22ansapprentiesoumise

Bien que ses deux ou trois derniers mois, je n’ai pour des raisons professionnelles précédemment relatée pas eu de nombreuses aventures je n’en suis pas moins restée chaste.

Une première petite aventure avec l’un des serveurs du nouveau restaurant de mes parents. Avais réveiller la petite pute que je suis.

Le serveur, un jeune homme guère plus âgé que moi de nationalité Hollandaise avait jeté son dévolu sur moi. Et après quelques semaines à le repousser n’étant pas autorisée à me faire sauter par mon semant envers monsieur William. Je décidais de m‘offrir a lui alors que nous n’étions plus que nous deux pour la fermeture.  Rien d’extraordinaire après quelques préliminaires génitaux-buccal, je m’etait laisser prendre comme une trainée sur le sol du restaurant.

Mais voilà cet intermède avait réveillé en moi mes instincts de salope et il me fallait ressentir, la chaleur et la brulure de la luxure au quelle je m’etait addictée.

William me donnait sa bénédiction mais pas seulement il m’envoyait vers l’une de ses connaissances qui allait m’offrir a toutes un équipage métissé de marins créoles.

Le rendez-vous pris, je me rendais sur le port de fort de France ou du moins non loin. Un bar Le spice pour ceux qui connaissent la région , Je rejoignais un homme mélange de Corto Maltese et Sergent Garcia. Un homme plutôt trapu d’une cinquantaine d’années pas très engageant à prime abord. Il s’appelait Carlos une Espagnole d’origine, métissé Réunionnais par sa mère.

Apres mettre présentée à lui et qu’il m’eu offert un verre durant le quelle nous avions discuté de ce que William lui avait dit. Nous en passion vite au fait car je dû le suivre aux toilettes pour lui prodiguer une fellation a la suite de quoi il me baissait vite fait en levrette avant de se finir dans ma bouche. Bien sûr je ne vais pas dire que je ni avait pas pris un peu de plaisir mais ça manquait de vice et de luxure et surtout j’en voulais plus beaucoup plus.

Après un autre verre, il me conduit enfin à mon lieu de plaisir, dans une espèce de cahute faite de bric et brocs. Le pêlemêle jouant aux cartes ou allongés sur des lits superposés une bonne quinzaines de créoles dans une atmosphère saturé par la fumé et l’odeur du tabac et de quelques herbes je fus jeter en pâture.

Carlos leurs dis baisée cette pute elle est a vous pour la nuit…Il dégrafais ma robe et me poussait au milieu de la pièce. Je sentais des mains me toucher m’agripper. Bientôt je me retrouvais allongée sur une table à sucer plusieurs queues en branlant d’autres et me faisant manger le minou.

Les effluves de ce que fumait certains d’entre eux me donnait l’impression d’être ivre. Mais mes sens étaient bien la et mon plaisir aussi.

Je me laissais guider par les envies de ses messieurs et une première bite me pénétrait, sans que je ne sache vraiment qui me baissait, mais le vas et viens saccader me fessait du bien je brulais de désirs et bien que l’homme jouis en moi cela n’atteignait pas le feu de mon envie.

Un second ne tardait pas a me prendre alors que j’en suçais encore d’autres je les entendait m’insulter de pute blanche mais j’aimais ça, un troisième un quatrième cinquième et encore d’autres tous jouir en moi les uns après les autres . Et ce n’etait pas fini puisque maintenant j’etais conduite sur un vieux divan ou alors que je m’empalais sur une bite un autre allait m’enculer. La encore nombre d’entre eux passait à la chaine dans mon cul alors que j’etait empaler sur la même queue qui s’avérais être celle de Carlos.  Je prenais un pied d’enfers je tremblais comme une feuille au vent.

Carlos aussi avait pris son pied mais malgré tout il me gardait sur bite qui etait resté dur jusqu’au bout.

Cette nuit la je servit de vide couille et chacun pu me baisser autant de fois qu’il en eux envie j’etait la pour ça, Une pute blanche au service des créoles qui voulait bien de moi.

William serait fier de moi .