Mardi 29 mars 2 29 /03 /Mars 15:11

semblant

 

Pour ceux qui souhaite en savoir plus sur moi la question m'ayant a plusieurs reprise ete posèe sur mes gouts musiquaux  qui sont plutot rock voici ce que j'ecoute  avec mon goupe preferé SEMBLANT.

https://www.youtube.com/watch?v=32vyLhQo4Y8

 

Par BBLOVE26 - Publié dans : FAQ Réponse a vos question - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Mardi 29 mars 2 29 /03 /Mars 11:13

piscine

 

Direction Avignon pour ce dernier weekend de mars , Ou nous étions invités William et Moi dans un Mas pour un barbecue nudiste coquin et .

Arrivée sur place je retrouvais avec plaisir Marie qui venait également d’arrivée avec son Maitre Hugo. Elle semblait également ravie de me voir et directement en me voyant il vient m’embrasser avec un long et langoureux baisé. Ce qui déjà attirais l’attention.

Notre hôte après nous avoir installer dans notre chambre,  nous invitait a le rejoindre sur la terrasse ou nous étions attendu pour l’apéritif,

William me dit de me mettre nue , j’obéissais évidement et il en fit autant.  Là il me dit : c’est vrai que tu es très belle il ne me l’avait jamais dit. Il s’approchait, m’enlaçait et me roulait une douce et merveilleuse pelle comme s’il était amoureux.  Il avait déjà montré de la tendresse mais là il me semblait plus câlin.

Il s’accroupie devant moi et embrassait mon sexe, y passait la langue et très me retournait pour faire de même sur mes fesses, il se relevait, me penchait en avant ses mains posées sur me seins et je sentais son sexe fendre les lèvres du miens et comme je mouillais déjà elle entrait sans difficulté

Il me baisait en me susurrant à l’oreille que j’étais une adorable pute . Je commençais à jouir alors que je sentais les jets de son plaisir en moi envahir mon vagin. 

 

Après avoir passé une serviette de bain autour de la taille et après m‘avoir embrassé de nouveaux ouvrions la porte fenêtre de la chambre qui nous conduit directement sur la terrasse et la piscine avec une vue magnifique sur un champs d’olivier et des vignes au loin.

Nous étions en milieux d’après-midi et sur la terrasse il fessait bien plus que les 23 degrés annoncés.

Nous nous installions table ou Hugo et Marie etait déjà évidement j’allais m’installer à côté d’elle et heureuse de nous retrouver nous commencions à papoter bière à la main.

Il y avait là également deux autres hommes qui devait avoir entre 35 et 50 ans ainsi que dans la piscine 3 autres hommes qui s’amusaient à ce lancer une balle, l’un deux etait un black d’une trentaine d’année au physique d ‘athlète et qui n’arrêtait pas de me regarder.

D’ailleurs il ne tardait pas à venir entre Marie et moi s incrustant dans notre conversation.

Il fini par nous inviter tout deux à venir nous baigner, Nous laissions nos tomber nos serviettes pour une longue partie de balle a dans la piscine.

Jadel c’est le prénom du black,   venais régulièrement se coller a moi ou venir m’aider dans le jeu.

Quand il me prit par les hanches, je a se moment son sexe contre mon ventre , tu sens comme je suis dure me dit-il ? Il va falloir que tu m’aide.

Il m’entrainait alors sur l’escalier de la piscine ou il s’assit pour que je lui prodigue une fellation.

Je suçais avec plaisir cette bite d’ébène qu’il m’offrait, passant bien ma langue autour de son gland comme il me le demandait tout en lui massant les testicules.

Marie n’etait en reste elle-même s’occupait des deux autres baigneurs.

Jadel me demandait de monter deux marches de façon à positionner ma chatte au-dessus de sa bouche, un doigt dans mon anus il commençait à me lécher enfonçons sa langue dans mon sexe .

C’etait super bon et mon gémissement attirait le regard des hommes rester à table, et mon maitre me souriais je sais qu’ il adore me regarder quand je baise avec d’autres.

J’étais maintenant à 4 pattes sur les marches, la grosse queue black enfoncée, en moi, a me faire sauter et a prendre mon pied. Jusque a ce qu’il me remplisse il m’avait baisé près d’une demi-heure et il m’avait bien fatiguée,

Marie elle aussi après avoir bien reçu, viens me rejoindre, et m’embrasser et bien sûr nous caresser. Nos seins pointaient et il etait pour eux aussi de recevoir quelques caresses. Nous offrions donc notre spectacle a notre hôte et ses invités.

Nous retournions assoiffées à table rejoindre nos maitres après avoir bue un verre et nous et manger quelques bricoles le tout arroser de conversations plus ou moins intéressantes.

Je me retrouvais quand même, à sucer notre hôte entre deux verres , et à le masturber entre mes seins sur les quelles il voulut jouir.

Puis il partie allume sons barbecue.  Maire et moi profitant d’un moment de répit décidions de profiter sur les transats du soleil.

Monsieur c’etait mis un peut a l’écart avec un autre des invités avec qui je compris qu’il etait en affaire sur un projet immobilier il semblait contrarié mais comme je les entendait rire je compris que ce n’etait rien de grave.

Il m’appelait et m ordonnait d’aller m’occuper de son associer dans notre chambre l’homme ayant envie d’un moment seul avec moi. Mais avant de me suivre il allait chercher une petite sacoche.

Arrivée dans la chambre dans la chambre il me demandait de me mettre à genoux et de mettre mes mains dans le dos. Il sortait de son sac une cordelette avec laquelle il m’attachait les mains . Une fois fait il commençait à m’insulter en tournant autour de moi quand il m’attrapait violement par les cheveux. La je reçu une gifle je vais honnête il avait retenue son coups je ne dis pas qu’elle ne m’avait pas fait mal mais sa restait supportable,  Mais des larmes commençais a couler sur mes joues.

  il sortait une  cravache, et la je commençais à m’inquiéter d’autant que Monsieur William m’avait assuré que jamais je n’aurais a exposer mon intégrité physique, et j’en informait cet hommes qui me répondait fermentent de fermer ma gueule !

Il passait sa cravache, doucement sur mon corps et quand il arrivait sur mes seins il mit des petits coups sur mes tetons , et sur mes seins il ne me fit pas mal, mais je remarquais puisque ca verge se retrouvait sous mes yeux qu’il bandait de plus en plus.

Continuant à m’insulter et à m’accuser de choses et d’autres,  en me tirant par les cheveux il m’obligeait a me mettre debout et a me tenir penché en avant ou je reçu sur le cul qu’elle que coup de cravaches sans douleurs. Puis il passait sa cravache le long de ma colonne vertébrale de haut en bas je la sentais ensuite passer le long de la raie de mes fessez jusqu’à mon abricot dans la quelle il l enfonçait légèrement il jouait avec quelque instant.

Dans la douche ! Me criait il dessus j’obéissais , il me demandait de nouveau à ce que je me penche et la il me sodomisait, quand je sentit un liquide chaud couler en moi et le long des mes cuisses.

Il etait entreint de me pisser a l’intérieur de mon anus. Quand il eut fini il se mis à genoux derrière moi qui n’avais pas bougée m’écartait les fesses tandis que sa pisse ressortait par jet sur son vissage puis il se mis a me faire un long anulingus qui me fessait du bien .

Je dus quand même le sucer et il allait se finir en m’enculant de nouveaux jusqu’à jouir.

Après avoir pris une douche ensemble ou il prit soins de luis même me laver, nous retournions sur la terrasse ou Marie etait prise en sandwich.

La soirée arrivait vite notre hôte avait préparer le barbecue , la soirée se rafraichissant j’avais remis la serviette en mode paréo. Le repas fut assez long .

Et bien sûr marie et moi devions nous occuper du service et de la vaisselle. Et tandis que le repas fini nous nous affairions à nos taches.

Les hommes s’engageaient pour la plupart d ‘eux dans une partie de poker qui allait durer une partie de la nuit. Evidement entre les paries Marie et mois leurs servion de vide couille tout comme le lendemain ou un autre couple et quelques garçons étaient venue ce joindre à notre weekend coquin

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Vendredi 25 mars 5 25 /03 /Mars 07:57


Ce qu’il s’est passé ? en fait pas grand-chose. Bien que j’aie eu de l’amour pour celui qui a été mon première partenaire au bout d’un peut plus de trois ans de vie commune l’amour c’est transformé en une simple affection. Des rapports sexuels non satisfaisant et ses absences professionnelles sans parler d’une vie sexuelle plan plan et sans saveur.

J ‘ai préférer il y a quelque jour mettre fin à notre relation. Et puis ma vie dissolue ne doit en aucun cas lui être défavorable.

Alors messieurs ne vous précipitez pas je ne souhaite en aucun cas me mettre en couple et ma relation privilégié avec monsieur William me satisfait et m’apporte ce que je souhaite, du sexe , de la tendresse , ma soumission et même de quelques sentiments .

Par BBLOVE26 - Publié dans : Coup de gueule, réflexion et questionnement - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Jeudi 24 mars 4 24 /03 /Mars 23:14

Will et moi 1Will et moi 2

 Ce mercredi j’arrivais chez Monsieur William, il etait debout dans son séjour accroché à son téléphone faisant les milles pas, il tenait en anglais une conversation qui semblait bien sérieuse.

Je posais mes affaires et m’approchais de lui pour l’embrasser entre deux phrases, il me sourit et me dit simplement sers toi quelque chose j’arrive. Nous étions en début et je me préparais un petit café et de loin il me fessait signe qu’il en voulait un aussi.

Voulant fumer et le café servis je m’installais sur la terrasse ou Purcell la siamoise de Monsieur William commençant à me connaitre s’approchait pour un petit câlin. Elle ronronnait se frottait.

Monsieur William toujours au téléphone vient s’assoir à côté de moi pour boire une gorgé de sont expresso.  Et me dit avec un petit sourire que cette chatte avait bien de la chance de pouvoir être caresser ainsi.

Il me fit signe d’approcher. Se que je fis et me dit en mettant la main sur son téléphone .Suce-moi

Je me mettais a croupie face a lui, et sortait sa verge après avoir déboutonné son pantalon et baissée sa braguette, je le masturbais et commençais à le sucer. Sa queue gonflait dans ma bouche et je fessais en sorte de donner un maximum de plaisir a mon maitre. Toujours au téléphone je le voyais grimacer quand ma langue tournait autour de son gland.

Il finit par poser son téléphone, et m’entrainait sur le divan et il me bandait les yeux et me déshabillait. Il me fit tourner plusieurs sur moi, je commençais à perdre le sens de l’équilibre. Puis il remenaçait dans l’autre sens et je chavirais sur la méridienne.

Il me dit de ne pas bouger le temps qu’il se mette nu. Mais je l’entendais farfouiller dans sa cuisine.

Lorsqu’il revient il commençait à me caresser sur l’ensemble du corps avec ses deux mains. Passant sur chaque centimètre carré de ma peau. Il me demandait d’ouvrir ma bouche ou il introduit sa queue et il me demandait de le sucer doucement .quand je sentais sur l’un de mamelon quelle que chose de très froid, puis sur le second .

Cela me donnait la chair de poule. La sensation de froid se prolongeait sur tous mon corps je devinais que c’etait de la glace, sentant les goutes glacées couler au fur et à mesure que le glaçon fondait sur ma corp. Pour continuer il dû retirer sa bite de ma bouche, il m’embrassait et prit un autre glaçon qu’il passait sur mes lèvres.

 Il passait le glaçon sur mes flancs descendant sur mes hanches ce coups si j’avait des frissons . Mais se fut terrible quand alors que j’étais sur le ventre il passait le glaçon sur mes cuisses et sous la plante de mes pieds . Je n’arrive pas à définir cette sensation ça brulait c’etait froids ça chatouillait ça me fessait du bien.  Puis il en prit un autre qu’il posait sur le haut de la raie de mes fesses, le lassant fondre en me faisant un anulingus, Alors la !  ALORS LA ! l’eau glacé arrivait a jusque sur mon sexe avec sa langue sur mon anus la chair de poule et les frissons étaient encore plus intense et la chaleur de mon désir qui montait, je sentais sa respiration sur mes fesses.

Il me retournait de nouveaux. Prit un autre glaçon posait mes jambes sur ses épaules et me pénétrais et la le glaçon il le lassait fondre sur mon ventre puis juste au-dessus du clitoris. Enorme ! pas d’autre mots

Il me baissait très doucement puis sortie, Mais j’en voulais encore je sentais le glaçon sur mes lèvres vaginale.  Puis il prenait de nouveau plus fort et plus vite, je me mis a me caresser en même temp.

Je gémissais et haletais très fort, Et la alors que je sentais sa queue en moi, une autre entrait dans ma bouche. Dans l’excitation je ne m’étais pas rendu compte que je me fessais baiser par un autre.   Mais là je m’en foutais mon plaisir etait montée je jouissais.

Je me retrouvais bientôt à califourchon empaler sur la bite de monsieur William quand l’autre personnes placé derrière moi vient lui aussi s’enfiler dans mon sexe .

Les deux hommes et me firent de nouveaux jouir et d’une telle intensité que je coulais littéralement de cyprine, Puis il me prit mon petit anus bien serré.

Monsieur William me remplissait de son sperme bouillant et je ne tardais à recevoir celui de l’inconnue au font de mon cul.

Les deux hommes, continuait à me caresser et me masser pendant plus d’une heure avant de m’ôter le bandeau.

Monsieur William me dis qu’ il avait voulu me montrer que le sexe pluriel pouvait également être doux et sensuelle.

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Mardi 22 mars 2 22 /03 /Mars 22:20

prostituata

Pres de deux mois étaient passé j’étais retournée à l’internat et je ne rentrais que tous les quinze jours évidement ceux ou maman travaillant de nuit je devais m’occuper de ma petite sœur. Et ou par la même occasion Maurice couchait avec moi ou plutôt devrais je dire se vidait les couilles car je n’étais pour lui que ça. Les autre Week-end je les passait chez ma grande mère la seule personne qui me montrait vraiment de l’affection.

Les mercredis après-midi j’en profitais en générale pour sortir avec des copines. Pour aller au cinéma ,nous promener ou boire un verre au café.

Et un mercredi alors que je sortais de lycée avec un groupe des copines, je vis Maurice il saluait mes amies et m’entrainait dans sa voiture et démarrais.

Je lui demandais ce qu’il se passait et me dis j’ai besoin de toi ! tais-toi et obéie. Il me demandait ensuite de me changer tandis qu’il conduisait en me montrant un sac.

Je me changeais. Il avait récupéré dans ma chambre une mini-jupe en cuir un chemisier a carreaux rouges qui se nouait en bas et des talons ,il avait acheté une paire de bas noir . Il me demandait également de ne pas garder mes survêtements .

Je l’informait également que depuis plusieurs jours j’avais des nausées et des vertiges il me répondait que ce n’etait pas son problème. Bizarrement je m’attendais a cette réponse alors je l’informais que je n’avais pas eu mes règles. Il me répondit que cela ne changeait rien.

Je savais pertinemment ce qui allait m’arriver, Pour ceux qui ne connaissent pas Bordeaux il avait a cette époque une rue connue pour ses prostitués et ses cafés plus ou moins louche . La rue saint Catherine . Et bien que je sois naïve enfin un peu moins je voyais bien ou il me conduisait.

Il se garais et me menais à l’étage d’un vieux bâtiment qui abritait un bordel.

Maurice parlait avec un homme, puis il me présentait la voici je repasse la prendre vendredi soir.

Vendredi soit ! m’esclaffais-je ! Mais j’ai école et maman. Là il me dit de ne pas m’inquiéter pour ca qu’il avait fait en sorte que personnes ne pose de question.

Il rajoutait que je devais bien travailler pour payer sa dette . Maurice etait joueur et semble til I avait perdu une grosse somme qu’il ne pouvait pas rembourser et j’allais devoir me prostituer pour payer sa dette.

Il partait me laissant aux mains de l’homme et tu femme il me dévisageait et me montrait une chambre . Et me dire que j’allais officier en ce lieux il me montrait derrière un paravent un lavabo, des wc et des serviettes . il me donnait tout un tas de consignes. 

Puis la femme sortis me laissant seul l’homme il voulu me prendre mais dans un geste de panique je le repoussais, alors il me frappait un grand coup de poing sur le cotè droit de mon ventre et une grande claque sur le visage.  Il m’attrapait par les cheveux et me tirais jusque sur le lit. 

Il écartait mes jambes et me violait . Une fois fait il descendait en me tenant par le bras dans la rue.

Il fis signe a une autre fille et lui dit de me surveiller, J’avais peur la fille une autre prostituée tentait de me rassurer.

Deux hommes , des militaires s’approchaient. Laurence c’etait le nom leur donnais le tarif c’etait 50 francs la pipe ou 100 francs l’amour. Nous montions et dans la petite chambre après que le militaire mais donné l’argent , il me baissait après une courte fellation à cette époque on ne parlait pas encore du sida et les rapports se fessait nature sans préservatifs, ce premier client passé, je redescendais regardant à droite et à gauche une possibilité de m’évader, et alors que je commençais à m’éloigner j’étais rattrapé par un autre homme un grand chauve avec des lunettes fumé et un manteau de cuir marron. Il me disputait et me dis de reprendre le turbin.

J’enchainais les passes sans y trouver de plaisir, soumise et a purée. Jusqu’a ce qu’un maghrébin m’aborde,  je le repoussais mais il insistait m’agitant sous le nez une liasse de billet.

Je ne voulais pas qu’il me touche sans doute un peut de racisme primaire, Mais voyant le chahut l’homme chauve qui s’appelait Guy intervenait. Je pensais qu’il allait éconduire, mais non il me menaçait d’une raclée si je ne montais pas avec lui.

L’arabe me payait et me demandait de me mettre nue, j’obéie il me paraissait sur tout le corps me donnant des frissons, a la suite de quoi nous passion a un 69 et je vais être honnête jusque-là personne ne m’avait aussi bien léché et masturbé, et la mon clitoris excité par sa langue je jouissais.

Puis il me pris en missionnaire tout en massant et embrassant mes seins, je prenait une seconde fois mon pieds, j’entourais alors mes jambes autour de lui et lui demandait de m’en donner plus. C’était trop bon.  Dommage qu’il fini par jouir car j’en voulait encore et je restais sur ma Fain.

J’enchainais encore six ou sept clients avant que l’on me donne la permission d’aller dormir après une petite toilette.  Mais avant ça je dus donner le millier de francs gagné à la mère maquerelle,

Le jeudi matin je me réveillait avec de nouvelle nausée, mais je dus tout de même retourner tapiner. Sous la surveillance des autres filles et de Guy.

Le matin fut relativement calme , je pu même aller boire un chocolat chaud avec Laurence dans le bar d’en face.

Mais arriver midi les choses s’accélérait, sans doute la faite que je sois la plus jeune des filles et nouvelle j’avais fait une quinzaine de client dans la journée.  Je commençais même a y trouver du plaisir avec certain client. 

Le vendredi arrivait vite, il etait 18h00 quand Maurice vient me chercher. Nous allions voir le tôlier a qui je remettait ma recette et les compte fait j’avais gagné 3650 francs. Maurice en avait perdu un peut plus de 9000.

Je devais alors me prostituer durant encore quelques jours. Mais pas se Week end je devait rentrer chez moi Maurice avait été chercher mes affaires a l internant et remis un certificat de maladie a mon lycée prétextant une dépression j’etait exemptée d’école pendant près de 20 jours .

Les semaines suivantes j’avais pris un peux plus d’assurance et je commençais à être mal vue par certaines filles qui jalousaient l’argents que je rapportais. 

Et je dus en payer le prix puisque d’eux d’entre elle alors que je descendais après une passe virent me menacer et me frapper, Heureusement Laurence les mettaient en fuite.

Cette altercation venait de me redonner l’envie de fuir et le lendemain j’échafaudais un plan, j’avais remarqué que le bistro ou l’on allait boire un coup ou nous soulager avait une porte qui donnait elle même dans allée qui conduisait dans la Paul Bert. Ou je pourrais prendre un bus et rentrer chez ma grand-mère.

Malheureusement mon plan échouait car a peine avais-je franchit la porte que le patron du bar donnait l’alerte et j’étais poursuivit par GUY . Il me mit une claque magistrale et m’emmenait auprès de la tôlière. Là j’expliquais que je ne voulais plus faire le trottoir et que Maurice n’avait cas payer ses dettes tout seul .

Elle se mit en colère et ordonnait à Guy de me conduire à la cave, ou je l’on m’obligeait à me mettre nue. Attachée et un bâillonnée on me jetait au sol . Et je restais la plusieurs heures sans boire ni manger .

Je finissait par m’endormir a même la terre battu. Je ne sais combien de temps. Mais je fus réveillée par la maquerelle et Guy .

Alors tu retournes au turbin me demandait elle ! je lui dis que non de la tête. Guy me m’attrapait par les cheveux et me balançait une claque après m’avoir déplacée a il me sodomisait a la suite de quoi quand il eut jouis une dizaines d’hommes me sodomisait a leur tour . et ils m’abandonnaient encore une fois seul sans rien a boire ni manger .

la je sentais que j’avais fais une connerie et que si je ne voulais pas crever dans cette cave je devait obtempérer, le temps de mon séjours qui a du durer entre 24 et 48 heures je fus violée à la chaine. Plusieurs fois certain m’avaient même urinés dessus.

Quand la Maquerelle redescendue je me pliait a ses exigence, et je remontait a l’étage ou je pus me doucher et me sustenter et ou je pus dormir une nuit entière . J’appréciait d’autant plus que mes nausées devenaient de plus en plus fréquentes.

Le lendemain je retournait donc tapiner mais alors que jusqu’a présent j’avait garder mon sourire la je ne l’avait plus, je passait de la rue à la chambre enchainant les passes.

Quant à l’alentour des 18h00, Guy et un autre homme virent me chercher en voiture ou je fus conduite dans un de ses foyer pour travailleurs immigrés ou pendant la soirée je me fessait prendre a la chaine par des Noirs des turque, des maghrébins et même un asiatique.

Et quand je dis a la chaine c’etait vraiment ça pour 50 francs que Guy et son acolytes récoltaient devant la porte qui restait ouverte des gens attendaient leur tours. Je ne les ai pas comptè mais je pense qu’entre 40 et 50 immigrés passaient entre mes cuisses.

J’avais pris mon pied c’est certain, et j’etait tellement remplis de sperme que lorsque je me relevais pour partir je dégoulinais sur les deux cuisses, Mon sexe etait gonflé et me fessait un peut mal. Heureusement je regagnais ma chambre et me douchais je m’endormais jusqu’au lendemain.

Les jours suivant docile et soumise je tapinais sans histoire jusqu’au vendredi, La dette de Maurice etait payer et les tôliers me redonnais même près de 400 francs de surplus, Que Maurice me volait aussitôt dans la voiture.

Je lui disais tout de même que la prochaine fois il n’aurait qua vendre son propre cul se qui me valut une nouvelle claque. 

Je ne pleurais plus, mais ma haine augmentait. Malgré tout avant de rentrer il me sautait sur la banquette arrière de sa Talbot me rappelant à quel point j’etait une truie et une pute.

Nous reprenions la route quand mes nausées reprenaient, c’est sûr j’étais enceinte, et il allait falloir que j’en parle à maman car je ne pouvais garder l’enfant je n’avais que 16 ans et malgré mes tentatives d’en parler a Maurice celui ci ne voulait rien savoir .

Il me rappelait que si je disais à ma mère qu’il m’avait engrossée lui il n’hésiterait pas montrer les photos et de dire à tout le monde que je me prostituais . J’étais coincée

Par BBLOVE26 - Publié dans : Le récit des copines - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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