Partager l'article ! Punition: Je savais bien que ce mercredi j’allais être punis. Et j’y étais résignée, J’allais rejoindre Monsieur William la boule a ...
Je savais bien que ce mercredi j’allais être punis. Et j’y étais résignée, J’allais rejoindre Monsieur William la boule au ventre, qui a mon arrivée s occupais de son cheval.
J’entrais dans la petite grange et alors que je voulu l’embrasser, il me reposait, et me jetait un regard noir.
A poil m’ordonnait-il : j’enlevais donc mon manteau, mon petit pull blanc et ma petite jupe écossaise et au moment de retirer mes bas Dim-up blanc il m ordonnait de les garder .
Il posait la brosse qu’il utilisait pour brosser son cheval et s’approchait, il prit une corde et fit mettre les bras dans le dos ou je me retrouvais attachée, puis il commençait a me traiter de trainée et de pouffiasse, que mon attitude de salope lubrique avec mon oncle devait être punit.
Il me retournait et m’obligeait à me pencher en avant, et là je sentais une claque s’abattre sur mon cul , puis une deuxième. Chacune d’elle me fit lâcher une larme et un gémissement, il m’ordonnait maintenant de me redresser, pour me conduire dans l’un des box a chevaux vide .
Il me rattachait les mains devant avec des liens de cuirs séparer par un gros anneau , et tirait sur une chaine accrocher à une poulie au plafond qu’il fixait à cet anneau. Et il me soulevait jusqu’à ce que mes pieds ne touchent plus le sol.
Je ne disais rien acceptant mon sors en bonne soumise, Puis il attachait mes pieds a des cordes à chaque extrémité du box de façon que mes jambes soient écartées. Je vous l’assure la position n’étais pas des plus confortable. Là je reçu une fessée magistrale les larmes coulaient le long des mes joues il me demandait a chaque coups de rappeler ce que j’etait .
J’etait une chienne, une pute, une salope , une radasse, une truie. Et oui je le suis donc je lui disais . Et d’un coup je sentais sa queue me sodomiser avec force. Il me fendait le cul a grand coup de bite, et là il ne cherchait pas mon plaisir mais bien à m’humilier à punir.il plongeait un doigt dans ma chatte et le posais sur mon clitoris juste pour me montrer qu’il me priverait de plaisir.
Il pénétrait bien profond dans mon anus et à chaque coup de reins je sentais bien ses couilles frapper mon vagin. Mais cela ne suffisait pas a me procurer du plaisir, mais lui il trouvait le sien en lâchant une grosse quantité de foutre dans mon cul. Puis il pissait sur mon cul. Il remontait son pantalon et me laissait la suspendu et il sortait de la grange.
Pour me soulager de mon poids qui commençais à tirer sur mes poignées jetais obligée de m’agripper comme je le pouvais à la chaine.
Les minutes défilaient je restais la toujours suspendue Seule avec la seule présence du cheval dans le box d’a côté. Les muscles des bras commençaient à me faire mal et je commençais a avoir froid.
Il revient peut-être au bout d ‘une demi-heure, et me posait encore la question sur ce que j’étais je répondais que j’étais sa chienne et sa pute et que j’aimais l’être.
Et sans que je mi attende je reçu un jet d’eau froid et continue sur tout mon corps. Il m’arrosait ainsi pendant une bonne minute puis me détachait, il récupérait mes vêtements posés sur un botte de paille. Et il m’ordonnait de rejoindre nue la maison.
Là il me tendait une serviette, et me servait un café chaud, et enfin il vient me prendre dans ses bras et m’embrasser.
Il me fit enlever mes bas qui n’étaient plus vraiment blanc et bien tremper, pour les mettre à la poubelle et comme je suis une fille organisée, me fit mettre la paire de secoure que j’avais dans mon sac et remettre mes talons, mais je devais rester nue.
N ayant pas encore fumer je sortais sur la terrasse pour en griller une, sans me soucier un seul instant que Monsieur William avait un voisin que je n’avais pas tout de suite vue et qui lui me matait, l’ayant finalement aperçu je rentrais dans la maison et en parlait a William qui ce mis à rire.
Il me demandait de remuer la sauce qu’il préparait pour le repas et sortait et il en revient au bout de quelque minute accompagner du voisin.
La voilà ! lui dit-il, d’ici tu la vois mieux, L’homme qui devait avoir au moins 65 ans n’en perdait pas une miette.
Monsieur William m’ordonnait d’éteindre le feu sous la casserole et de m’approcher. Je saluais timidement le vielle homme. Quand William lui demandait s ‘il voulait me gouter .
Il répondait que j’étais bien belle et bien jeune pour lui. Mais a ce moment alors que l’homme avait été inviter à s’assoir sur le divan, Mon maitre m’ordonnait de lui faire une fellation.
Je me mis a genoux devant lui et baissait son pantalon et attrapait sa verge tout mole pour le moment. Doucement je mis a le masturber déposant ma langue sur le gland de sa bite qui sentait l’urine et qui en avait le gout. Mais je m’appliquais tout de même à ma mission.
Monsieur William servait un whisky a son inviter et nous laissait.
Sa bite maintenant bien gonflée, je la prenais bien en bouche, visiblement le vielle homme appréciait , il n’arrêtait pas de de dire « OH PUTAIN ! ».
Il me demandait de de me relever et debout devant il commençais à me lécher et à me toucher, puis il me fit me tourner et me pencher un peut en avant.
Il écartait mes fesses et je sentais sa langue lécher mon anus. On ne me l’avait encore jamais fait aussi longtemps et la sensation etait divine. Je passais une main sur mon sexe et commençait à me toucher pour faire monter mon plaisir.
Monsieur William me regardait et passait devant moi, je m’attendais à devoir le sucer, mais non il me déposait simplement un baiser sur les lèvres me soulevant la tête a l’aide d’un doigt sous mon menton . Et il me dit : tu es vraiment une très belle petite salope. Je me sentais à ce moment remplis de fierté.
Le vielle homme m’invitait maintenant à m’assoir sur lui. Une fois en place je m’aidais d’une main pour faire pénètre sa bite dans mon vagin.
Et c’est moi qui cadençais le vas et viens, et toujours une main posée sur mon vagin je me donnait également du plaisir. Ma poitrine au niveau de sa bouche, il en profitait pour me téter les nichons. Cette chevaucher me semblait longue mais heureusement j’avais déjà jouis. Pas de façon intense mais j’éprouvais du plaisir. Lui aussi fini par éjaculer dans ma chatte après encore de longues minutes de chevauchées.
Je me retirais et j’allais m’assoir et boire la bière que monsieur William m’avait servi . Les deux hommes se mis à parler de moi et de ma condition de soumise . Le vielle homme félicitant monsieur William d’avoir une jolie salope comme moi, bien sûr sans oublier qu’il serait honoré de me baiser de nouveau. D’ailleurs j’ai bien cru à ce moment que j’allais repasser a la casserole.
Le vielle homme partie, monsieur William me demandais de mettre le Couverts, et nous déjeunions en prenant notre temps. William me demandait de lui raconter en détails l’aventure que j’ai eu avec mon oncle. Il me confirmait que j’étais bien une chienne et que ma punition de ce matin avait été méritée.
Le repas terminé toujours seulement vêtue de mes bas et de mes talons il m’ordonnait de desservir et de faire la vaisselle. C’est marrant l’impression que ma donner se moment comme si j’etait un peu sa femme.
Lui c’etait installé, devant ses actualités visiblement très intéresser par le conflit entre l’Ukraine et la Russie sujet qui m’intéresse également ayant de lointaines origines de ses deux pays.
Une fois mes corvées effectuées, je m’approchais voulant m’assoir a ses côtés, a ce moment sans rien me dire il sortait sa bite et je compris que je devais le sucer et le branler. Il me tenait par les cheveux fermement. Je lui suçais la bite et les boules le masturbant en même temps pendant un très long moment jusqu’a ce qu’il éjacule dans ma bouche. Je me retrouvais frustrer de ne pas avoir reçu sa queue dans mon ventre et pu jouir aussi.
Il me demandait de me revêtir, et nous partions. Dans la voiture il m’expliquait que nous avions rendez vous avec un internaute qui nous avait contacté par mail.
Arrivé devant un petit immeuble en rénovation, il mi fit entrer. Un homme je pense turque nous recevait et nous invitait à le suivre.
J’entrais dans une pièce, ou travaillaient 4 hommes à poser des plaques de plâtres sur les murs.
L’homme sifflait, indiquant aux ouvriers de cesser leurs travails et de venir nous rejoindre.
Voilà votre prime ! dit-il aux ouvriers et il me poussait légèrement vers eux. Je me retrouvais très vite nue, ils me touchaient me tripotait, certains avaient déjà sortaient les queues et je me mis a les sucer.
Nul besoin de me dire ce qu’il fallait que je fasse d’autant que la frustration de ne pas mettre faite baissée par William avait déclencher l’envie de me faire sauter à nouveau.
Tous autour de moi le chef y compris et sous les ordres de monsieur William, je suçais et branlais les bites qui se présentaient. Puis je fus conduite par mon maitre, sur un tas des sacs de ciment ou de plâtre je ne sais pas, ou il posait son manteau pour mi installer et la chacun d’eux me prit et me baisait a la chaines bien sur j’y trouvais également mon plaisir et même un immense plaisir.
Ma chatte inondée de sperme et une fois tous passé mon maitre sans dire au revoir, m’entrainait de nouveau en voiture pour me conduire en un autre lieu l’arrière-boutique d’un bijoutier ou la sans plus de cérémonie je fut baiser par deux autres hommes mais eu comme cadeaux un joli petit bracelet.
En fin d’après-midi nous retrions et je rentrais chez moi
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Je ne peux le contester et Monsieur William me traite et me donne ce pourquoi je me suis offerte en soumision
Je t'embrasse à bientôt
Jean Marc
Oui il fait rarement des photos et encore plus rarement des moments chez lui
OUI . Et bien j'aime etre soumise et me sentir eclave de ses desire et envie je n'ai pas eu de jouissance durant la punition mais je pense que c'est le but me priver de plaisir
c'est vrais que la situation etait existante
Oui la frustration de ne pas avoir eu mon plaisir a mon petit ami
Oui j'aime ça et plus j'en ai plus j'aime et prends du plaisir
Merci c'est gentil c'est vrais maitr William a su m aider a me transphormer