Partager l'article ! Dans les caves du HLM.: Monsieur William ma envoyer sms lundi 7 SMS avec trois choix et sans explication Choix numéro ...
Monsieur William ma envoyer sms lundi 7 SMS avec trois choix et sans explication
Choix numéro 1 : Une chambre d’hôtel
Choix numéro 2 : Un sauna
Choix numéro 3 : Une cave d’HLM
J’imaginais bien qu’il s’agissait de lieu de luxure. J’aime bien ce mot Luxure !
Je choisissais, les caves d’un HLM .
Peut être un choix dangereux , mais existant en ce qui me concerne, je reçu à ce moment un deuxième sms pour ma tenue de mardi suivant . Une jupe courte , un top ou tee-shirt , et des basquette et un string de mon choix.
Il m’avait convoqué pour 20 heures à son domicile. Et je mis rendais à l’heure convenu ave ma petite fiat 500.
On ne trainait pas à peine arrivée, me voilà assise dans le gros SUV de mon maitre direction le magnifique et pittoresque quartier de Fontbalette à Valence. Pour ceux qui ne connaissent pas ce n’est pas un endroit où l’on vient par plaisir puisque c’est le quartier mal famé de Valence.
D’ailleurs je ni etait jamais allée évitant cet endroit le plus possible. Il se garait près de la Médiathèque et passait un coup de fils. Je me sentais mal à l’aise un groupe de jeune a capuche faisait des rodéo avec leur moto, et s’approchaient de la voiture dangereusement et l’air menaçant . Un scooter avec deux jeunes s’arrêtait au niveau de la portière de Monsieur William et il nous invitait à le suivre.
Nous roulions encore quelques centaines de mètres et on se garait. Mon maitre me demandait de sortir et il m’emboitait le pas. Un jeune dit à un autre petit groupe de faire attention a la voiture.
Et l’on suivait le jeune. Une fois dans l’immeuble William saluait un autre homme que semblait être une sorte de chef et avait toutes les attitudes de la racaille de quartier comme on ce l’imagine. Il me dévisageait et il me dit : C ‘est toi la truie qui va tourner ? Je regardais William pas très rassurée il répétait sa question sur un ton beaucoup plus agressif. Et je répondais timidement OUI !
Ba aller dit-il encore : on va ! il ouvrait une porte et demandait à un jeune, de je dirais treize ou quatorze ans d’aller chercher les autres. Et a un autre de s’occuper du « bicrave » .
On descendait dans les caves qui apparemment ne servaient plus et il ouvrait la porte de l’une d’elle
La pièce etait plutôt propre pour une cave. Il y avait un bureau et une chaise un canapé une table base et posée sur deux caisses de bois une télévision qui en plus fonctionnait et ou des clips de RAP passaient.
Il me poussait dans pièce et sortait sa queue : un attroupement de jeunes de tous âges et dont certain ne devait pas avoir 15ans c’etait formé il demandait à Maitre William de sortir voulant rester seul avec moi et d’attendre dehors.
Et je dus le sucer : sous ses insultes. Bachir c’est son nom enfonçait sa queue loin dans ma bouche, et dit : si je crache tu avale salle truie ce qui n’arrivait pas. Puis il me poussait violement sur le canapé
Il remontait ma jupe, écartait mes jambes, poussait un peut mon string et sans le défaire engouffrait sa bite en moi pour me baiser. Il me limait fort et me disait jouis salope. Je dus je l’avoue je simulais car quand il déchargeait je n’avais pas vraiment joui,
Il allait s’assoir sur la chaise, et dit c’est bon vous pouvez venir !!!!
J’etait a genoux sans vraiment voir, qui ils étaient. Je suçais toutes les queues que je voyais , Des grandes, des petites, des épaisses certaine décalotter et d’autre non, des blanches des noirs des métisses ils devaient être au moins 15. Bientôt de nouveau sur le canapé l’un deux arrachaient mon string et alors que j’en suçait encore , je me fessais baiser à la chaine, j’étais leur pute et ils le disaient. Certain faisaient des selfies.
Ils n’étaient en tout cas pas délicats, de vrai chien fou. Mais cela n’empêchait pas mes gémissements et mon plaisir. Certain jouirent sur mon visage, d’autres sur mes seins et encore d’autres dans mon vagin
Et certain, m’avaient bien baisé au moins trois fois. Je me sentais bien remplis un véritable sac a foutre. Mais c’est ce que j’aime et qui me procure du plaisir.et Monsieur William la bien compris
Sans que je nus le temps de prendre mon souffle, Bachir un pétard a la bouche revient a la charge basculée en avant je sentait sa queue fendre mon anus. Chacun de ses mouvements faisait couler le surplus de foutre reçus dans ma moule sur mes cuisses. Ses insultes continuaient, les autres l’encourageaient.
Trois heures à me faire tirer comme ça, j’étais morte de fatiguée.
En rentrant Monsieur William me baisait à son tour, ceux-ci, avait réveiller sa libido. Et il jouait à un jeu qui me procurait aussi de l’envie et de la frustration à chaque fois qu’Il sentait que j’allais jouir il arrêtait, mon plaisir et retombait aussitôt puis il recommençait plusieurs l’avantage etait que sa durait longtemps mais mon dieu que c’est frustrant.
Mais quand il acceptait enfin que je jouisse là je poussais un crie de plaisir
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Oui mais malgre le pieds que j'ai pris honnetement l ambiance etait lourde et je n'etais pas rasurèe
Ah moin qu'une autre y sois passé aussi . oui
je t'avoue que je n'etais pas rassurer et malgè le plaisir que j'ai pris meme si je ne veux pas savoir qui ma baiser j'etais contente de repartir de se quartier
Si ton maître t’y oblige il faudra bien refaire une tournante…
S'il m'i oblige oui ! Ca fait partie du deal. tout c'est bien passé meme la viture de Monsieur William na pas ete touchèe et c'est un gros 4x4 BMW il des jeunes etaient charger de le surveiller. Mais je n'irais ja mais seul dans se quartier. ca c'est sur
J étais volontaire ! ne la force pas hein !
Je prefere d'autre lieux quand meme j'ai pris certe mon pieds mais pas fane de l'endroit et de la population.