22ansapprentiesoumise

Ceux qui suivent mes aventures ici , le savent j’avais été émoustillée par une expérience don je n’etais pas là l’instigatrice ni même l’objet, et malgré mes craintes pour ne pas dire ma peur j’en avait parler à William qui m’avait jusqu’ici refusé cette expérience ne me pensant pas prête.

Je vous l’avoue j’ai regardé de nombreuses vidéos, et mon envie d’essayer etait de plus en plus grande.  Et depuis quelque temps sans parler de harcèlement j’en reparlais à William, qui lui ne semblais pas vraiment intéressé par le sujet.

Mercredi 3 aout je recevais un appel de William me demandant de venir chez lui, mais pas avant 19h ce qui m’ennuyais un peut aillant prévue de passer mon après midi dans sa piscine avec mon amie Léa à qui je n’avais pas encore présenté mon maitre et amant. Bref finalement nous irions passer faire une après-midi shopping à Valence.

J’arrivais donc comme convenue un petit peu après 19h entrant sans sonner ni frapper puisque maintenant je possède les clés du royaume.

William et un couple etait assis sur la terrasse à boire un verre, je les rejoins saluant tout le monde et arborant mon plus beaux sourire.  Et je m’installais à table ou William me servait une coupe de champagne.

Elle s’appelais Véronique une femme d’une quarantaine d’années brune à la coupe garçonne et au corps semble-t-il parfait, Lui un homme de 45 ans plutôt bel homme brun également à la barbe taillée et arborant de nombreux tatouages genre hipster répondant au prénom de Rémi

Je me doutais vraisemblablement du pourquoi de leurs venues, mais tous cela ressemblait plus à un diner entre amis, William avait même préparé un diner.  Mais en fin de soirée et aillant eux envie toute la journée de me baigner, je demandai la permission à William d’aller faire quelque brasses histoire de me rafraichir. Il acceptait mais je devais évidement le faire nue comme toujours, je me déshabillais donc entre le fromage et le dessert et piquais une tète dans la piscine, et je ne tardais pas à y être rejointe PAR Véronique qui elle aussi dans le plus simple appareil venait se rafraichir.

Elle s’approchait de moi, et commençais à me caresser et m’embrasser, je me laissais faire et me surenchérissait. Les deux hommes discutaient entre eux , ils avaient bien vu notre manège. Mais nous laissaient faire.

Nos langues se mélangeaient et nos mains caressaient mutuellement nos poitrines. Nous nous rapprochions de la plage de bain, maintenant allongées nos corps toujours trempant dans les quelques centimètres d’eau qui inondaient la plage, nos caresses devenaient plus osées, j ‘enfonçaient deux doigts dans son sexe, et en contre partie elle en faisait autant.

Les garçons toujours a table commentaient ce qu’ils voyaient.

Mais on ne les écoutait pas, nous offrant à nos plaisirs saphiques. Tous étaient si doux si, si bon notre plaisir etait mutuelle. Bientôt en position du 69, nous prenions notre plaisir et il s’entendait.

Notre plaisir pris Véronique et moi nagions un peut quelques longueurs dans la piscine afin de faire retomber notre température corporelle et nous retournions sans nous rhabiller prendre place à table ou William nous servit une divin dessert glacé de sa confection.

Quelques coupes de champagne plus loin, Je me retrouvais à genoux à sucer Rémi tandis que Véronique elle etait elle en train de s’occuper de la queue de William.  

Puis installer sur le divan du salon de jardin Véronique et moi nous retrouvions cote a cote à nous faire baisser. Dans toutes les positions changeant de partenaire aux grés des envies de chacun.

J’avais pris mon pied bien que j’eusse pris l’habitude de d’avoir de multiple partenaire cette intermède et échange de partenaire me plaisait beaucoup également. Mais je l’avoue il me manquait quelque chose.

Nos discussions etait maintenant naturellement axé sur nos aventures sexuelles respective et sur notre phantasme a réalisé,

Et c’est la que Véronique me posait la question : quel est l’expérience que la plus folle que j’aimerais faire du point de vue sexuel.

Je lui parlais de la fois ou je m’etais prostituée par jeux une expérience qui pour moi restait très forte.

Mais là je l’avais déjà fait elle essayait de me pousser dans me retranchement, La William me poussait à lui parler de la fois ou nous avions insister comme spectateur a une scène Zoophile.

Rémi et Véronique voulaient tous savoir comment ça c’etait passé, ce que j’avais ressentie.

Etant mise en confiance je leur racontait allant jusqu’a leurs avoués que j’avais été regarder des vidéos et que je m’etais masturber devant.

Rémi se levait et pris la direction de l’écurie, d ou il revenait avec un gros chien noir tenue en laisse.

William vient vers moi et me dit « voilà tu as le choix aujourd’hui tu as l’opportunité d’essayer, mais tu ni est pas forcer.  Il m’expliquait que Véronique et Rémi etait des habitués de cette pratique et que si je le voulais ils allaient m’initier.

Le chien toujours tenu en laisse , venais déjà me renifler l’entre jambe. Tu peux le caresser me dit Véronique .

Au bout de ou trois minutes d’hésitation j’acceptais malgré mes craintes, Mais je me rappelais la jouissance de la fille que nous avions vu avec William et des vidéos que j’avais vue. C’est ok dis-je.

Véronique pris les choses en main tandis que Remi tenait toujours le chien.

Elle jouait un peut avec lui m’invitant à en faire autant, le chien allongé sur le côté alors que nous le caressions et doucement elle lui attrapait le sexe et ce mi a le masturber. Voie comme il aime cela me dit-elle, effectivement l’animal semblait apprécier et son sexe grossissait de plus en plus approche me dit-elle encore. Et une fois plus proche d’elle, elle me prit une la main droite quelle posais sur le sexe du chien et toute en me guidant elle me fessait branler sa bite. Le chien se retournait et vient me lécher la main.

Véronique se reculait et pris la laisse du chien. Rémi me fit me relever et m’assoir jambe écarter sur le divan . et Véronique montrais mon sexe au chien qui sans hésité après l’avoir renifle se mit a me lécher. Ecarte ta chatte me dit Rémi . J’obéissais et à l’aide de mes deux mains j’écartais ma chatte.

Le chien me léchait goulument et je me mettais bientôt a trembler, la langue du chien me faisant énormément de bien.

William c’était rapproché et n’en perdait pas une miette et me photographiait, il avait posé une main sur ma poitrine qu’il malaxait. Le chien se redressait et cherchait à me pénétrer mais il échouait. Il venait me renifler a nouveaux et sa langue venait encore me lécher, je mouillais énormément et rien que sa langue me procurait un immense plaisir. Le chien tentait de nouveau de me pénétrer ce     coup-ci la main de Véronique venait guider le sexe de l’animal jusqu’au miens, je me laissais glisser un peu pour faciliter la manœuvre . Ça y est je sentais sa queue s’enfoncer dans mon vagin et son ventre contre le mien, il me respirait langue pendante tout à côté de mon visage, et les coups de reins rapides s’enchainaient.  Je couinais mais très vite la bite du chien glissait.

Alors Véronique me fit me mettre a genoux et et le chien me grimpait. C’est au bout de la sixième tentatives que le chien s’enfonçait en mois sont sexe s’enfonçait encore plus profond en moi et les coups de riens etait de plus en plus rapide putain je prenais un super pieds un liquide chaud dégoulinait de ma chatte mais temps que le chien me limait, je prenais je sentais bien sa bite.

Puis je sentis alors qu’il poussait plus fort comme une boule. Puis il bloquait, Ne bouge pas me dit véronique attends qu’il se retire de lui-même. Pendant ce temps Rémi agenouiller devant moi etait venu dans ma bouche. C’est sur maintenant j’etais bien une chienne.

Je restais collé au chien durant plus de cinq minutes puis je sentais des jets dans ma chatte, et le chien se libérait de moi, une grande quantité de sperme animal dégoulinait que le chien s’empressait de venir lécher jusque dans mon sexe . Puis ce fut au tour de Remi d’éjaculer dans ma bouche.

Je m’écroulais de fatigue mais je n’avais jamais ressenti une telle jouissance et je ne pensais pas que 

ça serait si puissant car messieurs le chien est bien plus performant et endurant que vous.

Ça y est j’avais franchi une frontière.

Véronique n’etait pas en reste car un peu plus d’une demi-heure elle ce fessait baisser a son tour par son chien.

A l’heure dit nous nous garions au port face à l’escale de Fonfon . Difficile de dire a prime abord s’il y avait du monde pour nous .

William me proposait de marcher un peut en direction des toilettes publique et de la station de Vélo.

Il y avait l’attendant dans une un Clio rouge un homme d’une quarantaine d’années, il sortit et s’approchait sûr de lui,                 et s’adressant à nous vous êtes William et Bblove . William lui répondit que oui .et il continua je viens pour la petite fête. Il s’appelait Tino .

Bientôt un autre homme s’approchait,  lui vivait sur le port, un homme d’une cinquantaine d’années.

Alors que William leur proposait de me sauter dans la toilette, Mais l’homme du port nous proposait plutôt de marcher un peut et nous montrait un lieu au fond du port avec une vue magnifique sur le pont, et le Rhône mais aussi sur un vieux bateau a moitié coulé il fessait déjà presque nuit.

Tino le premier s’approchait visiblement sa libido le pressait un peut, commençant à m’embrasser dans le cou et soulevant ma robe. Je me laissais faire et l une de ses mains ne tardait pas à trouver le chemin de mon sexe. Qui etait déjà mouillé et gonflé . En effet William m’avait déjà sauter en levrette et éjaculer dans mon minou alors que nous sortions du restaurant ou nous avion diné . Les camera du parking ayant peut-être enregistrer nos ébats.

Mais revenons à ce qui nous occupait, Tino donc me fouillait enfonçant profondément ses doigts.

L’homme du port après un coup de téléphone, lui aussi viens coller à moi, ils me retiraient ma robe pour me découvrir nue, juste avec mes ballerines au pieds .

Les deux hommes avaient sorti leurs queues. William m ordonnait de les sucer, a ce moment 3 autres hommes arrivaient visiblement des connaissances de l’homme du port Etienne, Elmo un grand brun au cheveux long et Cyril .

Ils se joignaient à nous me retrouvant a passe ma bouche et mes mains d’une bite a l’autre , puits je me sentais soulevée. Cyril et Tino chacun d’un côté de moi m’e soulevaient et écartaient mes jambes. L’homme du port après m’avoir léché la chatte et mon petit trou, s’avançât et me pénétrait de sa bite épaisse.  Quelque va et vient dans ma chatte, puis il sortit pour me sodomiser les deux garçons ajustant ma position pour l’aider. Puis il alternait de non-cul à ma chatte pendant plusieurs minutes avant d’éjaculer sur mon ventre. Etienne vient a son tour bien qu’il me sodomisa, il préférait visiblement l’attrait de mon vagin, puisqu’il y restait jusqu’à jouissance.

Tino et Cyril me reposait a et appuyer face a une sorte de cabane le reste des invités me baissait en levrette et par les deux trous .

C’est a ce moment que 3 hommes jeune sorties de ne je sais ou s invitaient a la fête , mais pas pour longtemps, Bousculant Elmo qui s’apprêtait à me baisser à son tour. Les esprits s’échauffaient et William intervient en refusant que les trois jeunes hommes me touchent .

Et quand l’un deux voulu le frapper d’un coup de poing William le neutralisait et a ‘l’aide d’une clé de bras l’envoyait prendre un bain forcé dans le Rhône.

Elmo lui en avait profiter pour me prendre debout contre la cabane et se vider en moi.

William me demandait de me rhabiller ,aillant peur pour ma sécurité nous reprenions le chemin de notre voiture .

Mais L’homme du port nous proposait de finir la soirée sur son bateau ou tour a tour chacun d ‘eux me baissaient deux ou trois fois.

Bien que ses deux ou trois derniers mois, je n’ai pour des raisons professionnelles précédemment relatée pas eu de nombreuses aventures je n’en suis pas moins restée chaste.

Une première petite aventure avec l’un des serveurs du nouveau restaurant de mes parents. Avais réveiller la petite pute que je suis.

Le serveur, un jeune homme guère plus âgé que moi de nationalité Hollandaise avait jeté son dévolu sur moi. Et après quelques semaines à le repousser n’étant pas autorisée à me faire sauter par mon semant envers monsieur William. Je décidais de m‘offrir a lui alors que nous n’étions plus que nous deux pour la fermeture.  Rien d’extraordinaire après quelques préliminaires génitaux-buccal, je m’etait laisser prendre comme une trainée sur le sol du restaurant.

Mais voilà cet intermède avait réveillé en moi mes instincts de salope et il me fallait ressentir, la chaleur et la brulure de la luxure au quelle je m’etait addictée.

William me donnait sa bénédiction mais pas seulement il m’envoyait vers l’une de ses connaissances qui allait m’offrir a toutes un équipage métissé de marins créoles.

Le rendez-vous pris, je me rendais sur le port de fort de France ou du moins non loin. Un bar Le spice pour ceux qui connaissent la région , Je rejoignais un homme mélange de Corto Maltese et Sergent Garcia. Un homme plutôt trapu d’une cinquantaine d’années pas très engageant à prime abord. Il s’appelait Carlos une Espagnole d’origine, métissé Réunionnais par sa mère.

Apres mettre présentée à lui et qu’il m’eu offert un verre durant le quelle nous avions discuté de ce que William lui avait dit. Nous en passion vite au fait car je dû le suivre aux toilettes pour lui prodiguer une fellation a la suite de quoi il me baissait vite fait en levrette avant de se finir dans ma bouche. Bien sûr je ne vais pas dire que je ni avait pas pris un peu de plaisir mais ça manquait de vice et de luxure et surtout j’en voulais plus beaucoup plus.

Après un autre verre, il me conduit enfin à mon lieu de plaisir, dans une espèce de cahute faite de bric et brocs. Le pêlemêle jouant aux cartes ou allongés sur des lits superposés une bonne quinzaines de créoles dans une atmosphère saturé par la fumé et l’odeur du tabac et de quelques herbes je fus jeter en pâture.

Carlos leurs dis baisée cette pute elle est a vous pour la nuit…Il dégrafais ma robe et me poussait au milieu de la pièce. Je sentais des mains me toucher m’agripper. Bientôt je me retrouvais allongée sur une table à sucer plusieurs queues en branlant d’autres et me faisant manger le minou.

Les effluves de ce que fumait certains d’entre eux me donnait l’impression d’être ivre. Mais mes sens étaient bien la et mon plaisir aussi.

Je me laissais guider par les envies de ses messieurs et une première bite me pénétrait, sans que je ne sache vraiment qui me baissait, mais le vas et viens saccader me fessait du bien je brulais de désirs et bien que l’homme jouis en moi cela n’atteignait pas le feu de mon envie.

Un second ne tardait pas a me prendre alors que j’en suçais encore d’autres je les entendait m’insulter de pute blanche mais j’aimais ça, un troisième un quatrième cinquième et encore d’autres tous jouir en moi les uns après les autres . Et ce n’etait pas fini puisque maintenant j’etais conduite sur un vieux divan ou alors que je m’empalais sur une bite un autre allait m’enculer. La encore nombre d’entre eux passait à la chaine dans mon cul alors que j’etait empaler sur la même queue qui s’avérais être celle de Carlos.  Je prenais un pied d’enfers je tremblais comme une feuille au vent.

Carlos aussi avait pris son pied mais malgré tout il me gardait sur bite qui etait resté dur jusqu’au bout.

Cette nuit la je servit de vide couille et chacun pu me baisser autant de fois qu’il en eux envie j’etait la pour ça, Une pute blanche au service des créoles qui voulait bien de moi.

William serait fier de moi .