Mes rencontres

Lundi 28 février 1 28 /02 /Fév 17:46

 Rentré a l’hôtel, non regagnions nos chambres, je voulu prendre une douche mais monsieur William Voulu me baiser sans que je me sois douchée et profiter comme il disait de toute mes effluves de salope.

Mais il fit mieux que me baiser, il me faisait l’amour, avec douceur j’aimais ça aussi et là encore j’éprouvais beaucoup de plaisir et je m’en dormais dans ses bras.

Le lendemain dimanche.

Nous nous levions a alentour de 9h30, j’avais, peut dormis mais profondément j’étais donc reposer. Je me dirigeais vers la baie vitré, la vue sur le Lac et les montagnes enneigées etait vraiment magnifique et le beau temps ne gâchait rien. Monsieur William passait derrière moi et m’entourait de ses bras pour m’embrasser dans le cou.

Tu sens la baise me dit ‘il, et il restait là un instant à me câliner. Il me demandait ce que je voulais au petit déjeuner et passait la commande au room service.  J’allais griller une cigarette sur le petit balcon suivit d’une bonne douche.

Je prenais mon temps me délectant du bien fait de l’eau qui coulait, j’avais les lèvres de mon sexe encore sensibles et gonflées par le frottement des queues qui étaient passées en mois. Ma toilette terminée j’enfilais un peignoir et allais rejoindre mon maitre pour un petit déjeuné bienvenue.

J avait une Fain de loup. Nous prenions notre temps rien ne nous pressait ce matin et nous deux compagnons devaient eu encore dormir puisque nous n’avions pas de nouvelles.

Aux alentours de midi nous nous rendions au restaurant de l’hôtel ou ne rejoignaient Kristian et Helena, je passe vite sur cela ça n’a aucun intérêt. Puis après avoir récupéré sa voiture nous prenions la route, j’etait installer à l’arrière avec Helena ou l’on commençait à se chauffer nous embrassant et nous caressant.

Nous arrivions devant un grand chalet devant laquelle il devait y avoir une dizaine de voitures garées, ce qui présageait que j’allais de nouveaux avoir de multiple rapports.et j’en étais déjà très excitée.

Nous entrions et aussitôt Helena et moi étions séparé de mos maitres. Et conduite dan une pièce. Ou l’on nous demandait de nous dévêtir complément et d’attendre.  Helena semblait déjà connaitre les lieux et me rassurait. Une fois nue toutes les deux elle décidait de me maquiller .

En générale je ne mets que du crayon noir sur mes yeux et un peux de rouge à lèvre. Mais je me laissais faire

Un homme portant seulement un boxer vient nous chercher, pour nous conduire dans un grand séjour

Il y avait la en plus de William et Kristian une douzaine d’hommes, de tous âges,  on nous fit maitre a genoux l une a cotée de l’autre face à tous les hommes déjà nus ou une serviette autour de la taille.

L’homme qui etait venue nous cherchait pris un papier , qu’il nous lut.

Un acte d’accusation , il nous etait reprochées de ne pas nous être montrer suffisent salope lors de la soirée précédant

Il etait demandé à Helena si elle acceptait l’accusation et ce qu’elle plaidait

Elle plaidait coupable

Il en fut de même pourquoi.

Notre sentence etait prononcée ! Nous étions condamnées être baiser à devoir subir toutes humiliations sans discussion.

Tout commençait comme d’habitude par une séance de fellation. Et nous faisions baisser par tous les trous pendant plus de deux heures recevant en nous le foutre de ceux qui nous baisaient.

Quand ils eurent fini on m’attachait les mains dan le dos et je dû m’assoir sur une chaise et l’on me bandait les yeux.

J’entendais les ordres donnés à Helena, le premier etait de se mettre à quartes pates, la on m’écartais mes jambes et on lui ordonnait de me lécher et l’on me demandais de pousser pour lui uriner dans la bouche, effectivement je n’eu pas trop a forcer pour pisser tendit quelle me léchait

 Je commençais à l’entendre gémir par intermittence, je sentais des gens près de moi comme si quelqu’un s’agitais mais je sentais surtout la langue d’Helena sur mon clitoris et qui me procurais encore une fois du plaisir. Et d’un coup je des coups sa tête tapait entre mes cuisses je déduis qu’elle se fessait baiser, mais c’etait inhabituel puis que il semblais y avoir des coups rapides et saccadée mais qui ne durais que quelques secondes et j’entendait un forte respiration rapide.

Bientôt je ne la sentais plus, et quelqu’un m’écarter les cuisses encore plus et je sentais comme si l’on me caressait les jambes avec des plumes mais un mouvement brusque me bousculait. Je sentais quelque chose d’humide sur mon sexe et je sentais une langue, mais une grosse langue me lécher. Là on me retirait mon bandeau.  Je vue que ce qui me léchait etait un gros chien noir l’on me tenait de chaque côté et j’étais attachée. Sur le moment je voulu me dégager mais je me laissais faire car honetement la langue du chien me donnait des frissons et du plaisir.

Je l’avoue j’étais intriguée malgré la peur. Un homme tirait le chien en arrière et tentait de le faire grimper sur le dos d’Helena, une fois fait l’homme guidait le sexe du chien et il la pénétrait

Je la regardais en train de se faire prendre par cette bête et elle avait l’aire d’aimer cela.

 Mon maitre vient se mettre à côté de moi et m’expliquais ce qu’il se passait, elle ouvrit un peut les yeux et me regardait, elle gémissait au rythme des vas et viens du chien. D’un coups le chien s’arrêtait alors qu’elle venait de pousser un grand râle.

Le chien se retournait et il restait bloqué en elle pendant plusieurs minutes le maitre du chien vient se placer devant elle pour lui offrir sa bite à sucer, il la traitait de bonne chienne.

Mon maitre me détachait, alors que le chien c’etait enfin décollé, je voyais une grande quantité de ce que je pense être du sperme de chien s’écouler de la chatte d’Helena. Le chien lui étant venue la lécher.

Les hommes, bien excités pas par le spectacle il ne fallut pas très longtemps pour que je me retrouve a me faire baiser a la chaine.

 

Il etait près de 17h30 et après avoir pris une douche, nous repartions. Je restais intriguée par ce que j’avais vue, bien que j’avais déjà vue des vidéo zoophile et j’en discutais avec elle.  Elle m’expliquait que c’etait la troisième fois qu’elle pratiquais et qu’a chaque cela c’etait passé avec du publique et qu’elle en avait éprouvée de la honte d’y avoir pris du plaisir.

Nous déposions nos amis chez eu a Annemasse et nous reprenions la route pour  chez nous

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Lundi 28 février 1 28 /02 /Fév 00:10

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Samedi 26 .14h00 Direction Genève ; Petite robe moulante rouge, des bas blancs et des escarpins rouges et mon manteau blancs, le vent froid obligeant malgré le grand soleil.

Installée dan le gros SUV BMW noir de Monsieur William, la radio sur les infos pour suivre les évènement Ukrainiens qui vu mes origines me touche, bien que je ni est plus de famille. Les kilomètres s’enchainaient.

Evidement William et moi échangions justement sur les évènements, Monsieur William étant un ancien officier de l’armée de l’air il semble bien connaitre le sujet et maitrise avec beaucoup d’intelligence je trouve la Géopolitique et bizarrement je bois ses paroles .

Mais que l’on ne si trompe pas la main qui caresse mes cuisses et frotte de temps en temps mon sexe. Me fais bien comprendre que je ne suis pas là pour du tourisme mais bien pour être sa pute.

D’ailleurs en doublant les camions il fait bien exprès de soulever ma robe et montrer que je ne porte pas de culote. La vue sur l’intérieur de la voiture étant facilité par la vue et certain routier n’hésitaient pas a claxonner pour nous remercier.

Et c’est arrivée près de Chambéry, après qu’un camion nous est fait des appels de phare que William s’engageait sur un air d’autoroute ou le camion nous suivait.

Nous allions nous garer bien au fond du parking, près de sanitaire, le camion se garait lui tout à côté de nous. William allait lui parler, puis il vient me chercher et me fit grimper dans le camion ou durant bien vingt minutes je me faisais sauter par le routier heureux de vider les couilles en moi.

Bien sûr j’avais également pris mon pied et mon petit abricot bien mouillé, je rejoignais William dans la voiture qui redémarrais aussitôt et m’obligeait a lui raconter en détail ma baise.

Quelques kilomètres mon récit terminé il me demandait de me caresser, en bonne soumise je m’exécutais, enfonçant mes doigts dans mon minou .jusqu’au plaisir.

Sur la route nous arrivions du côté de Annemasse, Monsieur William fit un petit détour. Mais ce coup-ci pas pour m’offrir à un nouveau . Il me demandait d’attendre dans la voiture, et en revient une demie plus tard avec un couple d’une trentaine Helena et Kristian  (non non je ne me trompe pas sur l’orthographe )  et nous reprenions la route direction Genève.

Arrivée à Genève et avoir déposé nos affaires à l’ hôtel, nous décidions d’aller faire un tour sur les berges du lac, c’etait surtout pour me faire plaisir car je ne étais jamais venue en Suisse. Kristian et William marchaient devant tandis que Helena et moi discutant prenions notre temps , J’aime bien Helena une très belle brune.

La balade terminé William nous invitait tous au restaurant avant de nous rendre dans un club libertin le Cruising Canyon.

Pour moi une première je n’avais jamais mis les pieds dans ce genre d ‘endroit. Et je me demandais si l’on allait nous laisser puisqu’il semblait refouler pas mal de personnes. Mais nous visiblement monsieur William étais connus et il n’y eu aucune difficulté pour nous.

Nous entrions et déjà je sentais les regards se poser sur moi, et a peine installer sur une banquette que certain s’approchaient. Mais Kristian les repoussait leur demandant de bien vouloir nous laisser commander ne boisson et ce fut champagne. Une bouteille de Christal commandé par Monsieur William.

D’un coups Helena se levait en m’entrainait vers la piste de dance. L’on se trémoussait au rythme de la musique, Helena ce collait a moi en tenant par les hanches et me roulait une pelle, très sensuel. Ses mains descendaient sur mes cuisses et passait sous ma robe qui dévoilait à tous mes fesses et mon sexe nue. Elle maintenait ma robe relevée au-dessus de mes hanches mettant maintenant ses mains sur mes Fesses.

Quelques hommes et femmes nous avaient rejoints sur la piste plus ou moins vêtue, et certain commençait à nous caresser. Helena hottait ma robe quelle lançait en direction de notre banquette. Je continuais à danser

Grisée par la musique entraînante. Helena aussi avait hottée se vêtement, dévoilant ses dessous et jarretelles noires mais aussi de magnifiques tatouages . Elle revenait m embrasser et me caresser, une autre jeune femme venait se joindre a nous une autre très jolie brune d’une trentaine d’année, c’est à ce moment que je m’aperçus que je devais être la plus jeunes.

Elle nous embrassait chacune notre tour et nous commentions toute en dansant à nous caresser. Nos poitrines s’entrechoquant Je sentais l’envie de baiser monter. J’avais une main posée sur les fesses de chacune de mes deux nouvelles amies .

Bientôt un groupe de garçons viens nous rejoindre, et après quelque caresses et embrassade ils nous entrainaient sur les baquettes,

Alors que je léchais l’abricot d’Helena, je sentais une bite pénétrer ma petite chatte, je me cambrais pour bien m’offrir à l’inconnue qui me baissait. Helena elle suçait les bites qui se présentaient à elle , quand a la brune qui a quatre pattes elle etait également bien occupée.

Très vite je me retrouvais sur le dos , plusieurs inconnus autour de moi, attendant leurs tours pour me baiser,  tandis que j’en suçais d’autres .

Je n’entendais même plus la musique, je mouillais vraiment beaucoup, et je prenais un pied d’enfer.

Ils devaient maintenant bien être une dizaine à m’avoir rempli, je décidais de repousser les suivant voulant marquer une pause et boire un peut.

J’allais me refugier dans le bras de Monsieur William qui me réservait une coupe de champagne, il me félicitait pour ma prestation et m’embrassait, Helena aussi etait revenue se poser un peut.  Mais certain qui n’avait pas encore eu ce qu’ils voulaient venaient tenter leur chance en s’approchant de notre table. Ils étaient systématiquement éconduits par William et Kristian.

Monsieur William dégrafait son pantalon et m’attrapait par les cheveux pour me forcer à une fellation que je m’appliquais à lui faire. Helena viens elle me lécher, sous les assauts de son compagnon.

Ma petite chatte se gonflait de nouveaux de plaisir, je moullais de nouveaux moi qui etait déjà bien humide du jus des ceux qui m’avaient baisé.

Monsieur William devait vraiment avoir très envie car il n’avait jamais aussi vite joui . Après avoir avaler son sperme je me levais, voulant aller aux toilettes j’entrais dans les toilettes, et après avoir fait pipi alors que j’allais me nettoyer,  deux  hommes entraient dans les toilettes .

Sans que je n’aie eu le temps de me rincer un peut, ils me collaient et une fois n’est pas coutume, je me retrouvais a genoux à sucer les deux bites tendues. Les deux hommes prenaient soins de mettre le plus souvent possible leurs deux queues dans ma bouche, et me demandait de leurs masser les couilles.

L un passait derrière moi et me fit me relever après avoir doigté mon anus je sentais sa queue rentrer petit a petit dans mon cul. Puis il se mit à me limait de plus en plus vite. Je passais une main sur ma chatte pout me branler en même temps. Voilà encore une fois je me mettais a trembler,

IL ressortait sa queue et me prenait maintenant pas ma chatte pour finir par lâcher son foutre dans mon ventre,  Le deuxièmes homme me soulevais pour m’assoir a côté de lavabo et il me baissait comme ca tout en tétant mes nichons et tirant sur mes cheveux en arrière.

Je jouissais en poussant une série de petits cris et il en fit autant. Quand il eu fini je rejoignais mon maitre qui avait bien compris que je m’etait faite sauté dans les toilettes.

Nous restions jusqu’a la fermeture de la boite de nuit ou Helena et moi allons nous faire baiser par encore au moins un dizaine d’autres hommes.

Puis nous rejoignons a pieds gentiment notre hôtel .

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 22:10

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Depuis que j’ai signée mon contrat de soumise je n’avais eu que des rencontres avec Monsieur William. Mais hier a ma grande surprise il m’ordonnait sortie de mon travail à me rendre à une adresse dans le centre de Valence.

A vrai dire ça n’etait qu’a quelques centaines de mètres mon lieu de travail, je me rendais sur place sans autre information.  Je sonnais à l’interphone indiqué. Et montait à pied les 3 étages qui me conduisais à un appartement ou l’on m’attendait il devait être un peu plus de 23 heures .

Un homme m’ouvrit et m’invitait à entrer, il sa appel Alain un grand brun de 46 ans il me saluait et m’entrainais dans son séjour ou un autre homme Marc la quarantaine assis sur le divan attendait .

Et là je ne voyais pas Monsieur William et m’adressant à Alain je demandais ou etait ou etait mon maitre. Alain me dit qu’il ne viendrait pas, mais pour me rassurer car effectivement mon inquiétude montait, il appelait William au téléphone et me le passait.

Monsieur William me rassurait et m’ordonnait de me montrer chienne et de faire tous ce que Alain et Marc demandaient.  Bien sûr j’allais obéir et avec plaisir les deux hommes étant plutôt beaux et bien fait.

Ils m’invitaient à m’assoir et m’offrir à boire, Un peut intimidée je n’osais pas entamer la conversation. Mais Alain commençait à me poser des questions banales au départ et de plus en plus intimes, et c’est la qu’il me demandait de me déshabiller. Comme vous l’aviez compris j’ai été prise de courts, sortant du travail j’étais vêtue de façon ordinaire un jeans, un petit chemisier rouge, surmonté d’un petit pull léger et de petite bottine a talon.  Je portais un string de couleurs rouge. Que d’ailleurs on me demandait de garder.

 Pendant que je mettais à poil , les deux hommes eux aussi se dévêtirent . Assis sur le divan ils se branlaient, s’embrasaient et se caressaient mutuellement. Nue je restais la debout à les regarder.

Ils me dirent de les rejoindre, je me mettais a genoux , et attrapait la verge de Marc que je branlait délicatement avant de de la sucer, lui avait en bouche la queue Alain, qui lui un peux pencher vers moi me caressais le fesses.

Tout ça etait très excitant et fessait partie de l’un de mes phantasmes de coucher avec deux hommes bisexuels. En plus c’est la première fois que je voyais des bites et des couilles totalement rasées, et je vous le dis c est pour nous bien plus agréable.

Je commençais a vraiment me détendre et a apprécier ce moment, ne m inquiétant plus de l’absence de monsieur William.

La bite d’Alain avait vraiment beaucoup grossi, et un petit liquide commençait à s’écouler du bout de ca queue Dont le gout légèrement sucré me plaisais beaucoup.

Je me retrouvais maintenant assise sur le divan, la tête d’Alain enfuit entre mes cuisses me léchant et une main sur ma poitrine. Marc au-dessus de mon visage bite en main me l’enfilait dans ma bouche . On y etait mon corps tout entier frissonnait et la chair de poule se manifestait, la langue d’Alain parcourait les lèvres de mon sexe s’attardant de long moment sur mon clitoris, Je mouillais !

Alain c’etait relever et s’assit à côté de moi passant une main entre mes cuisses et a deux nous suçons la queue Marc. Bien que j’essai de l’embrasser de temps en temps il esquivait a chaque fois. Je me concentrais alors sur la bite Marc et je prenais un grand plaisir a le sucer aussi bien la bite que ses couilles bien lise .

Il vient alors s’assoir sur Alain, et s’enfilait par le cul sur son manche. Et li m ordonnait me traitant de pute de venir les lécher, tenant la bite de marc dans la main, passait ma langue comme je le pouvais être les deux bites et l’anus.

Un peut frustrée de ne pas être moi-même pénétrée, Alain gémissait, je voyais bien la bite faire des vas et viens dans son cul. A ce moment je me disais qu’il etait aussi salope que moi.

Puis ils m’ordonnaient de me mettre à quatre pattes. Alain viens me prendre en levrette. Enfin une bite me pénétrait et j’allais pouvoir prendre du plaisir ma petit chatte recevait les coups de bite et je me remettais a trembler de plaisir et à mouiller. Marc lui etait toujours dans l’anus de son ami et le limait temps et si bien qu’il imposait la cadence.

Alors que j’allais jouir, Alain se retirais et passait sa bite a l’entrée de mon anus. Il le pénétrait d’un coup ce qui me fit pousser un petit cri.

 A ce moment j’entendit le grognement de Marc qui venais de se vider dans l’anus de Alain, se dernier viens ensuite me faire a nouveau sucer sa queue.

Alain sortie de mon anus et allait pénétrer celui de son ami Marc les deux hommes. Encore une fois je me retrouvais sans avoir jouis ? mais la situation etait tout de même très excitante. Moi ils me baisaient mais eu se fessaient l’amour, je n’etait la qu’en simple objets de leurs plaisirs.

Alain fini par éjaculer lui aussi dans l’anus de son ami et je me retrouvais a les sucer tous les deux.

Puis ils me laissaient a genou sur le gros tapis, ils allaient s’assoir l’un a côté de l’autre sur le divan et sortirent d’une boite qui etait au milieux de la table de salon, de quoi se rouler un joint . qu’ils allumaient et fumaient.

Caresse-toi et branle toi !m’ordonnait Marc .

Je m’exécutais avec la ferme intention de me faire jouir, les regardant fixement en aillant l’air le plus salope possible passant la langue sur mes lèvres, je me caressais d’abord les seins doucement descendant le long de mon ventre l’une de mes mains pour atteindre ma chatte.

J’enfonçais, mes doigts que je léchais de temps en temps, revoila mes tremblements et les frissons qui annonçais mon plaisir j ‘enfonçais mes doigts encore plus profonds en moi, me cambrant en arrière, et là ça y est j’avais ma jouissance.

Mon plaisir et la mouille coulait de ma moule. Mais je continuais sans jamais les lâcher du regard, gémissant très fort.

Ils avaient ce qu’ils voulaient . Vient ! me dit Alain je m’approchais à quatre pattes. Toujours avec mon regard de salope .

Il me demandait de m’assoir entre eux deux et me proposait à boire, je leurs demandais s ils avaient un truc froid. Il me servir un coca .

Et ils se mirent à me caresser et à m’embrasser chaque partie de mon corps ça durait plus de vingt minutes et normale cela me fessait remonter ma température et mon envie. Ils écartaient mes jambes et ce mirent tous deux à enfoncer leurs doigts dans mon minou. Ils embrassaient mes seins .l’un deux m’embrassaient même très délicatement.

Marc me fit glisser sur lui et je m’empalais par le cul sur sa bite redevenue dur comme du béton . Alain attendait une petite minute puis me baissait la chatte. Ils étaient doux ils me baissaient et me caressaient, La chair de poule revint, ainsi que les frissons, la sensation des deux queues dans chacun de mes orifices c’etait vraiment super. Je me remis à jouir très fort.

Ils continuaient à me baisser dans différente position pendant près d’une heure avant de me jouir comme je l’aime dans ma chatte .

Voilà j’aurais bien continué mais nous étions la nuit de jeudi a vendredi et je devais rentrer me reposer avant de reprendre mon boulot. 

Voilai-je leurs posais quand même la question sur l’organisation de cette soirée sans mon maitre.

Et j’appris que j’avais déjà parler à Marc via Waanonce et qu’il avait fait une proposition sur mon adresse mail et que Monsieur William l’avait contactés

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Mercredi 23 février 3 23 /02 /Fév 20:02

Je savais bien que ce mercredi j’allais être punis. Et j’y étais résignée, J’allais rejoindre Monsieur William la boule au ventre, qui a mon arrivée s occupais de son cheval.

J’entrais dans la petite grange et alors que je voulu l’embrasser, il me reposait, et me jetait un regard noir.

A poil m’ordonnait-il : j’enlevais donc mon manteau, mon petit pull blanc et ma petite jupe écossaise et au moment de retirer mes bas Dim-up blanc il m ordonnait de les garder .

Il posait la brosse qu’il utilisait pour brosser son cheval et s’approchait, il prit une corde et fit mettre les bras dans le dos ou je me retrouvais attachée, puis il commençait a me traiter de trainée et de pouffiasse, que mon attitude de salope lubrique avec mon oncle devait être punit.

Il me retournait et m’obligeait à me pencher en avant, et là je sentais une claque s’abattre sur mon cul , puis une deuxième. Chacune d’elle me fit lâcher une larme et un gémissement, il m’ordonnait maintenant de me redresser, pour me conduire dans l’un des box a chevaux vide .

Il me rattachait les mains devant avec des liens de cuirs séparer par un gros anneau , et tirait sur une chaine accrocher à une poulie au plafond qu’il fixait à cet anneau. Et il me soulevait jusqu’à ce que mes pieds ne touchent plus le sol.

Je ne disais rien acceptant mon sors en bonne soumise, Puis il attachait mes pieds a des cordes à chaque extrémité du box de façon que mes jambes soient écartées. Je vous l’assure la position n’étais pas des plus confortable. Là je reçu une fessée magistrale les larmes coulaient le long des mes joues il me demandait a chaque coups de rappeler ce que j’etait .

J’etait une chienne, une pute, une salope , une radasse, une truie. Et oui je le suis donc je lui disais . Et d’un coup je sentais sa queue me sodomiser avec force. Il me fendait le cul a grand coup de bite, et là il ne cherchait pas mon plaisir mais bien à m’humilier à punir.il plongeait un doigt dans ma chatte et le posais sur mon clitoris juste pour me montrer qu’il me priverait de plaisir.

Il pénétrait bien profond dans mon anus et à chaque coup de reins je sentais bien ses couilles frapper mon vagin. Mais cela ne suffisait pas a me procurer du plaisir, mais lui il trouvait le sien en lâchant une grosse quantité de foutre dans mon cul. Puis il pissait sur mon cul. Il remontait son pantalon et me laissait la suspendu et il sortait de la grange.

Pour me soulager de mon poids qui commençais à tirer sur mes poignées jetais obligée de m’agripper comme je le pouvais à la chaine.

Les minutes défilaient je restais la toujours suspendue Seule avec la seule présence du cheval dans le box d’a côté. Les muscles des bras commençaient à me faire mal et je commençais a avoir froid.

Il revient peut-être au bout d ‘une demi-heure, et me posait encore la question sur ce que j’étais je répondais que j’étais sa chienne et sa pute et que j’aimais l’être.

Et sans que je mi attende je reçu un jet d’eau froid et continue sur tout mon corps. Il m’arrosait ainsi pendant une bonne minute puis me détachait, il récupérait mes vêtements posés sur un botte de paille. Et il m’ordonnait de rejoindre nue la maison.

Là il me tendait une serviette, et me servait un café chaud, et enfin il vient me prendre dans ses bras et m’embrasser.

Il me fit enlever mes bas qui n’étaient plus vraiment blanc et bien tremper, pour les mettre à la poubelle et comme je suis une fille organisée, me fit mettre la paire de secoure que j’avais dans mon sac et remettre mes talons, mais je devais rester nue.

N ayant pas encore fumer je sortais sur la terrasse pour en griller une, sans me soucier un seul instant que Monsieur William avait un voisin que je n’avais pas tout de suite vue et qui lui me matait, l’ayant finalement aperçu je rentrais dans la maison et en parlait a William qui ce mis à rire.

Il me demandait de remuer la sauce qu’il préparait pour le repas et sortait et il en revient au bout de quelque minute accompagner du voisin.

La voilà ! lui dit-il, d’ici tu la vois mieux, L’homme qui devait avoir au moins 65 ans n’en perdait pas une miette.

Monsieur William m’ordonnait d’éteindre le feu sous la casserole et de m’approcher. Je saluais timidement le vielle homme. Quand William lui demandait s ‘il voulait me gouter .

Il répondait que j’étais bien belle et bien jeune pour lui. Mais a ce moment alors que l’homme avait été inviter à s’assoir sur le divan, Mon maitre m’ordonnait de lui faire une fellation.

Je me mis a genoux devant lui et baissait son pantalon et attrapait sa verge tout mole pour le moment. Doucement je mis a le masturber déposant ma langue sur le gland de sa bite qui sentait l’urine et qui en avait le gout.  Mais je m’appliquais tout de même à ma mission.

Monsieur William servait un whisky a son inviter et nous laissait.

Sa bite maintenant bien gonflée, je la prenais bien en bouche, visiblement le vielle homme appréciait , il n’arrêtait pas de de dire « OH PUTAIN ! ».

Il me demandait de de me relever et debout devant il commençais à me lécher et à me toucher, puis il me fit me tourner et me pencher un peut en avant.

Il écartait mes fesses et je sentais sa langue lécher mon anus. On ne me l’avait encore jamais fait aussi longtemps et la sensation etait divine. Je passais une main sur mon sexe et commençait à me toucher pour faire monter mon plaisir.

Monsieur William me regardait et passait devant moi, je m’attendais à devoir le sucer, mais non il me déposait simplement un baiser sur les lèvres me soulevant la tête a l’aide d’un doigt sous mon menton . Et il me dit : tu es vraiment une très belle petite salope. Je me sentais à ce moment remplis de fierté.

Le vielle homme m’invitait maintenant à m’assoir sur lui. Une fois en place je m’aidais d’une main pour faire pénètre sa bite dans mon vagin.

Et c’est moi qui cadençais le vas et viens, et toujours une main posée sur mon vagin je me donnait également du plaisir. Ma poitrine au niveau de sa bouche, il en profitait pour me téter les nichons. Cette chevaucher me semblait longue mais heureusement j’avais déjà jouis. Pas de façon intense mais j’éprouvais du plaisir. Lui aussi fini par éjaculer dans ma chatte après encore de longues minutes de chevauchées.

Je me retirais et j’allais m’assoir et boire la bière que monsieur William m’avait servi . Les deux hommes se mis à parler de moi et de ma condition de soumise . Le vielle homme félicitant monsieur William d’avoir une jolie salope comme moi, bien sûr sans oublier qu’il serait honoré de me baiser de nouveau. D’ailleurs j’ai bien cru à ce moment que j’allais repasser a la casserole.

Le vielle homme partie, monsieur William me demandais de mettre le Couverts, et nous déjeunions en prenant notre temps. William me demandait de lui raconter en détails l’aventure que j’ai eu avec mon oncle. Il me confirmait que j’étais bien une chienne et que ma punition de ce matin avait été méritée.

Le repas terminé toujours seulement vêtue de mes bas et de mes talons il m’ordonnait de desservir et de faire la vaisselle.  C’est marrant l’impression que ma donner se moment comme si j’etait un peu sa femme.

Lui c’etait installé, devant ses actualités visiblement très intéresser par le conflit entre l’Ukraine et la Russie sujet qui m’intéresse également ayant de lointaines origines de ses deux pays.

Une fois mes corvées effectuées, je m’approchais voulant m’assoir a ses côtés, a ce moment sans rien me dire il sortait sa bite et je compris que je devais le sucer et le branler. Il me tenait par les cheveux fermement. Je lui suçais la bite et les boules le masturbant en même temps pendant un très long moment jusqu’a ce qu’il éjacule dans ma bouche. Je me retrouvais frustrer de ne pas avoir reçu sa queue dans mon ventre et pu jouir aussi.

Il me demandait de me revêtir, et nous partions. Dans la voiture il m’expliquait que nous avions rendez vous avec un internaute qui nous avait contacté par mail.

Arrivé devant un petit immeuble en rénovation, il mi fit entrer. Un homme je pense turque nous recevait et nous invitait à le suivre. 

J’entrais dans une pièce, ou travaillaient 4 hommes à poser des plaques de plâtres sur les murs.

L’homme sifflait, indiquant aux ouvriers de cesser leurs travails et de venir nous rejoindre.

Voilà votre prime ! dit-il aux ouvriers et il me poussait légèrement vers eux. Je me retrouvais très vite nue, ils me touchaient me tripotait, certains avaient déjà sortaient les queues et je me mis a les sucer.

Nul besoin de me dire ce qu’il fallait que je fasse d’autant que la frustration de ne pas mettre faite baissée par William avait déclencher l’envie de me faire sauter à nouveau.

Tous autour de moi le chef y compris et sous les ordres de monsieur William, je suçais et branlais les bites qui se présentaient. Puis je fus conduite par mon maitre, sur un tas des sacs de ciment ou de plâtre je ne sais pas, ou il posait son manteau pour mi installer et la chacun d’eux me prit et me baisait a la chaines bien sur j’y trouvais également mon plaisir et même un immense plaisir.

 Ma chatte inondée de sperme et une fois tous passé mon maitre sans dire au revoir, m’entrainait de nouveau en voiture pour me conduire en un autre lieu l’arrière-boutique d’un bijoutier ou la sans plus de cérémonie je fut baiser par deux autres hommes mais eu comme cadeaux un joli petit bracelet.

 

En fin d’après-midi nous retrions et je rentrais chez moi

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Lundi 21 février 1 21 /02 /Fév 19:43


Vendredi matin et depuis la veille mon oncles m’avait envoyé des messages toujours avec la même demande. Comme je vous l’avais dit je ne souhaitais pas lui céder. Je ne répondais donc pas a ses sollicitations et ses messages d’autant que mon petit amis etait rentée pour le Weekend .

 Et c’est bien ce qui ma fais craquer car, je pense qu’avec mon petit ami il y a s quelque choses de casser, ça façon de me baiser en fait ne me procure aucune sensation particulière ,

Je ne précise rien à voir avec mes sentiments pour lui, simplement sexuellement parlant je m’ennuie.

Et ce matin quand il est parti il devait être 5 heures, j’ai eu une grosse envie de me faire baiser comme la chienne que je suis devenue. Mon maitre je le sais est indisponible jusqu’à mercredi jour où j’ai rendu vous avec lui. Éric est lui partit en vacances avec sa famille.

J’ai donc attrapé mon iPhone et regarder mes SMS. Là je me suis mise à lire les messages de mon Oncle Antoine . A ce moment je lui ai envoyée une réponse lui disant . Si tu le veux toujours c’est maintenant je t’attends chez moi . Je sais que mon oncle est une lève tôt et qu’il gère son temps comme il le souhaite et qu’il se rendrait disponible.

Et j’avais raison à peine vingt minutes plus tard il etait là.   Juste vêtue d’un tee-shirt long je l’entrainait dans ma chambre par la main et m’allongeais sur mon lit . Baise-moi, baise fort lui dis-je

Mon oncle se mit nu et la queue déjà dure, s’installait entre mes cuisses et me pénétrer directement,

J’insistais : Baise-moi, baise-moi comme j’aime, dis-moi des choses. Il se mit à me baiser de plus en plus fort .Ses mains posées sur mes seins qu’il pressait, il commençait à me traiter ,de traîner et de putain et j’en avais besoin.

D’un coup il sortait de moi pour venir se positionner au-dessus de mon visage, je commençais à lui lécher les couilles et la bite. Il se penchait et en 69 nous faisions mutuellement du bien.

Je le suçais et lui caressais et il me rendait l’appareil en écartant le plus possible ma chatte pour y fourrer ses doigts et sa langue. Putain que c’etait bon, de temps a autre l un de ses doigt venait s’enfoncer dans mon anus et il me demandait d’en faire autant.

Nos bouches et nos sexes mélangeaient, je commençais à frissonner, mes gémissements se rapprochaient. Je mouillais de plus en plus. Et jus une première jouissance et après la frustration que j’avais eu en faisant l ‘amour avec mon petit ami qui ne m’avais procuré aucun plaisir . Je ne pouvais qu’être satisfaite mais j’en voulais encore.

Tonton Antoine me retournait comme une crêpe et m’allongeais sur le ventre en me calant un oreiller sous l’abdomen.  Il écartait mes deux fesses et sa queue bien dure pénétrait mon cul. Et pendant plus de 5 minutes il m’enculait, sans oublier les insultes qui font de moi ce que j’aime. Au bout de ses longues minutes je sentais le jus chaud de sa bite inonder mon cul.

Nous restions allonger quelque instant et je lui proposais unes cigarettes, Que je lui proposais de fumer en prenant un café.

Nue tout les deux accouder à l’ilot centrale de ma cuisine fumant et buvant notre café.  Il me demandait ce qui m’avait fait changer d’avis .

Je lui répondais. Que j’avais une furieuse envie de me faire baiser comme une chienne. a ce moment il posait sa cigarette dans le cendrier. Me soulevais pour me faire m’assoir sur le plan de travail, écartait mes jambes pour me baiser de nouveaux. Je me sentais bien pute, je me sentais chienne il me baissait fort pendant que je finissais ma clope. La-il éjaculais dans mon minou alors que je jouis de nouveau également.

Nous avions passé une partie de la matinée ensemble à baisser. Me sentant honteuse mais satisfaite j’appelais Monsieur William pour lui raconter. Évidement il me faisait un peu la morale mais me dis que maintenant il etait certain que ma vraie nature de salope etait bien la et que je ne pourrait plus aller contre .Mais que mercredi je serait punie comme il se doit .

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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