22ansapprentiesoumise

J’arrivais chez Monsieur William ce mercredi 9 aux environs de 13h30 j’avais remarqué, dans l’allée quelques voitures. Entrant dans la maison et comme toujours courte vêtue et sans survêtement,  je remarquais immédiatement quelques messieurs. Mon maitre me présentait et immédiatement Il m’obligeait à me mettre nue, évidement j’obéissait et près d’une semaine sans aucun rapports sexuelle je commençais à avoir une sensation de manque.

Il mit de la musique et me demandait de danser et de me caresser. Durant le temps que durait le morceau je me trémoussais, et me caressait devant les hommes que ne me quittaient pas du regard.

Evidement je compris qu’il fallait que je fasse la chienne et je passais ma langue sur mes lèvres.

William passait derrière moi, baissait sa braguette et sans autre préparation enfilais sa queue dans mon petit abricot qui n’attendait que ça. Mes caresses m’ayant déjà excitée je mouillais déjà.

Fais ta pute me disait-il, je les regardais toujours légèrement penchée en avant ma langue coincée entre mes lèvres je commençais à gémir,

Certains d’entre eux avaient déjà sortie la queue en ce branlaient, Alors monsieur William a ce moment sortie sa bite de mon bas ventre. Et me poussait vers les hommes. 

Fais ce que tu es ! Me dit-il encore ? Alors je m’approchais du groupe d’hommes installé dans le grand divan et les fauteuils et pour m’offrir à leurs caresses et a leurs bites, je me fessais baisée dans tous les côtés durant plus d’une heure, recevant le sperme dans tous mes orifices.

Evidement je prenais un pied d’enfer, utilisée tel un objet de plaisir.

Mais ce n’etait pas fini pour autant, Mon maitre m’attrapant par les cheveux il m’entrainait dans l’écurie, ou nous étions suivis par le groupe d’hommes.

C’est la que je l’aperçue une jeune femme black, attachée et allongée nue dans l’un des box,

On m’ordonnait de la faire mettre à quatre pattes, et je devais lui mettre une fessée de toute mes forces , je n’étais pas à l’aise préférant le rôle de soumise a celui de bourreau . Mais je m’appliquais Joelle c’etait son prénom criait à chacun de mes coups et j’y allais de plus en plus fort.

William fini par m’arrêter, et me tendait un godmichet, Baise-la avec ça ! Me dit-il .

J’enfonçais l’objet dans sa chatte et commençait mon œuvre tandis que les hommes chacun leur tour l’obligeait a sucer leurs queues.

Elle se cambrait de plus en plus et des gémissements de plaisir avaient remplacé les cris de la fessée.

J’arrêtais de la goder et je mis ma bouche et ma langue au service de son plaisir, évidement ma position etait propice et certains en profitaient pour m’enculer ou me baiser.

La encore Joelle et moi toute en nous faisant plaisir mutuellement étions baiser pendant plus d’une heure.

Mais pas seulement puisque durant l’après-midi et la soirée d ‘autres hommes étaient venue nous baiser à la chaine.