’existait et il dut faire un arrêt sur une aire de repos ou je dus le branler et le sucer, devant même me délecter de son sperme tiède tandis qu’il me traiter de trainée et pute. Je pensais même que j’allais devoir soulager quelques messieurs à cet endroit mais non ! nous reprenions la route.

Il etait pas loin de 18 heure, et nous arrivions devant une sorte de vielle station essence,  mais nous ne nous arrêtions pas pour prendre de l’essence. Monsieur William me m’ouvrit la porte de la voiture pour me conduire à son bras à l’intérieur de la station ou il demandait Victor.

L’homme derrière le comptoir, nous fit signe qu’il etait derrière et après avoir reçu l’agrément de ce dernière nous nous y rendions.

Victor semble t’il etait le patron de ce garage, mais lui et William ne semblaient pas vraiment se connaitre.  Mais je savais pourquoi j’etait la, et il ne fallut pas longtemps pour qu’en bonne chienne soumise je me retrouve assise sur un tabouret autour duquel etait placer quatre grandes planches trouées à diverse hauteur.

Là je reçu un ordre :  Branle et suce toutes les queues que tu vois ! Un premier entrait dans le trou et sans attendre je la prie en bouche, puis une deuxième , puis encore un autre et une autre un peut plus haut.

Certaines entraient d’autres ressortaient. Je passais près de quarante minutes à sucer des bites sans voir a qui elle etait .L’un d’eux sans doute un peu plus existé éjaculait même sur mon visage.

Moi aussi je commençais à être exister et je voulais jouir et la bien que j’aime sucer je n’en avais pas vraiment.

Victor demandait aux personnes présente de reculer et le paravent fut enlever.

Monsieur William me demandait de me lever et il fit glisser ma robe à mes pieds dévoilant à la dizaine de personnes présentes ma nudité.

Evidement j’ai maintenant l’habitude de m’exhiber et cela ne faisait qu’augmenter ma libido.

Puis il me conduit sur le capot d’une voiture ou penchée en avant il m’attachait les mains au rétroviseur.

Puis il revient vers moi plus précisément derrière moi pour m’écarter les fesses,

 Voyez cette croupe, Elle n’est pas belle, il ne vous fait pas envie sont petit trou ?  Monsieur William avait donner le ton.  Et tous un par un me sodomisaient jusqu’a ce qu’ils me remplissent mon anus de leurs foutre qui finissait par dégouliner jusqu’à mon minou qui lui ne reçut aucune bite.

Et la je la sentais bien…….la frustration, seul la sensation du sperme qui coulait me procurait un peu de bienêtre. Mon cul bien inondé j’etait enfin détachée et Monsieur William me demandait de me rhabiller. Et sans même dire au revoir nous regagnions la voiture .

Au bout de quelques kilomètres après avoir rejoint l’autoroute direction Lyon William me demandait d’ouvrir la boite a gang et de sortir l’objet se trouvant une boite .

Il s’agissait d’un œuf vibrant. Et comme il me l’ordonnait je le plaçais à l’intérieur de mon vagin. Et immédiatement William en prenait le contrôle grâce a une petite télécommande.

Evidement je me mettais immédiatement à mouiller mon plaisir montant.  Mais il avait l’art d’arrêter l’œuf ou de moduler la puissance des vibrations à sa guise s’arrangeant pour faire en sorte que mon plaisir ne vienne jamais.

Et ce jeu continuait tout au long du trajet qui nous menait à son domicile. Même le repas au restaurant n’échappait pas a quelques vibrations qui ne manquais pas de me faire gesticuler comme un asticot au bout de son hameçon .

J’espérais à chaque fois qu’il me laisserait prendre mon pied mais non !  Il jouait avec mon plaisir avec un certain sadisme.

Enfin ! Nous étions arrivées.  Et j’espérais que William m’honorait et me permettrait de jouir. Arriver nous allions directement au lit.

Nue toujours l’œuf en moi, il m’attachait les mains aux barreaux de son lit. il s’installait et me souhaitait une bonne nuit.

Je rageais de ne pas avoir eu mon plaisir et compris que mes liens étaient la pour que je ne me masturbe pas ma jouissance m’etait interdite.

Je fini par m’endormir mais son jeu vicieux repris a ce moment, l’œuf se mit à vibrer en moi. Mais s’arrêtait dès que je montais. Ce petit jeux durait jusqu’aux petit matin .