Partager l'article ! Soirèe chez mon maitre samedi 12 février 22: Encore une fois aucune précision sur ce que monsieur William m’avais préparé, Je s ...
Encore une fois aucune précision sur ce que monsieur William m’avais préparé, Je suis arrivée à l’heure convenue à son domicile il était près de 18h00,
Il ma ouverts la porte et je me suis jetée à son cou et déposé un baiser sur ses lèvre ses lèvres ce que j’aime c’est qu’il me laisse la latitude pour être tendre avec lui. Et j’aime savoir que je compte un peu.
Il a accepté mon baiser et je m’apercevais a ce moment, qu’il portait un tablier, Monsieur etait visiblement en cuisine.
Mets-toi a l’aise me dit, et sers-nous a boire. Je sais que monsieur William ne bois pas je lui servais donc son eau pétillante quand a moi je me servais une bière.
Et je fus surprise de voir que monsieur William, savait cuisiner moi qui travaille dans la restauration et qui suis fille de chef . Il préparait des tournedos Rossini et des pommes de terre Sarladaise, une salade de gésier, et je lui proposais mon aide.
Il me demandait d’éplucher des pommes, alors que je m’affairais , il passait derrière moi, m’embrasait dan le cou ..hummm j’adore ! et passait une main sur mes fesses par dessous ma robe.
Oui comme il le souhaite je ne porte toujours pas de survêtement, puis il se dirigeait vers un placard, pour un prendre une bouteille de cognac pour ça sauce. Sans mauvais jeu de mots. En repassant j’eu le droit a ma petite tape sur le cul.
Pour en fini avec la cuisine, nous faisions à deux, la tarte aux pommes et préparions un plateau de fromage.
Puis il m'invitais à m’assoir sur le divan. Sans que je mi attende, soulevait ma robe et se mit à me lécher et me caresser le sexe, mon péché mignon surtout quand sa langue viens délicatement se poser sur mon clitoris. Il me fessait du bien, il enfonçait deux doigts dans ma chatte, le faisant remonter le long du vagin pour atteindre le point G, il connait bien l’anatomie féminine il me semble.
Du bout de ses deux doigts il appliquait comme un massage. La je montait ça chauffait je tremblais je moullait comme une fontaine, ça langue sur mon clitoris finissait de me faire grimper aux rideaux. Et j’hurlais de plaisir.
Alors qu’il se relevait, je lui disais combien c’était bon et je l’embrassais à nouveau, mon dieu que cet homme sait me donner du plaisir, Je voulu lui rendre l’appareil, mais il refusait, et je m’en trouvais un peut vexée.
Il m’invitait à venir dehors avec lui ou je pu fumer une cigarette , alors qu’il que placer derrière moi. Je pus me caler dans ses bras. A ce moment je me disais que je pourrais vivre avec cet homme. Mais je revenais à la réalité . Puis il allait donner à manger a son cheval.
Au moment de regagner le séjour, quelqu’un sonnait a la porte il allait ouvrir alors que je préparais des assiettes d’amuse-gueules.
Un homme qu’il semblait bien connaitre entrait il s’appelait Etienne un homme d’environ 50 ans. Il me présentait .
Je te présente la petite, Nathalie, une jeune demoiselle de 22 ans qui s’est offert à mon emprise,
Je m’approchais et le saluais en lui tendant la main. Et lui proposais a boire, voyant la bouteille de cognac il me dit qu’il y gouterait bien,
A peine sont verre servit, une autre personne se présentait à la porte, il s’agissait se coups si d’un autre ami de Monsieur William. Pascal un Martiniquais d’une quarantaine d’années.
Suivit d’une couple un homme appelé Hugo, qui devait avoir la cinquantaine également, il etait accompagné d’une toute jeune fille qui ne devait être guère plus âgée que moi une petite brune ronde au regard malicieux vêtue d’une jupe Ecossaise , un petit chemisier blanc, et de bas blanc un peu à la manière des petites étudiantes britannique. Enfin c’est l’image que je m’en fais elle s’appelait Marie.
J’aidais monsieur William à servir un verre et apportais les amuses gueules .
Je m’étais assise sur un pouf entre Mon maitre et Pascal. Nous discutions de tout et de rien.
Mairie s’adressant a moi me demandait ou etait la salle de bain, Je l invitais à me suivre, Elle voulut aller aux toilettes et j’en profitait pour retoucher mon maquillage.
Elle me rejoint pour se laver les mains et remettre du rouge à lèvre. Nous commencions à sympathiser, elle avait en réalités 20 ans et venait de la banlieue Lyonnaise l’homme avec qui elle etait venue etait son maitre depuis ses 17 ans.
Il etait un ami de ses parents .
Nous rejoignons les hommes à l’apéritif et décidions de nous assoir tout deux sur la méridienne du divan . Alors que nous discutions toutes les deux, Karl dit : Avant que nous passion a table si vous nous offriez un spectacle.
Marie et moi nous regardions, et nous commencions à nous embrasser, elle passait une main sous ma robe pour atteindre mes fesses quelle caressait délicatement. Je me laissais faire et la laissait prendre le contrôle, elle se mis à genoux pour passer sa tête sous ma robe, sa langue sur les lèvres de mon vagin commençais à me faire du bien. Karl se levait faisait écarter les cuisses de sa soumise pour que l’ensemble des quatre hommes est une belle vue, il soulevait également ma robe au-dessus de mon ventre.
Je me laissais glisser au sol et me mis nue, tandis que Marie etait venue se mettre contre moi pour me bouffer les seins et me caresser, mes mains posées sur ses fesses.
Marie ôtait son chemisier, et a mon tour je m’occupais de ses seins l’une de ses cuisses maintenant écartait les miennes et venait frotter mon sexe .
Les hommes ne parlaient pas et regardaient le spectacle, sirotant leurs verres.
Je ne sais trop comment nous avions fait mais, nos deux sexes se retrouvaient l’un contre l’autre, et nous bougions de façon à les sentir l’un contre l’autre et en passant une main je m’astiquais le clitoris, elle en fit autant. Je la sentais mouiller.
Marie me faisait changer de position pour entamer un 69, qui allait nous procurer notre plaisir à tous les deux, ça chatte avait encore le petit gout salé de l’urine et ça ne me déplaisais pas, elle me léchait aussi avec beaucoup de plaisir elle poussait de petit cris caque fois que ma langue touchait son clitoris. Quand en fin l’on se mit à jouir.
Ce n’est certes pas aussi bon qu’une bite en moi, mai le plaisir etait la et nous avions satisfait aux plaisirs de nos maitres.
Monsieur William, nous dit de nous rhabiller, car il etait temps de passer à table.
Chacune de nous nous retrouvions entre deux hommes , et plat après plat il n’hésitait à nous caresser,
Pascal avait sortie sa queue, Marie après l’avoir masturbé c’etait penchée sur lui pour lui faire une fellation alors qu’il venait de finir son tournedos.
Je n’etait pas en reste puisque j’avais masturbé mes deux voisins, durant une partie du repas et qu’eux même avait fouillé ma petite chatte.
A la différence que Marie avait déjà reçu l’éjaculation du martiniquais en bouche.
Le repas à peine terminé, je me retrouvais à genoux à sucer Karl et Etienne Mon maitre lui se fessait sucer par marie, quand au martiniquais il regardait s étant déjà une premier fois vider les couilles.
Une bite dans chaque main je branlais et suçais les deux verges bien dures. Tout a coté de Marie.
Monsieur William allait s’assoir sur le divan, il nous commandait de venir le sucer a deux. Karl et Hugo eux nous prenaient en levrette. Mais avant que Etienne me pénètre il me mit une grande claque sur les fesses et s’introduit en moi. D’un coups sa bite s’enfilant bien au fond, ce qui fais pousser un grand râle. Tout en suçant Maitre William, Marie et moi en profitions pour nous embrasser.
Karl et Etienne échangeaient leurs places, et la différence etait notable sur la façon de faire, on voyait tout de suite que Karl se préoccupait peu plus du plaisir de se partenaire, ses mouvements etait plus long et le mouvement du bassin bien plus rond.
Maitre William avait fini par éjaculer, dans nos bouches. Avec Marie l’on se partageait le sperme chaud de mon maitre nous échangeant également le fluide en nous roulant des pelés . Je jouis également une première fois sous les assauts de Karl, immédiatement celui-ci, entreprenait de ma sodomiser en prenant soins de de me lubrifier l’anus avec ma mouille. Une fois introduis-je passait une main sous mon ventre pour me caresser le petit bouton. L’ensemble des deux sensations affluaient mon plaisir
Marie elle maintenant sur le dos, continuait a se faire sauter par Etienne, qui ne se privait pas de l insultant la traitant de truie immonde et de grosse vache. Et elle gémissait de plus en plus fort toute en me regardant.
Mon plaisir revenait tandis que Karl lâchait son foutre dans mon anus, Puis il se dirigeait vers Marie pour qu’elle lui lave la queue avec sa bouche.
Je me relevait, et Mon maitre viens a moi et me pris dans ses bras, avant de se mettre a me malaxer la poitrine et de me la sucer ..
Hugo avait également fini son Œuvre, en se vidant dans la chatte de Marie .
A ce moment Karl attrapais dans son sac un martinet, et obligeait marie a s’appuyer sur la table de salle a manger, il lui fit sucer le manche du martinet, et lui infligeait une dizaines de coups sur les fesses, évidement sans retenir ses coups. Les fesses meurtries, Elle se mit à pleurer. Il enfonçait le martinet dans l’anus, et les insulte sur ses rondeurs repris ,
Karl fit signe a notre martiniquais, de venir mais avant de la Sodomiser, dix autres coups de martinet claquaient sur les fesses de la pauvre Marie.
Pascal l’enculait sans ménagement, tout en lui attrapant les seins qu’il serait très fort dans ses mains. Toujours des larmes dans les yeux elle subissait son grognant et gémissant
Nous regardions sans rien dire. Les verges de ses messieurs redevenant raides. Etienne m’attrapait par les cheveux et pour que je le suce.
Enculée, pendant plus de 5 minutes Pascal lui envoyait son sperme au fond de son anus.
A ce moment l’on me trainait par les cheveux et sans ménagement, jusqu’a la croupe de marie et l’on m’ordonnait de lui lécher l’anus et d’avaler le sperme qui en coulait.
Alors que je m’exécutais Monsieur William m ‘ordonnais de ma cambrer, et là je subissais à mon tour, les coups de Martinet sur mon derrière. Et a mon tour poussant des cris et pleurant je sentais la brulure dès l’lanières de cuirs s’abattent sur mes fesses. Suivis d’une sodomie de Hugo. Il fallait que j’en éprouve du plaisir alors je repassais ma main sous mon ventre pour pouvoir me caresser le minou. La douleur de mes fesses fouettées, la sensation de la sodomie et mes caresses. Fessait mon plaisir prendre le dessus.
Marie et moi nous retrouvions maintenant en position du 69 et tandis que l’on nous prenait encore nous devions nous lécher. Une bite et un langue sur nos chattes etait comme une récompense et nous y trouvions notre plaisir et notre jouissance, évidement quand ils eux jouirent .nous devions continuer a nous lécher et sucer la bite de nous assaillant .
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j'imagine que tu voulait dire sévices et non cerise ! Ou la douleur je ne pleurait pas a cause du geste juste la douleur du martinet , et pas non plus a chaudes larme, ça fait du bien c'est sur mais la situation restait excitante .
ne t inkiete c etait deja mes limites
Merci a vous de mes suivre, j'espere juste ne pas etre trop vulgaire dans mes recits
La grosse comme vous l'appeler avec mepris auriez vous au moinns ete capable de lui faire le 10eme de ce qu'elle est capable de faire j'en doute .
Merci je suis d'accore avec toi
Moi j'ai bien aimer Marie j'espere la revoire