Partager l'article ! Week end à Genève Partie 2: Rentré a l’hôtel, non regagnions nos chambres, je voulu prendre une douche mais monsieur William Voul ...
Rentré a l’hôtel, non regagnions nos chambres, je voulu prendre une douche mais monsieur William Voulu me baiser sans que je me sois douchée et profiter comme il disait de toute mes effluves de salope.
Mais il fit mieux que me baiser, il me faisait l’amour, avec douceur j’aimais ça aussi et là encore j’éprouvais beaucoup de plaisir et je m’en dormais dans ses bras.
Le lendemain dimanche.
Nous nous levions a alentour de 9h30, j’avais, peut dormis mais profondément j’étais donc reposer. Je me dirigeais vers la baie vitré, la vue sur le Lac et les montagnes enneigées etait vraiment magnifique et le beau temps ne gâchait rien. Monsieur William passait derrière moi et m’entourait de ses bras pour m’embrasser dans le cou.
Tu sens la baise me dit ‘il, et il restait là un instant à me câliner. Il me demandait ce que je voulais au petit déjeuner et passait la commande au room service. J’allais griller une cigarette sur le petit balcon suivit d’une bonne douche.
Je prenais mon temps me délectant du bien fait de l’eau qui coulait, j’avais les lèvres de mon sexe encore sensibles et gonflées par le frottement des queues qui étaient passées en mois. Ma toilette terminée j’enfilais un peignoir et allais rejoindre mon maitre pour un petit déjeuné bienvenue.
J avait une Fain de loup. Nous prenions notre temps rien ne nous pressait ce matin et nous deux compagnons devaient eu encore dormir puisque nous n’avions pas de nouvelles.
Aux alentours de midi nous nous rendions au restaurant de l’hôtel ou ne rejoignaient Kristian et Helena, je passe vite sur cela ça n’a aucun intérêt. Puis après avoir récupéré sa voiture nous prenions la route, j’etait installer à l’arrière avec Helena ou l’on commençait à se chauffer nous embrassant et nous caressant.
Nous arrivions devant un grand chalet devant laquelle il devait y avoir une dizaine de voitures garées, ce qui présageait que j’allais de nouveaux avoir de multiple rapports.et j’en étais déjà très excitée.
Nous entrions et aussitôt Helena et moi étions séparé de mos maitres. Et conduite dan une pièce. Ou l’on nous demandait de nous dévêtir complément et d’attendre. Helena semblait déjà connaitre les lieux et me rassurait. Une fois nue toutes les deux elle décidait de me maquiller .
En générale je ne mets que du crayon noir sur mes yeux et un peux de rouge à lèvre. Mais je me laissais faire
Un homme portant seulement un boxer vient nous chercher, pour nous conduire dans un grand séjour
Il y avait la en plus de William et Kristian une douzaine d’hommes, de tous âges, on nous fit maitre a genoux l une a cotée de l’autre face à tous les hommes déjà nus ou une serviette autour de la taille.
L’homme qui etait venue nous cherchait pris un papier , qu’il nous lut.
Un acte d’accusation , il nous etait reprochées de ne pas nous être montrer suffisent salope lors de la soirée précédant
Il etait demandé à Helena si elle acceptait l’accusation et ce qu’elle plaidait
Elle plaidait coupable
Il en fut de même pourquoi.
Notre sentence etait prononcée ! Nous étions condamnées être baiser à devoir subir toutes humiliations sans discussion.
Tout commençait comme d’habitude par une séance de fellation. Et nous faisions baisser par tous les trous pendant plus de deux heures recevant en nous le foutre de ceux qui nous baisaient.
Quand ils eurent fini on m’attachait les mains dan le dos et je dû m’assoir sur une chaise et l’on me bandait les yeux.
J’entendais les ordres donnés à Helena, le premier etait de se mettre à quartes pates, la on m’écartais mes jambes et on lui ordonnait de me lécher et l’on me demandais de pousser pour lui uriner dans la bouche, effectivement je n’eu pas trop a forcer pour pisser tendit quelle me léchait
Je commençais à l’entendre gémir par intermittence, je sentais des gens près de moi comme si quelqu’un s’agitais mais je sentais surtout la langue d’Helena sur mon clitoris et qui me procurais encore une fois du plaisir. Et d’un coup je des coups sa tête tapait entre mes cuisses je déduis qu’elle se fessait baiser, mais c’etait inhabituel puis que il semblais y avoir des coups rapides et saccadée mais qui ne durais que quelques secondes et j’entendait un forte respiration rapide.
Bientôt je ne la sentais plus, et quelqu’un m’écarter les cuisses encore plus et je sentais comme si l’on me caressait les jambes avec des plumes mais un mouvement brusque me bousculait. Je sentais quelque chose d’humide sur mon sexe et je sentais une langue, mais une grosse langue me lécher. Là on me retirait mon bandeau. Je vue que ce qui me léchait etait un gros chien noir l’on me tenait de chaque côté et j’étais attachée. Sur le moment je voulu me dégager mais je me laissais faire car honetement la langue du chien me donnait des frissons et du plaisir.
Je l’avoue j’étais intriguée malgré la peur. Un homme tirait le chien en arrière et tentait de le faire grimper sur le dos d’Helena, une fois fait l’homme guidait le sexe du chien et il la pénétrait
Je la regardais en train de se faire prendre par cette bête et elle avait l’aire d’aimer cela.
Mon maitre vient se mettre à côté de moi et m’expliquais ce qu’il se passait, elle ouvrit un peut les yeux et me regardait, elle gémissait au rythme des vas et viens du chien. D’un coups le chien s’arrêtait alors qu’elle venait de pousser un grand râle.
Le chien se retournait et il restait bloqué en elle pendant plusieurs minutes le maitre du chien vient se placer devant elle pour lui offrir sa bite à sucer, il la traitait de bonne chienne.
Mon maitre me détachait, alors que le chien c’etait enfin décollé, je voyais une grande quantité de ce que je pense être du sperme de chien s’écouler de la chatte d’Helena. Le chien lui étant venue la lécher.
Les hommes, bien excités pas par le spectacle il ne fallut pas très longtemps pour que je me retrouve a me faire baiser a la chaine.
Il etait près de 17h30 et après avoir pris une douche, nous repartions. Je restais intriguée par ce que j’avais vue, bien que j’avais déjà vue des vidéo zoophile et j’en discutais avec elle. Elle m’expliquait que c’etait la troisième fois qu’elle pratiquais et qu’a chaque cela c’etait passé avec du publique et qu’elle en avait éprouvée de la honte d’y avoir pris du plaisir.
Nous déposions nos amis chez eu a Annemasse et nous reprenions la route pour chez nous
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