22ansapprentiesoumise

Samedi 5 février.

Je me réveil, mon maitre n’est plus dans le lit, je prends mon téléphone pour regarder l’heure. Onze heures. J’ai plutôt bien dormi dans sas bras. N’ayant pas le droit de porter de vêtement chez lui je me lève pour me rendre aux toilettes, et alors que je m’assoie sur le trône j’entends : Thé, café ou cacao ?

Je réponds : qu’un grand café serait le bien venue et après avoir pisée je le rejoins dans la pièce principale de sa maison. Il m’invite à m’assoir sur l’un des tabourets de l’ilot centrale et me sert mon café et me propose même des croissants qu’il avait été cherché plus tôt . J’apprécie beaucoup cette attention et pendant que je mange, il vaque à ses occupations.

Ça sonne !!, Ne bouge pas me dit-il et se dirige vers la porte d’entrée, et reviens un colis a la main en me demandant si je voulais du jus d’orange , je lui dis que oui. J’avais très fain et engouffrait les deux croissant.

Pendant ce temps il ouvrait le colis, et me dit en me tendant un paquet : c’est pour toi !

Un peut surprise j’ouvrais le paquet, il s’agissait de dessous bleu un ensemble culote, soutien gorges et porte jarretelle ainsi que deux paires de bas. Je lui demandais si je pouvais l’embrasser pour le remercier. Il m’y autorisait et enroulant mes bras autour de son coup je l’embrassais sur la bouche tandis qu’il poussait ses mains sur mes fesses .

 il me dit qu’il avait encore quelque chose pour moi Et qu’en parfaite petite chienne lubrique je l’avais gagné. Il ouvrit un tiroir et en sortie un collier de rouge et une laisse assortie. Qu’il me mit au cou.

Il te va bien. Me dit-il.

Puit il m’attrapait par la taille et me montait sur l’ilot centrale. Alonge toi me dit-il encore.

 J’obéie : à ses demandes. Il me tirait un peu pour que mes fesses soient au bord et s’assaillant sur l’un de tabouret il engouffrait sa tête entre mes cuisses. Hummmm !! C’etait délicieux sa langue se promenait sur et dans mon sexe ses deux mains posées sur ma taille, il me goutait, me mangeait ma petite chatte. Je mouillais et quand sa langue touchait mon clitoris je poussais des petits cris de plaisir. Mais dès que mon plaisir montait, il arrêtait et reprenait quand je redescendais. Il jouait avec mon plaisir plusieurs fois. Et quand enfin il me laissait aller je pris encore une fois un pied de malade .

Honnêtement depuis que j’ai gouté à l’homme mur avec Éric le père de ma meilleur amis et Monsieur William je sais à qu’elle point j’ai eu raison. ils ont l’expérience que n’ont pas les jeune de mon age.  

Puis après m’avoir redescendu de son meuble , il me demandait de passer les dessous sexy qu’il m’avait offert pour prendre quelques photos.

Puis il m’envoyait prendre ma douche. Lavée et j’en avait besoin, séchée, coiffée et maquillée. Il me donnait une petite robe courte de laine blanche moulante, que je devais porter avec mes talons aiguilles. Je dû également remettre mon collier de chienne. Evidement aucun sous vêtement.

13h10  il me demandait si j’avais Fain, mais j’avait manger les croissants donc non je n’avais pas fain.

Il me tendait mon sac et nous sortions, et toujours sans savoir où ! Il s’engageait l’autoroute direction Lyon, Je vous avoue que je n’aime pas trop les grande ville Valence déjà c’est trop,  je fus donc rassurée quand, je vis que nous dépassions la grande ville.  Nous sortions quelques kilomètres après le tunnel de Fourvière, pour prendre la route d’une montagne avec une grosse boule en son sommet.

Et nous arrivions devant un grand portail que nous franchissions après qu’il s’était annoncé à l’interphone.  Et il se garait devant une grande maison bourgeoise.

Monsieur me dit : Que ce jour etait un début et qu’il fallait que j’obéisse, à qui conque. Un homme m’avait ouvert la porte comme a une grande dame. Nous le suivions à l’intérieur de la bâtisse la l’homme me fit signe de suivre une jeune femme guère plus âgée que moi, Monsieur lui entrait dans ce qui semblait être un salon ou plusieurs personnes se trouvait déjà.

Je commençai à m’inquiéter je n’avais jusqu’a présent jamais quittée mon maitre de vue si ce n’est la veille avec les deux jeunes homme que j’avais décupler enfin un seul en réalité. 

Viens suis moi me dit la jeune femme, je la suivais la boule au ventre. Elle ouvrit une porte ou un escalier nous conduisait au sous-sol, l’éclairage du couloir etait médiocre et l’ambiance pesante. Là je paniquais.

Viens , n’est pas peur me dit elle encore , c’est la première fois que tu viens je lui répondais que oui et lui demandait où nous étions . Elle me répondait : au Purgatoire !

Elle ouvrait une nouvelle porte la pièce ressemblait à un vestiaire d’ailleurs ça en etait bien un.

Mets toi nue me dit elle ne garde rien d’autre que ton collier et range tes affaires dans se cassier.

Une fois nue , elle me dit tu es très belle avec ton visage d’ange et se corps, ils vont t’adorer. Puit elle me dit attends là on va venir te chercher.

Je restais là de longue minutes à regarder par tout l’angoisse me donnait la chair de poule, en même temps il ne fessait pas vraiment chaud . 2 Hommes torses nues et masqués entraient. L’un d’eux passait derrière moi attrapait mes bras et me les attachaient dans le dos .Je me laissais faire comme tétaniser il me fit me lever et me demandait de me pencher en avant et de me détendre tandis que l autre tentait de m introduire un objet dans l’anus . Un objet froid et très lise . Mais il me fit mal alors il prit une petite fiole posée sur une étagère et le badigeonnais l’anus avec et le dilatait un peut avec son doigt

 Il replaçait l’objet et je sentais alors qu’il l’enfonçait, des choses qui le chatouillait les cuisses. L objet avait comme une queue de cheval de couleur rouge

Il me dit : Garde se plug en toi. Il doit rester jusqu’a ce que quelqu’un te l’enlève . Là on me mit une sorte de sac noir sur la tête et une laisse a mon collier . Sur laquelle il tirait je ne voyais pas ou j’allais mais je sentais bien que je sortais de la pièce.

Alors je ne sais pas si vous avez déjà marché avec un plug anal mais ça fait bizarre , mais en plus avec les mains attachée dans le dos et un sac sur la tête croyez-moi je ne fessais pas la fière , J’ avais la trouille mais avec un mélange de curiosité. Et j’avais froid et comme j’étais pieds nue cela n’arrangeait rien

Les deux hommes ouvris une autre porte j’entendais comme un gros verrou suivit d’un grincement et il me poussait à l’intérieur et mis fit assoir et je sentais une autre personne m’attraper par les l’épaules.

Nous montions trois marches et là on n’ordonnait de ne pas bouger, je sentais de la chaleur comme celle d’une cheminée . On n’enlevait enfin le sac de ma tête, je regardais autour de moi. Je cherchais monsieur du regard ouf !! il etait la dans son beau smoking comme tous les autres hommes ils devaient bien être une vingtaine   -le regardes des hommes posés sur moi commencer à me gêner

La un Homme vêtu d’une toge noire entrait, il passait à côté de moi en me caressant la tête, puis il prit ma laisse.

Messieurs bien venus à vous dit-il.  Aujourd’hui nous avons de la nouveauté, William nous a apporter la jeune Nathalie, Regarder se visage d’ange et se corps. Il me fit tourner sur moi-même.  Les hommes applaudirent.

La !la jeune femme qui m’avait accueilli entrait accompagnée de chaque côté des deux hommes masqués.

Puis le maitre de cérémonie, dit : Messieurs à vous de jouer, ils se levaient pour nous rejoindre. la jeune femme appelée Emilie elle etait hissée sur une grande croix de bois qui pouvait basculer

Je devais rester pour cela juste à côté des croix . Mon rôle étant de sucer chaque homme avant qu’il ne baise Emilie. Ce qui ne me dérangeait pas puisque j’aime sucer. Mais je n’en avais jamais sucée à la chaine autant. Mon maximum datant de la nuit présidente et ce fut 4. Et la une vingtaine,

Les gémissements d’Emilie, etait étouffés par les boules qui il avait dans la bouche . J’etait contente j’avais pus avoir mon maitre en bouche, sa présence réconfortante pour moi, même s’il m’ignorait, Mais quand il allait pour fourrer sa bite dans la chatte d’Emilie j’en éprouvais presque de la jalousie .

Un moment plus tard l’un des hommes cagoulés, venait me chercher me tirant sur la corde qui me maintenait depuis près d’une heures les bras attachés dans le dos, je me relevais.

 L’homme me conduit près d’un chevalet pas très large et matelassé de cuir ou Emilie après s’être prise toutes les queue etait maintenant attachée par les mains au pieds de cet objet et ses pieds de posés sur des étirés qui lui maintenait les jambes écartées.

Le maitre de cérémonie, demandait maintenant aux autres hommes s’approcher et mis un grand coup de cravache sur les fesses d’Emilie qui tentait d’hurler malgré la boule qui lui avait ete placè dans la bouche,

le MC,  lèche l’anus de cette pute ! en me montrant Emilie. L’un des torses nue m’attrapait violement par les cheveux et m’écrasait le visage sur ses fesses de.  Je reçu à ce moment aussi un coup de cravache sur le cul , Dépêche-toi rouge dit-il. Je me mis à pleurer mais pour ne pas reprendre un nouveau coup, j’engouffrait ma langue dans l’anus de l’autre jeune femme que le MC écartait.

Je n’ai pas aimé lécher cet anus, mais je m’appliquais à le faire. Sans plaisir.

Aller ! dit le MC, après m’avoir ordonné de me remettre à genoux. Au premier de ses messieurs et a sec. Un grand homme tout mince s’approchait et sodomisait d’un coup sec Emilie. L’homme au torse nue, toujours derrière moi, me tenais la tête en arrière par les cheveux et me dit de garder la bouche ouverte.

Chacun des hommes l’enculaient et venaient déverser leur foutre chaud dans ma bouche. Je me sentais vraiment humilier et je mouillais, j’avais hâte de me faire prendre car maintenant ma libido gonflait. J’avais besoin d’une bite en moi. Mais rien !! et cela me frustrais d’avaler toutes cette quantité de sperme et de ne ma moi aussi ma jouissance.

Je venais d’avaler le sperme de 20 hommes, tandis que Emilie après c’être fait enculer à la chaine recevait plusieurs coups de cravache sur ses fesses rougis. Des larmes coulaient

L’un des hommes masqués poussait un chariot qu’il amenait près d’une table d’examen ou Emilie fut maintenant conduite, il branchait une prise au mur et vient ensuite se positionner à côté de moi.

MC dit une sorte de prière, il but un liquide dans une sorte de coupe.et tandis qu’il buvait l’ensembles de personne répétait la prière. Il mit deux gangs de latex noir et saisie un coton qu’il passait sur le bas ventre d’Emilie au niveau de son pubis .

Il se saisie d’une machine à tatouer pour y écrire juste au-dessus de sons sexe et en lettre gothique le mot « Cummus » ce que je sais maintenant veux dire salope en latin, elle n’avait trop rien dit de toute façon elle avait toujours la boule dans la bouche. 

Quand se fut fini il nettoyait et pris une sorte d’aiguille courbée et là ce ne fut pas la même chose . Il lui perçait a quatre endroit les lèvres de son sexe pour y apposer des anneaux, et elle se mis a pleurer sous la douleur

L’opération fini le MC se reculait pour quitter sa toge et l’on m’ordonnait de le sucer. Cela dura environ deux minutes et sans autre préparation il pénétrait le vagin d’Emilie en l insultant. Il ne fessait pas cas de ses larmes. Je suppose que le frottement de sa bite sur les lèvres vaginale tuméfiées par les piercings devait lui faire mal mais elle semblait tout de même avoir un peut de plaisir car ses gémissements etait de plus en plus forts et qu’elle finit même par pousser un gémissement long de jouissance.

Les hommes masqués virent me chercher et je pensais que j’allais subir le même sort, malgré mon opposition du départ a toute modification corporelle c’etait actée sur mon contrat de soumission. Je mis a pleurer, la peur m envahissais tellement que je me misse à me pisser . Laissant les traces au sol de mon cheminement.

Mais, l’on m’ordonnait de sucer les deux hommes masqués . Ouf ! j’étais soulagée leurs queues en main ils s’approchaient de ma bouche et honteuse d’avoir pissée comme une chienne je l’ai sucé .

Ils me relevaient et penchée en avant, toujours les mains attachées dans le dos et des douleurs qui se faisaient sentir aux épaules, ils me baisaient l’un après l’autre, et je reçu a chaque fois leur semence en moi. Enfin j’avais été baiser et j’en prenait grand plaisir après cette frustration

 Je ne vous dis pas l’ascenseur émotionnel

Puis l’on m’entrainait vers un énorme god fixé sol par une ventouse et je dû avec l’assistance d’Emilie qui avait la chatte fermer par un lacet passé dans les anneaux qui lui avait été posée m’empaler dessus. Le MC lui ordonnait de me masturber le clitoris, à m’embrasser et me peloter les seins.

C’etait plutôt agréable. Et là ! je sentis quelque chose de liquide et chaud m’arroser, tandis que Emilie m’embrassait toujours .

MC etait entrain de me pisser dessus suivis des torses nus. Mais ce qui m’importais la maintenant c’est le plaisir que m’apportait le gros god qui avec le plug toujours dans mon cul et les caresse d’Emilie me fessait vibrer mais finalement c’etait un tout un subtil mélange de peur de honte de plaisir et maintenant l’humiliation de nous faire pisser dessus.

Quand le MC eu fini de me pisser dessus

L’un des hommes finis par me détacher ça fessait près de 3 heure maintenant que mes mains etait attachées . Mais je continuais avec la Brune à me faire du bien sur le god.

Maintenant, l’on se déplaçait sur un immense matelas rond surélevé après que Emilie et moi nous étions essuyées. Rejoint par l’ensembles des 20 hommes, des hommes masqués mc et tous aux milieux, le plug enlevé de nom anus, l’on se mélangeais dans une grande partouze.   Ce fut énorme pour ma première partouze, tous les corps de mélangeait. J’etait baisée, sodomisée et je suçais sans vraiment savoir par qui, mais beaucoup jouir en moi. Ma chatte et mon cul etait remplis du plaisir de certain de ses hommes.

Cela dura encore deux heures mais deux heures de pur plaisir.

Douchée et rhabillée, Je m’inquiétais aussi pour Emilie, mais elle semblait aller malgré les brulures occasionnées par le tatouage la soulagé.

Je rejoignais mon maitre a l’étage ou un petit repas nous fut servie.

Angoisse, curiosité, peur, humiliation ,douleur, plaisir intense ascenseur émotionnel voilà ce que je retiens de cette expérience .

Malheureusement les photos étaient interdites et nos téléphones supprimés lorsque nous étions arrivés.

Sur le chemin du retour, Monsieur William m’expliquait que Emilie etait en fait la fille de Gerard (le maitre de cérémonie ). J’etait choquée, mais rassurée de savoir qu’elle tous ce qu’elle fessait avec son père, elle le fessait d’elle même et qui suis je pour juger de tout façon elle etait majeur et si elle y trouvait son compte pourquoi pas .

Nous arrivions à tournons il devait être a peut près 22 heures , Je remerciais monsieur en l’embrasant et je rentrais chez moi épuisée, je me mettais au lit devant Netflix mais je m’endormais paisiblement. Et je devais être en forme mon petit ami devant rentrer a la maison ce dimanche pour trois jours.

Merci a ses messieurs qui sont venu, en cette belle soirée du 4 février à Charmes-sur-Rhône. Vous n’étiez pas nombreux et dommage que deux de ses messieurs est seulement jouer les voyeurs.

Comme convenue à la suite de notre annonce, nous sommes arrivés là l’heure enfin juste un petit peu avant,  histoire de voir s’il n’y avait pas de gendarme.

Nous nous sommes garés, au fond. Près du petit chemin qui conduit au champ solaire et d’une table avec des bancs de façon à ne pas être vue de la route .

Il nous fallut attendre environs 5 minutes avant qu’un véhicule ne s’approche et tandis qu’il se garait monsieur William m’ ordonnait de sortir et de façon a ce qu’il me voit et me demandait de commencer à le sucer. Alors qu’il avait sortie son membre. Accroupie ayant remontée ma jupe qui laissait apparaitre mes fesses sans culote, je prenais la queue de mon maitre en main et le suçait en me masturbant.

L’homme qui etait descendu de sa voiture et nous trouvais et saluait Monsieur William. Je ne me retournais pas continuant ma besogne selon mes ordres.

L’homme s’approchait et dit à mon maitre que j’avais l’air d’aimais cela. William l’invitait à nous rejoindre il devait avoir dans les 45 ans, il sortit sa queue et en nous regardant, il se masturbait et quand elle fut grimper la présentait devant ma bouche, Je la pris avec ma main libre et passait ma langue le long de sa verge et de ses couilles rasées avant de me mettre à sucer. Mon maitre se rapprochait et je compris qu’il fallait que je passe d’une queue a l’autre, cela devait faire 2 minutes que je les suçais, qu’un homme que nous n’avions pas entendu arriver, se présentait.

Ah c’est bien là ! dit-il . Maitre William l’invitait et lui cédait sa place. Mais je continuais à sucer sans me soucier a qui etait les queues. Je levais les yeux avec un regard de salope pour montrer que j’aimais cela. Je commençais à mouiller.

Tu aimes hein ! tu aimes ça espèce de pute me dit l’homme qui venait d’arriver. Je lui répondais simplement : J’adore ça !

Un autre véhicule arrivait, mais restait un peu plus éloigné. D’où il etait il ne pouvait nous voir,

Un homme en sortit et s’approchait.il s’arrêtait près des buissons mais visiblement ce n’etait pas pour nous. IL mit il pisser, et c’est en relevant sa tête qu’il nous aperçut visiblement surpris, il retournait à sa voiture mais ne démarrait pas. Finalement lui et une autre personne sortirent.  Ils s’approchaient mais ne vient pas jusqu’à nous. ils ne fessaient que regarder.

Maitre William leur fit signe de venir. Mais non ils ne venaient pas.

 Jetait maintenant debout penchée en avant l’une des bites toujours ma bouche, tandis que l’autre me prenait en levrette, je commençais à gémir et à mouiller encore plus, j’étais excitée de ma savoir baisée et regardée.

Une autre voiture s’approchait et se garait près de nous ce coup-ci, tous feux éteints. Un autre homme typé maghrébin la trentaine, s’approchait il dit quelques mots à mon maitre sans que j’entendes.

Puis en baissant sa braguette s’approchait de nous et je me retrouvais de nouveaux à sucer deux bites tandis que l’autre me baisait toujours, mais pas longtemps puisqu’il, lâchait son jus dans mon petit minou.

Le Maghrébin proposait la banquette arrière de sa voiture pour plus de confort, Maitre William Acceptait

Il poussait les sièges vers l’avant et je m’y installais, il s’occupait un peu de mes seins, Puis voulu mettre un préservatif, Mais mon maitre il dit que c’etait nature .Tant mieux : dit-il

Le Maghrébin me caressait un peut le minou et il s’introduit. Enfonçant sa queue en moi il me traitait chienne et dit que si j’etait a lui, il me ferait tourner et me ferait baisser comme la truie que je suis .

Ça m’excitait beaucoup et mon maitre lui disait de continuer à m’insulter. Il me baisait et ça me fessait du bien au point ou je me mis à trembler et à jouir tellement fort que je mouillais la banquette de sa voiture.

Au moment de jouir, il sortit de moi et voulu jouir sur mes seins.  Je sentais son sperme chaud gicler et couler sur ma poitrine.  J aperçu nos deux voyeurs qui c’étaient rapprocher et qui parlaient avec mon maitre, Mais non il ne voulut pas me baiser. Dommage car j’en avait envie

Kamel, il m’avait dit son prénom demandait à celui qui restait de s’approcher. Il fermait la portière arrière après avoir ouvert la fenêtre et de l’autre côté de la portière je les branlai et les suçais tandis que les jambes bien écartés j’exposait ma chatte aux deux voyeurs pendant que Maitre William me masturbait ma petite chatte bien humide.

Mon maitre me fit sortie de l’auto et je fus allonger sur la table de pique-nique . La tête en arrière je suçait de nouveau Kamel, qui tenait absolument à me jouir dans la bouche et le dernier de mes amants s’installait à son tour entre mes cuisses pour me prendre. Il me baissait par saccade alternant les sa vitesse et avec son pouce me branlait le clitoris et ça c’etait délicieux je jouis encore.

Je mouillais de nouveau et les deux hommes jouirent quasiment en même temps que moi. 

Remonte en voiture salope. Me lançait mon maitre. J’obéies sans dire au revoir à ses hommes qui m’avaient procuré du plaisir . Il les remerciait,

Nous repartions pour un autre lieu ou a priori j’etait attendu.

Les vibrations de la voiture du fait que mon sexe etait inondée de sperme et de cyprine ou de mouille pour ceux qui préfère, fit couler le long des lèvres de mon sexe le mélange de liquide tiède jusqu’à mon anus ça me donnait une sensation de bien-être. William me doigtait et me fessait lécher ses doigts

Pres de quarante minutes route plus tard à discuter de se qui venait de se passer. Nous voilà arrivé au sud de Montélimar.

Il me demandait de me remettre du rouge a lèvre et de me recoiffer et de changer mes bottines pour des escarpins noires à talon aiguille.

 Nous sonnions à l’interphone d’un grand immeuble. L’ascenseur nous conduit au 7eme étage où nous devions encore traverser un large et long couloir qui n’en finissait pas.

Arrivé a la porte, un petit homme trapu et chauve nous accueillit avec un fort du sud.  Il nous invitait à le suivre et à nous assoir sur un large divan.

Je ne comprenais pas trop ce que je fessais la !

 La vérité elle est aussi belle que sur ses photos dit il les garçons vont être content sans prendre sa respiration il nous proposait une coupe de champagne et appelait quelqu’un.

Deux jeunes hommes un peut plus jeunes que moi entraient Johan et Micka respectivement 18 et 19 ans. L un etait son fils et l’autre son filleul et il avait décidé de leur offrir leur dépucelage.

Les deux garçons prirent un verre avec nous. Tandis que l homme prénommer José n’arrêtais pas de parler Honnêtement il me saoulait et je voyais que mon maitre etait dans le même état que moi.

Alors il prit les choses en main : Comment fait ont ? demandait-il : Elle s’occupe d’eux ensemble ou individuellement.

José posait la question aux deux jeunes hommes qui timides ne savaient pas trop quoi répondre, Mais finalement ils choisissaient individuellement.

A ce moment Maitre William m’ordonnait de leur faire un petit strip-tease sur la musique qui etait déjà allumé. Sois bien salope me dit il

Je me levais, et en les regardant, pinçant mes lèvres et passant de temps en temps la langue dessus je me mis à danser langoureusement. Mes années de cous de danse me servent finalement lol . Je dégrafais un à un, les boutons de mon chemisier, que je laissais tomber au sol et me caressais la poitrine .

José dit : Elle est vraiment très belle hein les garçons qu’elle est belle je vous offre un beau cadeau. Regardez ses nichons oh putain ses nichons !

Je Continuais , le bouton de ma jupe en jeans dégrafer je la fis glisser lentement. Me voila ne portant plus que mes bas et mes escarpins. Dévoilant Mon sexe, mon cul et mes seins.

Je continuais a me trémousser me caressant sans jamais avoir lâcher du regard les deux jeunes hommes .

Mon maitre me dit : Tu vas les dépuceler sois gentille avec eux et fait leurs le grand jeu.

Oui monsieur William je ne serais pas trop vilaine. Je répondais

Décidez-vous dit José aux deux garçons .

Micka se levait m’attrapait par une main et me conduit dans une chambre, Je m’approchais de lui doucement et je lui déposais un baiser sur la bouche et je commençais à le déshabiller, il ne disait rien . Il ne restait que son slip et je constait que la bête qui si cachait prenait du volume. Je lui pris les mains et les posais sur mes seins.

Caresse-les , lui dis-je doucement.

Il etait maladroit mais délicat. Je mis à genoux et descendais son slip a ses chevilles, et commençais a le masturber et à le sucer très délicatement, je voulais que ce moment soit pour lui le plus doux possible malheureusement ce moment ne dura que très peut de temps car il déchargeait presque immédiatement sur mon visage.

Gêné il s’excusait, je le rassurais et le poussais sur le lit. Toujours à genou je me penchais sur lui, pour continuer la fellation. Il bandait vraiment très fort et je lui grimpais dessus et m’empalais sur a verge . Il lâcha un ouuuuuu. Je commençais les vas et viens sur sa bite, et il me touchait les seins. Il apprenait vite puisque de lui même il se mis à accompagner mes coups de reins il soufflait et je gémissais, Puis je me mis à quatre pattes pour lui offrir ma croupe. Il avait compris. Il me prit en levrette et ses coups de reins devenait de plus en plus précis et fort je m’écoulais la tête sur un cousin. Il me fessait jouir et je pense que ça avait dut s’entendre depuis l’autre pièce.  il déchargeait une deuxième fois en moi, je le laissait reprendre ses esprits, puis après avoir remit son slip il appelait Johan. Et lui dis : A ton tour elle bonne !

Johan entrait et refermait la porte derrière lui. Et là il me dit je vais te donner grave ! Je compris immédiatement que le garçon n’etait pas si innocent que son parrain le pensait.

Alors que j’étais allongée il vient s’allonger à côté de moi et commençait à me caresser tandis que je le branlais. Après m’avoir roulé une pelle, il passait la main entre mes cuisses déjà bien humide et enfonçait ses doigts. Il se redressait pour une fellation. Et a coups de rein il fessait des vas et viens dans ma bouche.

Pourquoi tu es avec ce vieux me dit-il, ce n’est quand même pas ton mec. Je lui répondais qu’il etait bien plus que mon mec il etait mon mentor mon maitre.

IL ne semblait pas comprendre mais peut importer, il me retournait et me demandait de me cambrer, il crachait sur mon anus et doucement me sodomisait, d’une main il m’attrapait par les cheveux et tirait sur ma tête pour me faire cambrer encore plus. Et il enfonçait sa bite profondément dans mon anus. Je recommençais a trembler . Vas-y baise moi !lui dis-je plus fort.

Il ressorti et pour me prendre la chatte dans là qu’elle il se vidais.

Il restait dans la chambre, et je regagnais le séjour rejoindre mon maitre les cuisses dégoulinantes. José me réservait et me tendait une coupe de champagne ça tombait bien j’avais soif. Assier toi petite me dit il . Et dit a son fils de nous laisser.

Il me demandait si tout c’etait bien passé je lui répondis que oui et je buvais .

Bois me dit il encore bois et viens me sucer petite pute. Honetement je commençais a fatiguée mais je ne suis qu’une esclave et je devais obéir. Toujours assise je me penchais sur lui et le suçais .William commençait lui aussi a me toucher. Ecarte ! me dit il d un ton sec. J’écartais les cuisses et sa main se glissait presque entièrement dans ma chatte toute mouiller.  C’est dingue a chaque fois que mon maitre me touche cela me donne des frissons de plaisir. Les deux hommes se mirent nus. Et je subis leurs assauts pendant près d’une heure . La différence entre les jeunes et les vieux les vieux sont plus endurant visiblement . Et l’autre différence c’est que mon maitre lui ne me dégoute pas tandis que José oui ..  Ma chatte bien remplie de tout le foutre des hommes rencontrer cette nuit, nous rentrions enfin ….

Bonjour a vous Monsieur

Je serais exhibèe et mise a disposition par Monsieur ce soir a partir de 22h00  sur l'air de repos le long de la D86 apres le rond point a la sortie de Charmes sur Rhone ... jusqua 23h00  Point de repaire un BMW X5 GRIS immatriculè 69