22ansapprentiesoumise

Nous arrivions dans une zone industrielle, l’Orage qui etait passé ce qui donnais une ambiance un peu glauque, Nous passion un portail que William avait ouvert avec une télécommande une voiture s nous suivait et le portail se refermais.

Puit nous roulions jusqu’à un entrepôt, William me fit descendre de la voiture et m’entrainait vers une pièce qui semblait être un ancien bureau. 

Tu vas attendre ici me dit ‘il puis il me bandait les yeux et m’attachait à la chaise. J’attendais de longues minutes de très longues minutes ça devenait interminable. J’entendais bien du bruit des gens parler, quelques claquements de porte arrivaient même à me faire sursauter. 

Enfin la porte s’ouvrit, je n’etait pas sur qu’il s’agisse de William car malgré mes demandes personnes ne me répondait.

L’on me détachait, et on me déshabillait ne gardant que ma chaussure à talon et le bandeau sur mes yeux. Je me laissais maintenant toujours dans le silence conduire nous passions quelques portes jusqu’à ce que l’on me fasse monter quelque marche encore quelque pas et j’etais immobiliser.

Quelqu’un d’autres m’attrapait par le bras.  « La voici, elle est jeune, elle est belle regarder se cul « .

On me retournait et des mains écartait mes fesses . Alors qui commence, étendait des voix retentissait 10 , 15 , 20   très vite nous montions a 100 , 200    on me tournais , me touchait me montrait on etait maintenant à 500 , 600 puis 1000 arrivées a 1500 plus rien un silence marquait le temps puis on entendit 1020   une nouvelle enchère 1030 .  Une fois 1030 deux fois 1030 trois fois adjuger.

J’entendais quelqu’un monter les escaliers et nous rejoindre,  Viens salope quelqu’un enlevait mon bandeau des yeux, un homme d’une cinquantaine d’années m’entrainait quelque mètre plus Loin.

Pour me pousser sur une table, « Penche-toi ! » je me penchais donc en avant je reçu immédiatement une énorme claque sur les fesses, j’entendais le zip de la braguette tandis qu’il malaxait la chatte d’une main plongeant ses doigts de temps en temps dans ma chate. Voilà on y etait sous les encouragements d’une vingtaine de males il me baissait. Je sentais bien sa queue me coulisser dans ma chatte. Puis il me sodomisait toujours dans la même position ses mains large et puissante encrassaient mes seins, il tapait fort a chaque mouvement de reins sa queue s’enfilait d’un coup dans mon anus qui commençais à me bruler. Et mes cris et gémissement ni fessait rien il avait gagné son enchère le droit de me baiser comme il le souhaitait. Et son souhait etait visiblement de me baiser uniquement pour son plaisir et quand il voulut décharger ce fut sur mon visage et mes cheveux avec lesquels il s’essuyait la verge.

J ‘etait a genou au sol devant une table ou plutôt un établit.   William invitait maintenant les autres à venir à tour de rôle se faire sucer, j’etais au travail suçant bite après bite, je devais les sucer au moins une minute chacun.  Bien sûr certain plus existés que d’autres déchargeaient déjà dans ma bouche .

Quand j’eu sucer l’ensemble des hommes y compris William. Ce dernier me conduit sur un matelas jeter au sol recouvert d’un draps ou allongée sur le dos je reçu entre mes cuisses a la chaine chacun de ses messieurs , enfin je prenais mon pieds, les coups de queues fendaient ma chatte et j’y prenait beaucoup de plaisir, surtout lorsqu’il me remplissaient de leurs sperme , au bout d’une bonne heure et demie a me faire sauter .

Je fus enfin autorisée a me désaltérer et surtout a pisser ce que je du faire directement au sol devant l’ensemble des hommes dont certain sembler réellement prendre du plaisir a me regarder en train de me soulager.

A tel point que l’un d’eux, un homme d’une trentaine d’année , a peine avais-je fini me fit m’allonger sur l’établit pour me lécher le minou tout trempé de pisse et de sperme.

J’avoue avoir adorée se moment. Et encore plus lorsque l’un de ses messieurs s’approchait de lui pour l’enculer je n’etait finalement pas la seule salope de la soirée. D’autant que ce n’etait pas prévus visiblement mais d’autres à leurs tours s’approchaient pour nous sodomiser à la chaine tous les deux bien sur je me retrouvais avec une bite en bouche a chaque rotation de ses messieurs.

Alors que tous étaient maintenant soulager.  William me reconduit dans le bureau ou j’avais été conduite en arrivant. Une chose avait changé une dizaine de sièges avait été installés autour de la pièce,  alors que certain des messieurs etait repartie chaque siège étaient maintenant occupé par ceux rester, quand un homme vêtu de noir rentrait dans la pièce avec un chien, Je compris immédiatement que pour mon plus grand plaisir j’allais être sa chienne , j’avais déjà pris un super pieds mais j’espérais ressentir la même chose que la fois précédente.

Comme la première fois ou j’avais eux cette extraordinaire expérience   je ressentait un mélange d’angoisse et d’excitation , l’animal tous de suite me tournait autour me reniflant l’entre cuisse et le cul je sentait sa langue ramasser ce qu’il restait de sperme dans mon anus . D’un coup il se redressait sur ses pattes arrière et tentait alors que j’etais toujours debout de me grimper ce qui me value une griffure sur l’épaule gauche lorsque son maitre le tirait en arrière.

-« Met toi a quatre pattes salope « me dit le maitre du chien, j obéissais William face a moi me souriait . Le chien me reniflait de de nouveau et me tournait autour   son maitre me tapotait sr les fesse montrant au chien se qu’il devait faire et pares plusieurs tentative l’animal me baisait enfin.

J’etais bien chienne je gémissais et quinais il me limais très fort alors que son maitre etait venue me mettre sa bite dans la bouche . Je tremblais de plaisir et transpirais tellement le je jouissais . J’entendais mes spectateurs me traitant de pute , de trainée de tout les autres .

Ça y est le chien se bloquait en moi, je sentais son sperme chaud envahir ma chatte. Et quand il sortit de moi une grande quantité de ce que j’avais reçu dégoulinais . Sans attendre un des spectateurs se levait et m’attrapant par les cheveux me mit sa bite dans la bouche et je me retrouvais vite a sucer de nouveaux les bites présentes .

Plus de quatre heures à me faire traiter comme une salope j’etais fourbue …… Mais j’avais pris une putain de plaisir.

Vendredi 12 août 2022, Prévenue la veille, il m’avait dit de préparer ma valise pour 4 jours de voyage via la national 7 jusqu’à Paris ou nous devions arriver dimanche dans la l’après-midi .

Vêtue d’une petite robe courte a fleur et de ballerine blanche pour être à l’aise et sans sou vêtement évidement puisqu’il me sons interdit en présence de William, La valise chargée dans le SUV.  Nous prenons la route il devait être à l’alentour de 16 heures . Direction Tain l’Hermitage ou nous faisions déjà un arrêt pour acheter quelques bouteilles de Crozes Hermitage pas grand choses à dire j’y croisais d’ailleurs des amis de la famille à qui je dus dire bonjour, mais nous ne nous attardions pas reprenant notre route.

Un drôle de jeu commençait, en particulier lorsque nous croissions des camions, William klaxonnait en se mettant au niveau du camion et soulevai ma robe ou il passait sa main droite entre mes cuisses. Evidement le routier regardait et me voyait à travers du toit ouvrant panoramique du X5 et répondait par un Klaxon et en se rabattant devant le routier Celui-ci ne manquait pas de faire un appel de phare. 

Au bout du troisième William me demandais de mettre ma poitrine a l’air. J’obéissait je fessait glisser ma robe tandis qu’il se mettait au niveau d’un camion. Nouveau coup de klaxon toujours la main sur mon sexe.

Bien sur le routier réagissait il Klaxonnait à son tour William ce rabâtait pour ce mettre juste devant le poids lourd là il jouait avec ses clignotants et le Routier répondais par des appels de phare et un coup de clignotant à droite. Aussitôt William mis également un coup de clignotant à droite nous roulions encore quelque instant toujours devant le camion quand il remit le clignotant à droite pour se garer sur un large parking aussitôt suivi du camion.

William me demandait de rester seins nue, puis il sortit de la voiture . Je me retournais pour voir ce qu’il se passait, les deux hommes discutaient.

Le routier s’avançait prés de ma portière, et l’ouvrit il me tendait la main que je pris et il me fit sortir de la voiture pour me conduire à son camion. Ou il me fit monter dans la cabine . Et j’imagine aisément que vous savez ce qui s’est passé Bref 20 minutes après m’avoir tringlé et fais sucer sa queue sur la couchette arrière, je descendais du camion et rejoignais William , qui en guise de contrôle passait sa main entre mes cuisses pour constater que j’etais bien mouillé et remplie.

Durant le trajet je dû lui raconter en détail comment le routier m’avait baisé sans oublier un détail

Nous reprenions la route jusqu’à Villefranche sur Saône ou visiblement Il avait ses habitudes nous nous arrêtions dans un restaurant l’ave Maria qui a pour particularité d’être un restaurant routier .

William saluait le patron et la Patronne si vous vous rappelez j’ai déjà fait un jogging à cet endroit ou par jeux je m’etait prostituée.

Mais la William avait concocté tout autre chose après un repas tranquille ou je montrais bien mon entre cuisse, que quelqu’un de ses messieurs ne se privaient pas de mater. Mais ça fessait partie du jeu. Puis au comptoir du restaurant les patrons nous offraient un verre , c’est là qu’ une petite dizaine d’hommes visiblement avertie nous rejoignait. Et nous suivait à l’étage de l’établissement dans une vielle chambre je fus offerte par William et les patrons des lieux .Pour une séance d’abatage .La dizaine d’hommes me passant dessus l’un après l’autre et sous le regard spectateur de ceux qui attendaient patiemment leurs tours.

3 heures et demie plus tard et après un petit intermède avec le patron et la patronne qui voulaient leur part, nous reprenions la route . Pour quelques kilomètres ou enfin nous allions pouvoir nous reposer. Une bonne douche et au lit . Toutefois William insistait pour que je ne me nettoie pas ma petite chatte.  Bien fatiguée mais après avoir fait l’amour avec William je m’endormais.

Samedi matin a peine etais-je réveillé que je voyais William tapotant sur son téléphone d’ailleurs il prit quelques photos de moi que visiblement il envoyait à quelqu’un.

Me voyant réveiller il commandait le petit déjeuné, il me demandait de rester ainsi nue sur le lit sans que je ne sois couverte, il me caressait le corps s’attardant longtemps sur mes seins j’appréciais vraiment cet instant de douceur et de sensualité, Malheureusement vite interrompu par le service d’étage qui venait nous porter le petit déjeuné.

William se levait m’interdisant de me couvrir pour ouvrir la porte au garçon d’étage qui en entrant me vie évidement nue et n’hésitait pas me mater du coin de l’œil. S’excusant tout de même .

Et la William lui dit : Si vous voulez la gouter vous pouvez !  L’homme qui devait avoir tout juste la trentaine d’années bien que surpris, ne se démontait pas et prévient la réception qu’il ne serait pas disponible durant un instant.

Il s’approchait de moi pour venir s’assoir tout à côté. Allongée sur le dos je m’offrais a ce nouvel amant qui sans se déshabiller en baissant simplement son pantalon me présentait son sexe qui sans être totalement en érection avait déjà une belle taille. Je me redressais et me penchait pour lui administrer la fellation qu’il attendait .

William assis sur une chaises et attablé c’etait servit un café et nous regardait simplement.

La bite du garçon d’étage etait maintenant bien dure et bien grosse. Pressé par son emploi il me basculait et venait planter dans mon vagin sa verge. Le va et viens fait en premier de grand coups régulier il passait vite a la vitesse supérieur ce qui me fessait gémir je jouissait très vite et lui aussi déchargeant son jus sur mon ventre.

Il remontait son pantalon, nous remerciait et ressortis de la chambre.

William me demandait tout de suite de venir prendre mon petit déjeuné et m’invitait à venir m’assoir sur l’un de ses genoux   ce que je fessais.

Il servait mon café et me proposait un croissant et tandis que je petit déjeunait,  il me caressait mon bas ventre étalant le sperme du garçon d’étage sur jusqu’à mon sexe,

Entre deux bouchées de mon croissant il venait m’embrasser, là il me dit que je sentais la baise, sans qu’il ne m’en donne l’ordre je me levais et me mis accroupie pour prendre en bouche sa queue.

Je le suçais longuement passant ma langue le long de sa queue autour de son gland prenant ses couilles dans ma bouche, je voulais lui faire plaisir lui faire du bien.

Il se levait et me poussait vers le lit, Pour me prendre en levrette d’abord par ma petite chatte puis par mon cul . Pour passer de l’autre plusieurs fois, j’adorais sa c’etait bon je mis a suer et à trembler et quand il éjaculais dans mon minou je jouis aussi lâchant un grand râle de plaisir.

Nous finissions de nous préparer, car nous devions prendre la route ou j’allais l’apprendre quelque heures plupart nous avions rendez dans un club de motard dont je n’ai pas le droit de citer le nom .du côté de Nevers .

Nous arrivions vers les 16 heures et nous garions prêt d’un bar ou ranger en rang d’oignon quelques Motos américaine trônaient devant la façade, mais aussi quelque homme de tout âge occupé a discuter fumant et buvant des bières.

William m ouvrait avec galanterie la portière de la voiture d ou il me fit sortir, et m’entrainait passant devant le groupe d homme a l’intérieur de du bar.

Un homme sortant de je ne sais ou ce jetait sur William dans un cris de joie pour l’enlacer. J’en conclus qu’il se connaissaient très bien .

L’homme s’appelait Gilles il était le patron des lieux, William me présentait et vue la façons dont il me dévisageait , il nous invitait à le suivre au comptoir ou il nous offrait une bière ou nous étions bientôt rejoints par 5 motards à la mine patibulaire,

L’un d’eux dit à Gilles alors tu ne nous présente pas à la demoiselle .il répondit Nathalie la salope de mon ami William . Qui viens passer un moment avec nous.

Gille nous proposait de passer dans une autre pièce plus privée qui me faisait pensée a une petite discothèque, William m’enlevait ma robe et les 5 motard et Gilles de tardait pas à sortirent leurs queues et très vites je me retrouvais a croupie à les sucer .

L un d’eux lunettes de soleil toujours sur le nez , me trainer vers un divan ou il s’asseyait, me tenant par la tignasse il me guidait à sa queue ou sous les encouragements des autres. Ça queue dans ma bouche je le pompais , il voulait du sauvage j’allait lui en donnée je me redressais pour venir le chevaucher , je prenais sa queue dans la main pour venir mois même me l enfiler.

Les autres nous encourageaient,  j’entendais  des « vas-y défonce la » « remplis cette pute » « nique cette salope » et bien d’autre chose . Je me laissais glisser sur sa bite, je menais le jeu ,il posait ses mains sur mes fesses qu’il pressait comme des pamplemousses, il suivait mes va et vient,  et je commençais a frissonné de plaisir. Mon clitoris et les lèvres de mon sexe n’ayant pas été épargné ses deux derniers jours ils étaient plus sensibles, les autres commençait à se masturber l’un d’eux s’approchait pour une fellation puis un deuxième.  Suce salope ! Le premier qui etait venue se faire sucer laissait la place a Gille, puit il vient se placer derrière moi .Je me penchais en avant pour lui faciliter l’accès a mon anus. Mais en fait non il tentait avec sont amie déjà en moi une double vaginal et il semblait qu’ils maitrisaient parfaitement la pratique. Les deux bites dans mon vagin maintenant bien écarté les deux bites coulissaient en moi.

Putain c’etait bon aux frissons venait se rajouter des tremblements et de la sueur, mon plaisir etait de plus en plus grands.  Les deux bites ont l’unissons me ramonaient ,je prenais tellement de plaisir que je n’arrivais plus à sucer les deux bites que me tendait les deux autres.  Dans un cri de jouissance un jets cyprine s’échappait de ma chatte, suivit de plusieurs autres plus petits.

Les deux hommes continuaient jusqu’à leurs propres jouissances , bientôt sans aucune pose je resavait les assauts des suivants et à la chaine tantôt dans mon sexe, tantôt dans mon anus.

Je n’avais pas vue que d’autres bikers étaient entrer de la pièce et je passais d’une banquette a une autres d’hommes en hommes au bout d’une quinzaine de motards, etait extenuée

Je finissais quand même à plat ventre sur le billard , sodomisée a la chaine par quelqu’un qui avaient encore envie de se vider.

Quand ce fus fini William me tendais ma robe je dégoulinais de de sperme et de cyprine .

Et une fois dans la voiture, je ne tardais pas à m’endormir alors que nous prenions la direction de Paris. William m’avait laissé dormir durant deux bonnes heures nous n’étions plus très loin de Paris.

Je voulais aussi profiter d’une petite halte dans une station-service pour me rafraichir aussi me laver la bouche j’en profiterais également pour changer ma robe toute imprégner des effluves de mes exercices. Et un petit coup de maquillage.

Arrivée donc aux toilettes de la station-service j’allais également me soulager mon minous etait tout gonflé et sensible ça ne me fessait pas mal mais j’avais reçu en deux jours mon urine me brulait un peu, mais j’étais soulagée et j’en ressortais presque en forme un petit coca et un paquet de chips plus tard j’etais de nouveau d’attaque.

Nous reprenions la route.  Notre arrivée se fessait dans un grand hôtel Parisien. Notre suite etait sublime et posé sur notre lit je découvrais plusieurs paquets .

William m’avait offert et fait livrée une robe de soirée, des chaussures et quelques accessoires. Il voulait m’emmener diner dans un restaurant étoilé. Ce soir je serais Madame Nathalie et non sa soumise.  Connaissant ma passion pour le métier de la restauration il voulait m’offrir une grande table a suite de quoi une petite balade a Pigalle la nuit etait programmée .

Je passais un merveilleux moment surpris de ne pas m’être encore retrouvé à genoux ou allongée.

Pourtant il n’en fut rien la soirée terminée, nous regagnions notre hôtel, Oui William me fit l’amour avec force et vigueur ..

La suite a suivre .

Encore une fois, ceux qui suivent mes aventures ont déjà entendu parler de Léa ou plutôt de son papa qui en plus d’être le médecin de famille, a été le premier à me faire découvrir qui je suis réellement.

Jusqu’a il y a une quinzaine de jours, elle pensait que je lui avais toujours tous dis. Mais quand la rumeurs et venue jusqu’à elle concernant mon autre vie, elle ni a tout d’abords pas crus. Mais quelques indices finalement la poussait au doute et à venir m’en parler.

Donc Léa et moi nous nous étions fait notre petite journée entre filles , shopping, glace a la terrasse d’une brasserie de Valence, et petite soirée devant Netflix et notre série préférée.

C’est la que Léa me parlât, en me relatant une rumeur qui disait que je me prostituais. Evidement non mais je lui avouais que je connaissais l’origine de ce cette rumeur.

Elle insistait et voulu en savoir plus, Je lui parlais donc de ma libido particulière et du fait que j’assumais mon rôle de soumise salope . Évidement je démentais me prostituer puisque c’etait le cas.

Mais elle se montrait curieuse et me posait une rafale de question auquel, je dû répondre. Mais je n’entrais pas trop dans les détails .

Et là elle m’avouât qu’il y a environs 6 mois elle avait eu une expérience avec deux garçons de son club de sport et ce mis à me raconter dans les détails. Evidement ça me fessait sourire car il y avait bien longtemps que passer ce stade.  Mais je me rendais compte que Léa n’etais pas si innocente que ça. Elle m’avoua même qu’elle aimerait bien recommencer.

Nous passions la nuit a parler de mes expériences et aventures je pensais la choquer mais non elle trouvait formidable le fait que je m’assume, mais deux points la choquais un peut le fait que je baisses avec inconnus mais surtout que la majorité de mes rapports soient non protégé.

Je lui expliquais donc que je prenais quand même quelques précautions que j’avais un implant contraceptif, et qu’avant les rencontres je me lavais avec un savon antiseptique et spermicide et idem après les rapports et que j’avais toujours des des pilules du lendemain que son Papa m’avait fourni.  La boulette !

Etonné de savoir que son père connaisse ma vie sexuelle, je lui rappelais qu’il etait mon médecin et qu’il me connaissait depuis que je suis née.  Et là elle me dit ! Tu as couché avec mon père ? Je tentais d’esquiver la question mais visiblement j’en avais trop dit. Elle insistait en rajoutant qu’elle connaissait son père et qu’elle ne m’en voudrait pas.

Je lui avouais donc que c’est son père qui le premier m’avait initié avec son collègue . Finalement je lui dis tous lui racontant comment je m’etais retrouver à coucher avec mon oncle Antoine, et que j’avais même aimé cela. Et surtout à quel point j’aimais me sentir salope.

Cela devait faire plus de quatre heures que nous parlions quand sans que je mi attende elle s’approchais de moi et déposait un baisser sur ma bouche. Et doucement elle me dit : Apprends-moi.

Je fis mine de ne pas avoir entendu, et elle répétait : Apprends-moi , après le père tu peux avoir la fille. Montre-moi ce que mon père ta appris .

Je lui rendais son baisser et je lui hottais son teeshirt qui lui servait de pyjama Léa et moi nous nous connaissons depuis toujours donc nous nous sommes déjà vu nue a de multiples reprises. Là ça avait un autre sens. J ‘enlevais également mon petit top et mon petit short de nuit.  Je commençais à caresser doucement mon amie, les épaules d’abord puis toujours lentement je descendais sur ses deux magnifiques seins sur les quels je déposais des baisser et passait ma langue sur ses tentons devenues tout dures, Elle m’imitait reproduisant mes gestes avec la même douceur.

Je l’allongeais embrassant son ventre et caressant ses jambes, jusqu’à ce que mes mains sur sa hanche attrapent sa petite culotte, que je fessais glisser sur ses chevilles. Elle écartait un peut les cuisses comme pour m’inviter à découvrir son joli petit minou, je me penchais de nouveau sur sa bouche et nos langues s’entremêlaient.

Je glissais une main entre ses cuisses, et toujours doucement je passais mes doigts sur les lèvres de son vagin, elle se mit à frémir , la chaire de poule sur sa peau.

Ecarte tes cuisses. Lui dis-je , mes doigts s’enfonçaient dans sa petite chatte qui commençait a mouiller, je la fouillait et elle se recroquevillait, ce tordait, gémissait, Elle passait une mains pour ce titiller les clitoris.  Alors voyant cella tout la masturbant j’écartais sa main pour la remplacer par ma langue. J’adorais le gout petit gout salé de sa chatte.

Elle avait posé une main sur mes fesses me les serrant à chaque coup de langue.

Je fini par me redresser et allait chercher dans le tiroir d’une commode une boite que je posais sur la table du salon tandis qu’elle continuait à se faire du bien. J’en sortie un godmichet que William m’avait offert.

Je l’embrassais de nouveau et passant une jambe par-dessus sa tête, lui demandais de me lécher. Elle etait un peut maladroite c’etait sa première fois avec une autre fille. Puis je me laissais aller en avant pour un petit 69.  Que j’appréciais tout particulièrement.

Puis je présentais le godmichet a l’entrée de son vagin et l introduit commençant quelque va et vient je sentais son plaisir monter. Et sa jouissance en un long râle.

A mon tour de jouir je lui tendais le godmichet et je lui dis baisse moi. Elle le prit mais avait du mal a me l’enfiler et je dut l’aider, Enfin l’objet me pénétrait, Léa etait trop délicate je du lui dire baisse moi fort ! elle prenait le rythme et de la confiance. Ça y est à moi de Jouir.  Elle avait réussi .

Notre exercice fini, elle me dit qu’elle espérait que ça ne serait qu’un début car maintenant elle me demandait de lui présenter William .  Je lui expliquais que ma relation avec William etait une relation maitre esclave, elle voulut quand même tenter l’expérience. Et je lui rappelais que nos jeux pouvaient aller loin et que nous ne serions pas ce qui nous attendais.

Elle me répondit qu’elle etait prête et que comme moi elle assumerait ce qui arrive.

J’envoyais donc un message à William qui m’appelais tout de suite. Je m’etais l’hautparleur et expliquais à mon maitre la situation. Et Léa lui confirmait son désir d’une expérience sans savoir ce qu’il se passerait rendez-vous etait pris pour le lundi soir (hier le 08/08/2022).

Nous arrivions chez William il etait un peut plus de 21heures, j’avais vue deux voitures garer dans l’allée.

J’ouvrais la porte accueillit par pompon le chat persan de William. Et nous traversions la maison pour rejoindre la terrasse. Personne.

 Je trouvais finalement William à l’écurie avec trois autres hommes.  Qui s’afféraient à décharger une remorque de foins pour ses chevaux.

Je saluais tout le monde et présentais Léa , William me demandais de regagner la maison et de préparer un de quoi prendre un verre et un plateau de fromage et de charcuterie il revenait près d’une heure plus tard avec ses amis.

Après un premier verre et une conversation qui nous mettait Léa et moi au centre des attentions .

William commençait à expliquer que Léa voulait se dévergonder un peut et voir comment je pouvais être une vraie chienne. Il mit de la musique m’ordonnait donc de me mettre nue en dansant.

Sans hésiter j’obéissait, je me reculais un peu et commençais a me déhancher sur la musique, laissant glisser a mes pieds la petite robe Moulante que je portais ne gardant que mes chaussures a talons puisque je ne portais rien d’autres.

William s’approchait de Léa pour la tenir collée contre lui par la hanche.

Regarde comme ton amie est obéissante. Lui dit ‘il .Je continuais à me trémousser passant les mains dan mes cheveux, me mordillant les lèvres en les regardant comme une bonne salope.

William proposait aux trois hommes de s’approcher de moi, et m’ordonnait de les sucer. Ils étaient autour de moi et sortaient leurs bites de leurs pantalons.

J’en attrapais une dans une main que j’accompagnai dans ma bouche, j’en pris une autre dans la main gauche. Et libérais ensuite ma main droite pour attraper et branler la troisième . Les trois hommes se mirent nu tendis que je jonglais avec les trois bites.

Regarde comme elle aime ça sucer des bites ta petite pute de copine lui dit encore William . Elle ne répondait pas me regardant. William avait passé une main sous le chemisier de Léa et lui caressait le ventre et la poitrine, elle se laissais faire.

Quelques instants après, je rejetais un œil vers Léa. Elle etait torse nue William penché sur sa poitrine. Il glissait sa main droite sous sa jupe qui ne tardait a se retrouver a terre tandis la main se glissait doucement dans sa culotte . Elle ne bougeait pas comme tétanisée.

De mon côté je continuais à sucer les trois bites maintenant bien dures. Et je commençais a éprouver une sorte de frustration ou plutôt de jalousie a voire William tenter de pervertir mon amie.

Ça y est la culote a terre Léa etait nue, trois doigts de la mains droite de William enfoncés dans sa chatte.  Elle commençait à sentir l’excitation monter, de son autre main il sotie sa verge . .

Branle-moi ! lui dit ‘il. Léa un peu hésitante pris la bite de William en main et elle commençait à le masturber je tant un œil vers moi je lui souriais comme pour lui donner ma permission.

Léa prenait le rythme , elle branlait mon maitre jusqu’a se qu’il lui ordonne de se mettre à croupie .    La bite en bouche elle s’appliquait à lui faire une fellation, il la guida. Elle obéissait à tous sans broncher comme une bonne soumise.

Les trois hommes me conduisaient sur le pouf ou ils m’allongeaient sur le dos une bite dans la bouche j’en branlais une autre, alors que le troisième larron après m’avoir mis quelques coups de langues sur ma chatte, me permettrais sans autre préparation en me traitant de salope, je mouillais déjà beaucoup et mon plaisir montait

Mais je cherchais à voir William et Léa il etait maintenant nue Léa assise sur un tabouret il lui léchait la moulles. Elle se tordait et tremblais donnant de petits gémissements de plaisir.

Les trois hommes échangeaient leurs places une autre bite rennais place pour s’introduire en moi.

William lui c’etait redresser et il etait entrain de baisser Léa, qui la tête en arrière avait l’air de prendre son pied. Elle me regardait les yeux a moitié fermé la bouche mi ouverte. Puis il sorti d’elle.

Elle etait chaude, son envie de jouir allait la conduire à accepter trois bites bite supplémentaire .

William la tenait par la main et la conduit a nous. Il interrompait ses trois amis en me laissant sur ma faim.

Messieurs occupez-vous de cette petite pute maintenant ! Ils s’approchaient d’elle et lui tendaient leurs bites. Suce-les maintenant.  Léa sans trop d’hésitation malgré la gêne visible. William en bon maitre la guidait. Je restais assise sur mon pouf je la regardais envieuse de l’intérêt que mon maitre lui portait.

Après les avoir sucés, assise sur le divan jambes en l’air il la pénétrait à tour de rôle, et elle avait du avoir plusieurs jouissance a entendre ses râles et cris de plaisir. 

William me demandait de venir, mon nouveau rôle etait de garder l’érection de ses messiers en les suçant avant qu’il ne la pénètre . je devais obéir.

Puis ils la retournaient accroupi contre le divan penché en avant. Ils lui demandaient de se cambrer.et sachant ce qu’il allait se passer tendit qu’un premier l’avait prise en levrette, J informais mon maitre qu’elle n’avait jamais été enculer.

Très bien me dis t il je m’en occupe, alors que l’un des trois autres hommes me tirait à lui et me ris également en levrette, ouf j’allais pouvoir à mon tour jouir . Ça bite me pénétrait ses couilles frappait mon derrière. J’adorais !  Je décollais pour la planète plaisir et lui aussi je sentais bien son foutre envahir chaque recoin de ma chatte. Une très grosse éjaculation. Mais malgré qu’il eu jouis il continuait à me prendre.

Je jetais de nouveau un œil William discutais avec Léa qui l’écoutait attentivement, il allait l enculer mais il essayait de la rassurer. Mon amant ayant fini son coït . Je m’approchais de Léa ma présence la rassurait, je l’embrassais sur sa bouche.

A ce moment je l’entendais gémir légèrement.  Détends-toi lui dit William. Je lui parlais lui disant que tout allait bien se passer .

William il avait mit un doigt dans l’anus il essayait de la dilater, un deuxième doigt et la il commençait un va et vient. Elle pinçait les lèvres mais ce laissait faire

Après lui avoir masturber le cul.  Il engageait sa bite. Le gland commençait a lui fendre le cul. Elle retenait ses cris, des larmes coulaient sur ses joues .

J’y vais !! dit-il .Il poussait un coup sec et sa queue entrait jusqu’au couilles dans l’anus de ma copine qui hurlât, il reculait doucement. Et recommençait un petit filet de sang sortait de son anus.

Il lui limait le cul de plus en plus vite elle haletait, et poussait de petits cris, puis elle se mit a accompagner ses mouvements et ses larmes ne coulait plus. Je lui demandais comment elle allait elle me répondit par un hochement de tête. 

William lui fini par lui remplir le cul de sons sperme, il sortait et approchait sa bite de ma bouche. Nettoie-moi salope me dit ‘il . Je prenais sa queue dans ma bouche. Tandis que Léa toujours à quatre pattes recevait une autre bite dans son cul.  D’ailleurs il lui fessait son cul l’un derrière l’autre.

Il avait fini par tous lui remplir le cul. 

Elle etait épuisée, les quatres garçons nous laissaient nous remettre et je proposais, à ma copine un petit bain de minuit dans la piscine.

Une fois dans la piscine je lui demandais comment elle se sentait.

Elle me dit que tout etait très excitant et elle me dit comprendre pourquoi je préférais les hommes mur elle les trouvait plus expérimenté, plus dure et surtout moins presser.

Puis on parlait de son anus, la-elle etait mitiger. Elle me que quand William l’avait pénétré ça lui avait fait très mal et qu’après il y avait eu sensation de brulure mais que en même temps il y avait aussi eu du plaisir surtout quand la bite etait bien au fond. Mais qu’elle avait adorer quand ils ont joui dans son anus. Elle m’avouait que l’expérience en générale lui avait beaucoup plus. Et elle me dit que quand elle avait vu William au premier abord elle n’avait pas compris ce que je lui trouvais , il a du ventre, il est vieux. Mais quand il l’avait baissé sur le tabouret elle avait adoré et pris un pied comme jamais.

Nous restions une bonne demi-heure dans la piscine avant que l’un deux viennent nous rejoindre voulant chahuter un peut avec nous . Bien sur un prétexte pour nous tripoter.

Bientôt alors que nous étions maintenant au salon de jardin, il nous proposait de fumer son cigare a deux Léa et moi le sucions ensemble en profitant pour mêler nos langues. Ce qui attirait le reste de ses messieurs qui eux aussi voulait une fellation .

On s’appliquais a les sucer durant de longue minutes quand deux des garçons allongés au sol nous demandait a venir nous empaler sur leurs queue à califourchon chacune sur un des mecs on s’empalais sur les bites de ses messieurs. Quand au deux autres il se plaçaient dernière nous pour nous prendre le cul. Léa pour sa première nuit de salope avait le droit au grand jeu. Un sandwiche.

Ils nous baissaient toutes les deux en parfaite synchronisation, même nos gémissements l’étaient.

Nous prenons même notre pied ensemble. Bien baisée et bien remplie et surtout comblé,  nous finissions la nuit au côté de William.

Quand au lendemain Léa me fis promettre un peut honteuse que je ne dirais rien.