22ansapprentiesoumise

Hier soir jeudi papa m’avais demandé de faire la fermeture et vue le temps et le peu de client nous fermions vers les 22 heures.  

Je devais avant de rentrer déposer la recette du jours à mon oncle Antoine qui lui aussi possède également un restaurant et ou tous les jeudi soir après son service il organise une partie de cartes avec ses copains .

J’y allais tranquillement sans aucune arrière-pensée bien que depuis une dizaine de jours je n’avais pas eu de rapport sexuel et que ça commençait à me chatouiller.

Je passais par la porte de derrière sans mauvais jeu de mot, et allais rejoindre Antoine qui etait derrière son bar à servir à boire deux autres hommes.

Ah la voilà ! Voici Nathalie ma jolie nièce dit Antoine a ses amis. Je saluais verbalement et poliment ses messieurs et passais derrière le bar pour tendre la pochette contenant la recette a mon oncle .

Et alors que je lui fessais la bise il tournait la tête afin que ma bouche et la sienne se rencontre. J’étais un peu surprise mais je me laissais faire.

Mon oncle me proposait un verre, aillant un peut froid, j’acceptais un café.

Je voyais bien que les deux hommes me mataient beaucoup et surtout quand je pris le café sur le percolateur, je compris ou voulait en venir tonton Antoine. Quand celui-ci posant une main sur mes fesses ventait au près des deux autre hommes mon physique et ma gourmandise sexuelle.

Je peux vous assurer qu’à ce moment je me sentais un peu seule, mais je vous l’ais dis quelques lignes au-dessus ça commençais à me chatouillée et là je ne réfléchissais pas plus.

Je posais le café sur le comptoir, et je quittais mon mentaux, vous allez être déçu car je portais en dessous un pantalon noir et un chemisier blanc duquel je déboutonnais les deux boutons pour donner un peu d’ampleur.

Antoine ne se démontais pas et me demandait si j’etais tenter par un câlin coquin avec ses deux amis et lui,  Je buvais une gorgé de mon café et guidé par mon envie j’acceptais.

Antoine passait derrière moi pour m’enlacer et déposer un baiser dans le cou passant une main sur ma poitrine. Tout en le laissant faire je lui demandais de me présenter ses deux amis.

Le premier un grand brin genre italien s’appelait Diego environs 35 ans , quant au deuxième devait avoir entre 40 et 50 ans s’appelait Marc.

Mon oncle avait déjà entrepris de me déshabiller ouvrant mon chemisier, pour faire apparaitre ma poitrine encore caché par le petit soutien-gorge que je portais, une main glissait sur mon ventre, je commençais a sentir la chaleur monter en moi.

Sans qu’il ne le demande je me mis a croupie face a lui , baissais sa braguette pour en sortir sons sexe. Que je me mis à sucer lentement. 

Voyez messieurs comme elle est gourmande de bite, je vous l’avais bien dit : ce sont les mots d’Antoine à ce moment.

Il attrapait ma queue de cheval, comme pour me soumettre. Je suçais sa bite avec un immense plaisir et m’appliquais à lui en donner sa queue gonflant de plus en plus dans ma bouche.

Il me fit me relever et me conduit près de la banquette se trouvant a côté du billard.

A poils me dit-il je me déshabillais sous le regard de mes trois spectateurs, eux même en faisant autant.  Et assise sur la banquette je les suçais longuement.

Vas-y ! suce-nous bien salope dit mon oncle qui savais que j’aimais être soumisse et humiliée durant l’acte. Les deux autres hommes ne se gênaient pas non plus pour me traiter de sale pute et de chienne.

L un d’eux fini par me tirer par les jambes , et après m’avoir léché et doigté se mit à me baiser. Enfin j’avais une bite en moi, je mouillais beaucoup se qui s’emblait leur plaire.

Les voilà les sensations attendu la chair de poule, les tremblements de mon corps, le glissement du sexe dans mon vagin et les queues que je suçais et masturbais tout ça amplifiait mon plaisir,

Marc me fit mettre à genoux sur la banquette face au mur et me pris en levrette, mon oncle l’encourageait : Vas-y baise la ! baise la fort cette chienne ! Sa queue glaisait en moi avec vigueur alors que Diego m’offrait sa bite à sucer en me demandant également de lui bouffer les couilles.  

Mon oncle fini part lui aussi me prendre en levrette, mes gémissements trahissait ma jouissance et quand Antoine sentit que je jouissais, il sortit pour me sodomiser et éjaculer dans mon derrière .

Je ne vous fais pas de dessin les deux autres hommes en firent autant.

Puis ils me baissèrent une deuxième fois sur le billard . J’avais joui a plusieurs reprises j’etais comblée et il etais temps de rentrer chez moi.

Tonton Antoine me remerciais et je pris la route encore toute remplie du plaisir de mes partenaire de l’instant. Constante après une bonne douche je m’émettais au lit après avoir envoyer un petit message a monsieur William. Et m endormais devant un film

Je reçois de nombreux messages pour me remercier de prendre le temps de vous relater mon histoire et beaucoup me demande a quoi je resemble maintenant .Et comment suite a mon accident je vie et m'occupe 

je vous met donc ici la plus recente photo de moi elle a environ deux semaines.

Pour ce qui est de ma vie et bien j'ai un grand fils qui prends soins de moi, et je vie d une petite rentes versèe par mon assurence suite a mon accident et d une sommes qui ma ete verser par l'assurence du responsable de mon handicape .

je suis aussi active dans une association qui aide les prostituer a se reabilitèe dans la vie.  j'intervient egalement  entant que psycologue apres avoir suivit une longue formation que j'ai entrepris apres mon accident .

Voila mon handicape ne m'empeche pas d'etre heureuse .

Pour cette fois-ci et vue le temps je pensait que nous ne sortirions pas,  j’avais suivi comme d’habitude les instructions en m’habillant d’une simple robe courte et moulant et d’une petite paire de basquette blanche.  En arrivant chez Monsieur William ce dernier a peine avais-je franchis la porte d’entrée qu’il m’attrapait et plaquai au mur.

Il soulevait ma robe et me prenait telle une bête sauvage en levrette par ma petite chatte, sa queue s’enfonçait en moi. Je mouillais déjà car tout en conduisant comme il me l’avait demandé je m’étais touchée et masturbée .

Il ne me fallut donc pas longtemps pour trouver mon plaisir, je couinais comme la petite truie qu’il aime que je sois jusqu’a ce qu’ il m’offre sa semence au fond de mon ventre.

Sans attendre et sans même me dire un mot il m’entrainant dans sa voiture. Et nous prenions la route pour nous arrêter sur le parking du Parc saint Paul les Romans ou il me fit descendre de voiture en me demandant de bien me tenir près du coffre.

C’est la que c’est arriver tout c’est passé en un éclair !  Une fourgonnette c’est approché et a ralentie près de moi , Je ni ai pas vraiment portée attention pensant que c’etait un client du centre commercial

La porte latérale du véhicule s’ouvrit et deux hommes cagoulés en sortirent m’attrapaient et après m’avoir mis un sac sur la tête me jetaient à l’intérieur de la camionnette qui démarrait en trombe alors que William lui etait toujours dans son SUV.

Je tentais de parler mais immédiatement l’on me dit : ferme ta gueule salope si tu veux vivre, la peur montait en moi et l’on m’attachait les mains dans le dos en me maintenant fermement au sol.

Je me doutais bien qu’il s’agissait d’un plan, mais je vous avoue que je n’en etait pas sur ! et la peur me fit lâcher quelque goute de pisse.

Se qui semblait amuser mes deux kidnappeurs, qui me dire tu es vrai une cochonne ! la un autre leurs donnait l’ordre de me mettre nue ce qui vu le nombre de mes vêtements c’est à dire une petite veste et ma robe fus rapide mais ils durent la couper pour me l’enlever mes bras étant attachés dans le dos .

Le véhicule s’arrêtait je sais que nous n’étions plus a Romans car j’avait sentis le véhicule en roulant prendre de l’attitude.

Toujours le sac sur la tête il me trainait et me fier entrer dans un bâtiment que je ne pouvais identifier une chose etait certaine il y fessait humide et froid .

On me poussait au sol ou je tombais. Quelqu’un m’enlevait le sac de la tête et la j aperçus 4 hommes cagouler qui se déshabillaient. Visiblement j’etait dans une grange plus ou moins en ruines.

Voila ! salope on va te baiser comme la comme la pute que tu es ! Suce bien nos bites .C’est ce que me dit l’un d’eux .

Je ne pouvais qu’Obéir, je me redressais comme je le pouvait pour me mettre à genoux. On me tenait par les cheveux la tête en arrière l’un d’eux enfilait sa queue jusqu’au fond de ma gorge puis un deuxième et enfin les deux autres, l’un d’eux me giflait alors que j’avais failli vomir. Puis je l’ais suçais longuement passant de leurs couilles a leurs verges mais je dû également leurs faire des anulingus.

On me poussait encore une fois sans ménagement sur le sol l un deux m’écartaient les jambes pour venir me prendre sans ménagement, tellement fort que j’entendais le tapotement de ses couilles sur mon cul . Et les trois autre venait au-dessus de mon visage pour se faire sucer .

Les mains toujours attachées dans le dos ma position n’etait pas des plus confortable, mais je restais dans cette position très longtemps le temps pour eux de de me baiser à tour de rôle.

Enfin ils me retournaient. A genoux la tête posée sur le sol il me sodomisaient chacun leurs tours. Le deuxième éjaculant dans mon cul.

Enfin ils coupaient mes liens, mais je devais rester sur le sol. Ou l’un deux me prenait sur le côté en position de la cuillère tandis que ma bouche servait encore une fois d objet de plaisir pour les bites.

Il basculait finalement sur lui et me demandait de le chevaucher. Un autre cagoulé lui me prenait le cul. Comme vous le savez maintenant j’adore être prise en sandwich et mon plaisir devenait immense, les tremblements la transpiration mes gémissement malgré la bite dans ma bouche.

Les deux hommes eux aussi me remplissait de leurs plaisirs. On me demandait de rester allonger sur le sol et les quatre cagoulées se mirent a m uriner dessus en m’insultant. 

Finalement on me rattachait les mains dans le dos et on me remit le sac sur la tête, on me fit sortir de la grange et après quelque dizaine de mètres je pense. On je rentrait dans un nouveau bâtiment. Et l’on m’ordonnait de ne pas bouger.

La porte se refermait et je reçus une claque sur le cul. Puis plus un bruit durant un bonne minute. C’était endossant et j’étais figée de peur ne sachant pas ce qu’il se passait, je sentais l’odeur de la pisse et du sperme sur moi. Je me sentais très salle .sa dégoulinais .

Enfin on m’enlevait le sac sur ma tête. Et je le vis j’étais rassuré monsieur William etait la ! Il il demandait a ce que l’on me détache, et les quatre hommes enlevaient leurs cagoule.

On proposait une bonne douche chaude et croyez-moi je l’ai appréciée et entourée d’une serviette de bain je rejoignais mon maitre qui m’avait fait servir un bon chocolat chaud . Il avait même pensé à me prendre des vêtements neuf car il ne me restait que mes basquets.

Mon ressentis : Comme je vous le disais je me doutais qu’il s’agissait d’un faux rapt, mais quand même j’ai ressenti la peur et l’humiliation mais j’ai aussi trouvé mon plaisir et cela restera une bonne expérience.

Un grand merci à Jean-Yves le propriétaire des lieux et a ses trois amis Gillou, Louis et Gianni . qui après nous avoir contactés sur Waanonce ont proposé ce scénario a monsieur William.

Bises a vous trois et merci pour la jolie boite de chocolat et le joli bouquet de roses c’est une gentille attention