Mes rencontres

Jeudi 17 février 4 17 /02 /Fév 02:07

GB 1avec les blacks 5

 

Nous voilà arrivée la voiture garer au deuxième sous-sol et la chambre réservé la vielle par monsieur William n’attendait que nous et nos invités.

Je portais une robe de cuir noir moulante et courte, une paire de talon aiguille et mon petit manteaux blancs. Mon maitre avait posé sur mon cou un collier de chien ou plutôt de chienne surmontée d’un petit médaillon gravé du mot salope . Et avant que je ne sorte de la voiture y avait accrocher une laisse de cuir noir.

Biensur sur le chemin qui conduisait aux assesseurs, nous croisions quelques personnes, dont certaines qui remarquaient ma tenue en laisse par mon maitre et se retournaient sur notre passage surtout au moment où nous prenions l’ascenseur qui nous conduisait à l’extérieur. un homme d une quarantaine d 'annèes le prenait egalement et me devisagait, monsieur William devant lui passait une main entre mes cuisses montant bien que je ne portais aucunn sous vetement, l'assenceur arrivèe l homme sortait en nous souhaitant bonne soiree.

 C’est à ce moment que nous remarquions deux hommes qui s’emblaient nous Attendre et qui nous remarquaient. Nous nous approchions d’eux et entamions la discussion, j ouvrait mon manteau sur ordre de mon maitre et soulevait suffisamment ma robe pour dévoiler mon sexe.

A ce moment plusieurs autres hommes s’approchaient de toutes les directions. Au total je me retrouvais avec 8 personnes autour de moi, ce qui attirait l’attention des vigiles de casino qui nous demandaient d’évacuer les lieux .

Mais avant de nous retirer,  monsieur William leur donnaient notre numéro de chambre a l’hôtel Mariotte et leurs demandait d’arriver en décaler de façon à ne pas attirer l’attention du personnel de l’hôtel bien que peut nombreux à cette heure-ci.

Je suivais mon maitre toujours attacher à ma laisse et une fois dan la chambre, avant que les premiers invités arrivent Monsieur William me demandait de me mettre nue et de m’installer sur un grand fauteuil .

Ecarte les jambes et caresse toi m’ordonnait il et ne t’arrête pas quoi qu’il se passe

Mes deux Jambes posées sur les accoudoirs, j’obéissais. Il ne fallut pas longtemps pour que quelqu’un frappe à la porte de notre chambre . Les deux premiers garçons rencontrés arrivaient.

William les invitait à se déshabiller, alors que d’autres arrivaient et fit la même chose. Je continuais a me masturber les regardant et passant ma langue sur mes lèvres. Me comportant comme une chienne en chaleur tel qui me l’avait demandé.

Enfonce ta main dans ta chatte me dit il encore .

Je mouillais vraiment beaucoup et engageais déjà deux doigts dans ma chatte, puis un troisième.

Quelqu’un frappait de nouveaux a la porte les trois derniers garçons entraient et alors que les 5 autres étaient déjà nu a ce branler en me regardant,

Monsieur William me demandait ce que j’étais : Je lui répondais que j’étais une chienne sa chienne ! une grosse chienne.

C’est bien me répondait ‘il : Enfonce-la ta main maintenant !

Ma main plier sur elle-même, et mes 5 doigts dans mon minou je l’enfonçait presque jusqu’au poignés , a ce moment William envoyait un premier garçon pour me caresser le clitoris.

Fist toi bien me dit William et il envoyait deux autres des invites se mettre de chaque côté du fauteuil pour que je les suce à tour de rôle, j’enlevais main de façon à branler les deux queues qui m’étais offertes en les suçant, alors que celui qui me caressait avait entreprit de me lécher.

William attrapait la Laisse et me tirait aux milieux de la pièce et me fit mettre une fois n’est pas coutume a genoux .

Ils mettaient tous autour de mois enfin sauf les deux que j’avais déjà eu en bouche, et commençait une fellation collective qui allait durer bien 10 minutes. Certain derrière moi me caressait les seins ou les épaules .  Je suçais avec beaucoup de plaisir chacune des bites devant moi. Il faut dire que j’adore ça.

Baiser la ! maintenant ordonnait Monsieur William

Ils me soulevaient et m’allongeait sur le lit. 

Un par un !  Dit-‘il encore . Et pas de capote.

Le premier un homme d’environ une trentaine d’années soulevant mes jambes sur ses épaules me pris pendant a peine une minute avant d’éjaculer sur mon bas ventre sans doute sa performance etait du a sa trop grande excitation.

Puis chacun leurs tours ils passaient entre mes cuisses, Maitre William leurs aillant dit de ne pas oublier de me traiter en chienne, tous m’avaient copieusement insulté des noms habituels, certains avaient déjà lâcher leurs foutre en moi. Et ceux qui ne l’avait pas encore fait s’acharnaient en moi alors que maintenant j’étais à quatre pattes. Là je sentie les premières queues fendent mon anus et se vider en lui alors que je venais également de jouir .

Notre éjaculateur précoce aillant visiblement repris des forces et alors que j’étais maintenant chevauchant un de mes amants du moment , me basculait en avant pour m’enculer et de ce fait me prendre en sandwiche.  Le frottement des deux bites dans mes entrailles qui s’échauffaient me procuraient de nouveau du plaisir,

Comme à chaque fois je me mettais à trembler et à gémir de plus en plus fort , ma chatte de nouveau se remplissait du plaisir, de ma monture. Je le libérais et toujours offrant ma croupe et tandis que mon éjaculateur précoce dégager sa bite de mon cul un autre me sodomisait,

Monsieur William m’attrapait par les cheveux et sa queue en main me la fessait sucer, me l’enfonçant complètement au fond de gorge, il me traitait de petite pute lubrique et de chiotte a foutre.  

J’avais le cul et mon minou remplis de sperme et je venais de boire celui de mon maitre directement a la source.

Alors que nos deux premiers visiteurs prenaient congés, suivit d’un troisième et que je pensais pouvoir me poser quelques minutes, l’on me bandait les yeux et l’on me fessait tournée plusieurs fois sur moi même se qui me donnait sans attendre le tournis et des vertiges.

Monsieur William me demandait de nouveaux qui j’étais, je lui répondais que j’étais sa chienne, sa pute , son objet de désir et de plaisir.

 On me refit tourner de nouveaux sur moi même et l’on me poussait. Je me sentais balloter et repousser contre certains de nos invités enfin les cinq qu’il restait, Ils m’insultaient de nouveaux me criant dessus , et là je commençais à sentir, brulure des claques sur mes fesses, mes cuisses et ma poitrine, les larmes montaient en moi. L’on me poussait alors que j’étais totalement sans repaire dans la pièce contre un mur ou appuyer sur le dos je me sentais soulevé et pénétré, les coups de queues me remontaient contre le mur, il me lâchait et un autre pris sa place en moi. J’étais toujours insulter et humilier toujours en moi l’homme me déplaçait et m installait sur ce que je pense être le petit bureau et je reçu au bout de quelques temps une décharge de sa semence. L’on me tirais de nouveau et le tourniquais recommençait ainsi que les claques sur mes fesses et mes cuisses,

Je me retrouvais à plat ventre sur les genoux de maitre William. Je le reconnu puisque c’est le seul qui avait toujours ses vêtements.  Et sans que je mis attende je reçu une fessée plusieurs coups, j’étais totalement déstabilisée. Il me redemandait qui j’étais.  Je suis votre chienne votre pute monsieur.

Il écartait mes fesses endolories par la fessée et demandait à l’un d’eux de m’enculer a font.

Je sentais une bite pénétrer mon cul et me le baiser, William donnait ses ordres chacun m’enculaient de nouveaux alors que j’étais toujours sur ses genoux .

Puis il me fit me mettre à genoux enlevait mon bandeau , et tous se mirent autour de moi et se branlaient jusqu’à éjaculer sur mon visage et ma poitrine. J’en suçais certain qui voulaient que je nettoie leur bite.

C’etait fini. Tous nous remerciaient pour le moment et partirent , je me relevais et Monsieur m ordonnais d’aller prendre une douche .

Je l’entendais parler a quelqu’un, et quand je revenais seulement vêtue d’une serviette de bain 3 grands blacks costaud m’attendaient nu.

Je ne voyais pas mon maitre, il m’avait abandonné la avec ses 3 hommes …

L’un deux m’attrapaient par le bras et me dit : Petite tout va bien se passer ! assied toi et laisse-toi faire .

Lui s’allongeait à côté de moi et m’ordonnait de lui faire une fellation alors que les deux autre commençait à me caresser chaque partie de mon corps. Leurs queues étaient énormes enfin bien plus grosse que tous ce que j’avais connue jusque-là !

J’écartais de moi-même mes cuisses pour leurs permettre l’accès a mon petit minou, les mains blacks étaient très baladeuses et joueuse, ça y est mon plaisir remontais.  Je me retrouvais allongée une queue dans chaque main et la une tête entre les cuisses . Je m’appliquais a sucer les deux queues noires et a leur donner du plaisir.

Enfin je sentais une de ses bites d’ébènes me transpercer mon sexe. Doucement il commençait le va et viens avec beaucoup de douceur sa bite longue et épaisse frottait mon clitoris à chacun de ses mouvements, ça y est je tremblais de nouveau. Et tout mon corps frissonnait. Je continuais a offrir une fellation aux deux autres queues mais les assauts de plus en plus rapides me faisant gémir et bouger j’avait du mal à me concentrer.

Mon dieu que c’etait bon ! ce qui m’interpellais ce n’est qu’aucun de ses trois hommes ne parlaient mal ou m insultaient bien au contraire. Ils se montraient doux et prévenant.  

Deux d’entre eux échangeaient leurs places, et mon minou toujours dans la même position recevait une autre bite, peut être un peut moins grosse que la précédente mais toute aussi délicieuses dans ses mouvements et je ne tardais pas à jouir .

Le troisième me demandait de venir m’installer sur lui, alors qu’il s’etait assit sur le fauteuil.

Je descendais doucement me faisant glisser sur sa queue. Là Il écartait mes fesses et je sentais mon anus s’ouvrir au fur et a mesure qu’une bite pénétrait mon cul.

Doucement comme à chaque fois ils commençaient leur vas et viens,  doucement et en cadence je les sentais bien contre les parois de mes organes leur deux bites me fendre je mouillais énormément Le troisième black tenant ma tête entre ses mains avait mis sa bite dans ma bouche et a laide de ma mains droite je le branlait .

Je devenais brulante de plaisir, et je l’ai bien senti venir un jet de cyprine s’échappait de ma chatte et mouiller mes partenaires . Je criais de plaisir mon corps incandescent reçus à ce moment une grande quantité de sperme dans mon anus .

L’homme épuiser allait s’allonger sur le lit. Le troisième larron vient à son tour se placer derrière moi mais son sexe vient rejoindre celui de son ami dans mon vagin.

Les deux bites, reprenaient le rythme et de nouveau mon corps entier réagissait en tremblant en transpirant. Celui sur lequel j’étais assise, massait mes seins et tétait mes teutons, comme un nouveau-né sa mère .

Je sentais de nouveau mon plaisir monter, mais avant cela je recevais une nouvelle décharge de sperme dans ma chatte .

Il n’en restait qu’un !  Il me fit m’assoir sur le fauteuil et tenant mes jambes en l’air serrées l’une contre l’autre et fessait alterner sa queue entre mon cul et ma chatte jusqu’à son plaisir.

Il etait près de trois heures ils m’avaient encore baiser une fois et a chaque fois j’avait pris un immense plaisir .

Mais là je n’avais plus rien dans la batterie et je ne voulais plus que deux choses fumer une cigarette et m’endormir contre mon maitre .

Les trois blacks parties, je téléphonais à William et lui demandait ou il etait, il c’etait simplement refugier à l’accueil de l’hôtel et remontait suite a mon appel.

Je me doutais qu’il n’etait pas loin mais j’avoue que j’ai craint un peu l’abandon.

Malgré ma fatigue, je voulu m’offrir une dernière fois et c’etait a mon maitre, je ne sais pas ce que me procure cet homme mais j’ai se plus en plus besoin de sa présence et de m’offrir totalement a lui.

Nous passions la nuit à l’ hôtel pour un repos bien mérité dans le confort d’un grand lit bien douillet .

 

Petit compte :  En comptant mon maitre j’ai été Baisée par 71 hommes diffèrent depuis le 18 janvier 2022 auquel il faut rajouter mon petit ami et 4 filles . Pas mal pour une novice.

 

 

Par BBLOVE26 - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Lundi 14 février 1 14 /02 /Fév 09:20

ENTRE FILLE

Encore une fois aucune précision sur ce que monsieur William m’avais préparé, Je suis arrivée à l’heure convenue à son domicile il était près de 18h00,

 Il ma ouverts la porte et je me suis jetée à son cou et déposé un baiser sur ses lèvre ses lèvres ce que j’aime c’est qu’il me laisse la latitude pour être tendre avec lui.  Et j’aime savoir que je compte un peu.

Il a accepté mon baiser et je m’apercevais a ce moment, qu’il portait un tablier, Monsieur etait visiblement en cuisine.

Mets-toi a l’aise me dit, et sers-nous a boire. Je sais que monsieur William ne bois pas je lui servais donc son eau pétillante quand a moi je me servais une bière.

Et je fus surprise de voir que monsieur William, savait cuisiner moi qui travaille dans la restauration et qui suis fille de chef . Il préparait des tournedos Rossini et des pommes de terre Sarladaise, une salade de gésier, et je lui proposais mon aide.

Il me demandait d’éplucher des pommes, alors que je m’affairais , il passait derrière moi, m’embrasait dan le cou ..hummm j’adore ! et passait une main sur mes fesses par dessous ma robe.

Oui comme il le souhaite je ne porte toujours pas de survêtement, puis il se dirigeait vers un placard, pour un prendre une bouteille de cognac pour ça sauce. Sans mauvais jeu de mots. En repassant j’eu le droit a ma petite tape sur le cul.

Pour en fini avec la cuisine, nous faisions à deux, la tarte aux pommes et préparions un plateau de fromage.

Puis il m'invitais à m’assoir sur le divan.  Sans que je mi attende, soulevait ma robe et se mit à me lécher et me caresser le sexe, mon péché mignon surtout quand sa langue viens délicatement se poser sur mon clitoris.  Il me fessait du bien, il enfonçait deux doigts dans ma chatte, le faisant remonter le long du vagin pour atteindre le point G, il connait bien l’anatomie féminine il me semble.

 Du bout de ses deux doigts il appliquait comme un massage. La je montait ça chauffait je tremblais je moullait comme une fontaine, ça langue sur mon clitoris finissait de me faire grimper aux rideaux. Et j’hurlais de plaisir.

Alors qu’il se relevait, je lui disais combien c’était bon et je l’embrassais à nouveau, mon dieu que cet homme sait me donner du plaisir, Je voulu lui rendre l’appareil, mais il refusait, et je m’en trouvais un peut vexée.

Il m’invitait à venir dehors avec lui ou je pu fumer une cigarette , alors qu’il que placer derrière moi. Je pus me caler dans ses bras. A ce moment je me disais que je pourrais vivre avec cet homme. Mais je revenais à la réalité . Puis il allait donner à manger a son cheval.

 Au moment de regagner le séjour, quelqu’un sonnait a la porte il allait ouvrir alors que je préparais des assiettes d’amuse-gueules.

Un homme qu’il semblait bien connaitre entrait il s’appelait Etienne un homme d’environ 50 ans. Il me présentait .

Je te présente la petite, Nathalie, une jeune demoiselle de 22 ans qui s’est offert à mon emprise,

Je m’approchais et le saluais en lui tendant la main. Et lui proposais a boire, voyant la bouteille de cognac il me dit qu’il y gouterait bien,

A peine sont verre servit, une autre personne se présentait à la porte, il s’agissait se coups si d’un autre ami de Monsieur William. Pascal un Martiniquais d’une quarantaine d’années.

Suivit d’une couple un homme appelé Hugo, qui devait avoir la cinquantaine également, il etait accompagné d’une toute jeune fille qui ne devait être guère plus âgée que moi une petite brune ronde au regard malicieux vêtue d’une jupe Ecossaise , un petit chemisier blanc, et de bas blanc un peu à la manière des petites étudiantes britannique. Enfin c’est l’image que je m’en fais elle s’appelait Marie.

J’aidais monsieur William à servir un verre et apportais les amuses gueules .

Je m’étais assise sur un pouf entre Mon maitre et Pascal. Nous discutions de tout et de rien.

Mairie s’adressant a moi me demandait ou etait la salle de bain, Je l invitais à me suivre, Elle voulut aller aux toilettes et j’en profitait pour retoucher mon maquillage.

Elle me rejoint pour se laver les mains et remettre du rouge à lèvre. Nous commencions à sympathiser, elle avait en réalités 20 ans et venait de la banlieue Lyonnaise l’homme avec qui elle etait venue  etait son maitre depuis ses 17 ans.

Il etait un ami de ses parents .

Nous rejoignons les hommes à l’apéritif et décidions de nous assoir tout deux sur la méridienne du divan . Alors que nous discutions toutes les deux, Karl dit : Avant que nous passion a table si vous nous offriez un spectacle.

Marie et moi nous regardions, et nous commencions à nous embrasser, elle passait une main sous ma robe pour atteindre mes fesses quelle caressait délicatement. Je me laissais faire et la laissait prendre le contrôle,  elle se mis à genoux pour passer sa tête sous ma robe, sa langue sur les lèvres de mon vagin commençais à me faire du bien. Karl se levait faisait écarter les cuisses de sa soumise pour que l’ensemble des quatre hommes est une belle vue, il soulevait également ma robe au-dessus de mon ventre.

Je me laissais glisser au sol et me mis nue, tandis que Marie etait venue se mettre contre moi pour me bouffer les seins et me caresser, mes mains posées sur ses fesses.

Marie ôtait son chemisier, et a mon tour je m’occupais de ses seins l’une de ses cuisses maintenant écartait les miennes et venait frotter mon sexe .

Les hommes ne parlaient pas et regardaient le spectacle, sirotant leurs verres.

Je ne sais trop comment nous avions fait mais, nos deux sexes se retrouvaient l’un contre l’autre, et nous bougions de façon à les sentir l’un contre l’autre et en passant une main je m’astiquais le clitoris, elle en fit autant. Je la sentais mouiller.

Marie me faisait changer de position pour entamer un 69, qui allait nous procurer notre plaisir à tous les deux, ça chatte avait encore le petit gout salé de l’urine et ça ne me déplaisais pas, elle me léchait aussi avec beaucoup de plaisir elle poussait de petit cris caque fois que ma langue touchait son clitoris.  Quand en fin l’on se mit à jouir.

Ce n’est certes pas aussi bon qu’une bite en moi, mai le plaisir etait la et nous avions satisfait aux plaisirs de nos maitres.

Monsieur William, nous dit de nous rhabiller, car il etait temps de passer à table.

Chacune de nous nous retrouvions entre deux hommes , et plat après plat il n’hésitait à nous caresser,

Pascal avait sortie sa queue, Marie après l’avoir masturbé c’etait penchée sur lui pour lui faire une fellation alors qu’il venait de finir son tournedos.

Je n’etait pas en reste puisque j’avais masturbé mes deux voisins, durant une partie du repas et qu’eux même avait fouillé ma petite chatte.

A la différence que Marie avait déjà reçu l’éjaculation du martiniquais en bouche.

Le repas à peine terminé, je me retrouvais à genoux à sucer Karl et Etienne Mon maitre lui se fessait sucer par marie, quand au martiniquais il regardait s étant déjà une premier fois vider les couilles.

Une bite dans chaque main je branlais et suçais les deux verges bien dures. Tout a coté de Marie.

Monsieur William allait s’assoir sur le divan,  il nous commandait de venir le sucer a deux.  Karl et Hugo eux nous prenaient en levrette. Mais avant que Etienne me pénètre il me mit une grande claque sur les fesses et s’introduit en moi. D’un coups sa bite s’enfilant bien au fond, ce qui fais pousser un grand râle. Tout en suçant Maitre William, Marie et moi en profitions pour nous embrasser.

Karl et Etienne échangeaient leurs places, et la différence etait notable sur la façon de faire, on voyait tout de suite que Karl se préoccupait peu plus du plaisir de se partenaire, ses mouvements etait plus long et le mouvement du bassin bien plus rond.

Maitre William avait fini par éjaculer, dans nos bouches. Avec Marie l’on se partageait le sperme chaud de mon maitre nous échangeant également le fluide en nous roulant des pelés .  Je jouis également une première fois sous les assauts de Karl, immédiatement celui-ci, entreprenait de ma sodomiser en prenant soins de de me lubrifier l’anus avec ma mouille. Une fois introduis-je passait une main sous mon ventre pour me caresser le petit bouton. L’ensemble des deux sensations affluaient mon plaisir

Marie elle maintenant sur le dos, continuait a se faire sauter par Etienne, qui ne se privait pas de l insultant la traitant de truie immonde et de grosse vache. Et elle gémissait de plus en plus fort toute en me regardant.

Mon plaisir revenait tandis que Karl lâchait son foutre dans mon anus, Puis il se dirigeait vers Marie pour qu’elle lui lave la queue avec sa bouche.

Je me relevait, et Mon maitre viens a moi et me pris dans ses bras, avant de se mettre a me malaxer la poitrine et de me la sucer ..

Hugo avait également fini son Œuvre, en se vidant dans la chatte de Marie .

A ce moment Karl attrapais dans son sac un martinet, et obligeait marie a s’appuyer sur la table de salle a manger, il lui fit sucer le manche du martinet, et lui infligeait une dizaines de coups sur les fesses, évidement sans retenir ses coups. Les fesses meurtries, Elle se mit à pleurer. Il enfonçait le martinet dans l’anus, et les insulte sur ses rondeurs repris ,

Karl fit signe a notre martiniquais, de venir mais avant de la Sodomiser, dix autres coups de martinet claquaient sur les fesses de la pauvre Marie.

Pascal l’enculait sans ménagement, tout en lui attrapant les seins qu’il serait très fort dans ses mains. Toujours des larmes dans les yeux elle subissait son grognant et gémissant

Nous regardions sans rien dire. Les verges de ses messieurs redevenant raides. Etienne m’attrapait par les cheveux et pour que je le suce.

Enculée, pendant plus de 5 minutes Pascal lui envoyait son sperme au fond de son anus.

A ce moment l’on me trainait par les cheveux et sans ménagement, jusqu’a la croupe de marie et l’on m’ordonnait de lui lécher l’anus et d’avaler le sperme qui en coulait.

Alors que je m’exécutais Monsieur William m ‘ordonnais de ma cambrer, et là je subissais à mon tour, les coups de Martinet sur mon derrière. Et a mon tour poussant des cris et pleurant je sentais la brulure dès l’lanières de cuirs s’abattent sur mes fesses. Suivis d’une sodomie de Hugo. Il fallait que j’en éprouve du plaisir alors je repassais ma main sous mon ventre pour pouvoir me caresser le minou. La douleur de mes fesses fouettées, la sensation de la sodomie et mes caresses. Fessait mon plaisir prendre le dessus.

Marie et moi nous retrouvions maintenant en position du 69 et tandis que l’on nous prenait encore nous devions nous lécher. Une bite et un langue sur nos chattes etait comme une récompense et nous y trouvions notre plaisir et notre jouissance, évidement quand ils eux jouirent .nous devions continuer a nous lécher et sucer la bite de nous assaillant .

Par 22ansapprentiesoumise - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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Vendredi 11 février 5 11 /02 /Fév 09:18

Le restaurant de mes parents étant fermé pour une semaine des travaux de réfection de la cuisine devant être effectué, Je profitais des lors de ses quelques jours pour m’occuper de moi.

 Mon petit ami etait retourné sur la route , Alors avec ma meilleure amie nous décidions de nous faire une journée fille et d’aller à la salle de sport et nos faire pomponner chez l’esthéticienne voir faire quelques boutiques.

Après avoir transpirée un peut et alors que je conduisais pour nous rendre chez notre esthéticienne mon téléphone sonnait , et sur l’écran de la voiture je vis que Monsieur William voulait me joindre hors Léa etait à côté de moi je du refuser l’appel, mais il insistait.

Il fini par laisser un message que j’allais écouter une fois seul en cabine.

Il me donnait rendez-vous pour ce soir le 10/02/2022 à 20 heure chez lui.  Bien sur je lui envoyais un sms de confirmation.

J’étais surprise puisque nous ne devions pas nous voir avant samedi. Je regagnais Léa et alors que l’on nous fessait les soins, elle me demandait pourquoi je n’étais pas chez moi depuis quelques jours.

Je lui bredouillais une excuse, mais elle comprit que je mentais, et me dit : Tu as rencontré quelqu’un ! J’hésitais et je lui répondais que oui , mais elle ne semblait pas vraiment surprise et elle commençait a me poser des questions , elle voulait tous savoir , comment il s’appelle , d’où il est comment est-il.

Je lui répondais simplement qu’il s’agissait d’un homme beaucoup plus âgé que moi .Elle etait surprise , et je lui expliquais qu’il ne s’agissait que de sexe et de plaisir. Et lui fis jurer de ne rien dire à personne. Mais elle se montrait curieuse alors je lui dis que je vivais des expériences nouvelles et qu un jour je lui raconterais.

Le soir je me rendais comme ordonné par mon maitre chez lui, Je l’embrassais et sans attendre nous ne partions pas très loin a Peyrins.

Arrivée sur place nous étions accueil, par un couple d’une quarantaine d’année au demeurant fort sympathique. Line et Bernard

Sur place il y avait un autre homme légèrement plus jeune plutôt bel homme. Gilles

L’on se présentait et Bernard , nous dit : Champagne et tous le monde dit oui , Alors que j’étais assise à siroter mon verre, Monsieur William racontait mes derniers exploits tout en caressant mes cuisses et ventant mes qualités de salope soumise soulevant ma jupe et comme d’habitude je ne portais point de survêtement.   

C’est la que Line vient se mettre à côté de moi, elle me souriait , et posa ses lèvres sur les miennes et une main sur l’une de mes cuisses pour accompagner celle de mon maitre. Sa langue pénétrait ma bouche et sa main étais maintenant posée sur mon sexe.

Tu mouille déjà me dit elle et elle enfonçait un doigt jusqu’a mon clitoris, ma langue et la sienne se mélangeaient, humm que j’ai apprécié ce moment de douceur.

William écartait, l’une de mes jambes pour offrir le spectacle a Bernard et Gilles . Puis il se levait passait derrière moi pour me mettre un bandeau sur les yeux. Tandis que Line m’avait mise nue .

Toujours assise sur le divan je sentais quelqu’un ouvrir mes cuisses et s’engouffrer pour me lécher le minou. Et je ne tardais pas avoir une bite dans la bouche.

Quelqu’un sonnait à la porte et j’entendais d’autres personnes arriver, mais occuper à sucer tandis que l’on me bouffait la chatte et qu’un autre me caressait.

Bientôt je sentais d’autres mains sur ma poitrine et mon ventre. Et ma petite chatte bien mouille je sentais une bite y entrer. Qui commençait son vas et viens mais ça ne durait pas une minute il se retirais et l’on me s fit mettre à genoux sur un coussin.  je sentais que des personnes etait autour de moi. Vas-y suce entendais-je. J’avais 3 queues autour de moi et il me semble de Line en avait tout autant.

 C’est là que j’ai eu une drôle d’impression une voix qui me semblais connue, je ne fais finalement pas plus attention que cela occuper à sucer et à branler les bites devant moi.

On bougeait et toujours à genoux j’attendais quelque seconde. Line placée devant moi debout me tenant la tête.me dit : Vas-y bouffe ma chatte ? La tête coincée par les mains de Line je n’avais pas le choix, Je luis léchais la moule sans oublier son clitoris tous gonfler, elle mouillait et j’en avais plein la bouche, une main etait passée par derrière et je me retrouvais a me faire fouiller le minou.

Elle m’enlevait mon bandeau, déposait un nouveau baiser sur me lèvre et en me traitant d’adorable pute et s’écartait pour laisser la place aux hommes.

 C’est là que je l’aperçu lui a priori ne m’avais pas encore reconnue, mais nul doute que lorsque que j’allait relever la tête il le ferait, là j’etait extrêmes gênée et en panique mais je ne pouvais pas faire grand-chose C’etait mon Oncle Antoine le frère de ma mère et je me retrouvais à genoux face à sa queue bien en érection, Bite a la main il baisait la tête et là il me vue gêné également par la situation. Ni l’un ni l’autre ne pouvions rien dire, je ne réfléchissais pas d’autant que Mon maitre m’ordonnait de le sucer.

Alors je pris sa bite dans une main et me mis à le sucer, il posait également une main sur ma tête comme pour me rassurer et profitait de se que je lui offrais. Line à côté de moi suçait également un homme. Chacun d’eux passaient dans nos deux bouches.

Puis nous nous mettions à 4 pates une queue dans la bouche tandis que l’un d’eux nous prenait en levrette, et la encore mon Oncle allait hésiter, je lui dit en me retournant : Vas y

Il caressait un peu mon sexe et il me pénétrait délicatement, et doucement il commençait les vas et viens, Même si c’etait mon oncle, en moi ce n’etait qu’une bite et elle me fessait autant de bien qu’une autre, il se prenait au jeu et se mit à me limer de plus en plus fort, et je haletais au rythme de ses assauts, puis il se retirait pour laisser la place à un autre. Ils n’étaient que six mais c’etait intense.

Je me retrouvais maintenant à chevaucher Monsieur William et pour moi c’est toujours plaisant. Il est mon maitre et même si l’on ne parle pas d’amour, j’ai pour lui des sentiments qui sont bien plus que de l’affection. Je lui obéie et lui fait confiance.

Bernard se plaçait derrière moi, et il me prenait par mon petit trou se calant sur les mouvements que j’avais avec mon maitre.

Et tandis qu’un autre me présentait sa queue à sucer, je jetais un œil du côté de Line qui, elle etait debout pencher en avant en train de se faire baiser et sucer mon oncle et un autre homme.

Le regard de mon oncle croisait le mien, quand je sentais le liquide chaud couler dans mon anus Bernard avait jouis alors que moi je ne commençais que seulement à monter en température .

Mon maitre aussi éjaculait en moi, Mon oncle lui etait maintenant entre la cuisse de Line.

Allonger sur le dos ma chatte recevait une autre bite, mais il me baisait mal. En plus il me respirait sur le visage et c’etait désagréable j’avais hâte qu’il en finisse, combien même je n’avais pas pris mon pied , et heureusement il éjaculait à assez vite et inondais lui aussi mon sexe.

Je me relevais et allais me servir un verre d’eau. J’avais soif et même Fain.  Mon oncle s’approchait de moi et discrètement me dit : Je suis désolé, je lui répondais de ne pas s’inquiéter, que je l’appellerais plus tard au téléphone, qu’il ne fallait pas que les autres ne s ‘en aperçoivent, et que j’étais là pour cela au même titre lui. Il me répondait alors je peux ? Je hochais la tête pour dire oui.

Il me prit par la taille, je m’appuyais sur une table et en levrette et il me baisait et je mis a avoir des frisson et a gémir, et je sentit son jus me remplir. Il ne s’arrêtait continuant le coït c etait bon ,puis a l’oreille il me demandait doucement, est ce que je peux t’enculer. Une fois encore je lui dis oui et lui tendais mes fesses, et je sentais son membre pénètre mon anus , et je passais ma main sur ma chatte toute mouiller pour me caresser le clitoris, je montai en pression de plus et mon plaisir arrivait

La soirée se continuait après quelques verres, notre partie reprenait jusque tard dans la nuit. Mais mon oncle lui se focalisait sur Line. Ne cherchant plus à avoir de rapport avec moi.

 

Rentrée chez moi , j’envoyais vite un message a mon oncle, et il me rappelait aussi tôt . L’on discutait un peu de ce qu’il c’était passé et nous nous promettions de garder le secret et il me remerciait de mettre offerte ainsi. Je me demande comment vont se passer les repas de famille,

Alors il y a quand même une personne a qui j’en parlais c’est Monsieur William.  Il ne dit rien d’autre que le silence etait d’or et me rassura.

moi 4moi 6
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Mercredi 9 février 3 09 /02 /Fév 19:49

Dans les toilettes de carrefour 1

Le mercredi ce n’est pas que le jour des enfants, c’est aussi mon jour de repos. La nuit précédente rappelez-vous j’ai été offerte par mon maitre, dans une tournante a des racailles d’un quartier de Valence, et je passais la nuit avec Monsieur William ça a été beaucoup plus câlin.  Oui j’aime bien aussi de temps en temps un peu de tendresse.

Donc en ce mercredi 09 février mon Maitre devant se rendre a Montélimar pour sont travail il m invitais a venir avec lui. Un petit rendez d’une demi-heure.

Et il m’emmenait déjeuner dans un restaurant du centre de valence. Et non ce coup je nus pas a allumer un clients pour me faire baiser dans les toilettes ! rire

Mais le repas avaler aux environs de 13h00 nous nous rendions à Carrefour de Montélimar, il fessait plutôt beau.

 Je portais une robe noire moulante et courte sans aucun sous-vêtement puisque ça met normalement interdit, et des bottine noire type rangers.  Mon maitre ma demander de sortir de sa voiture et de me montrer un peut, quand je croissais un garçon ou même plusieurs je devais me pencher en avant pour montrer ma croupe . Les premiers essais n etait pas concluant. Que lorsqu’un fourgon avec deux hommes garants à côté de nous alors que j’etait penchée a la fenêtre de William. Et alors que le passager descendait . Il me lançait Mademoiselle vous aller vous enrhumer .

Ma position ne laissait aucun doute, il avait vu mon cul et le fit savoir ainsi. Et il s’éloignait avec son collègue dans le Magasin tous deux se retournant et me regardant.

Monsieur sortit de la voiture, et me dit on va les suivre et tu vas les aguicher.  Nous les retrouvions dans le rayon frai ou ils achetaient de quoi se restaurer.

Passant devant eux je me montrais et allais leur dire : Je pense m’être enrhumé et Maitre William allait leurs proposer de me rejoindre dans la toilette handicapée de carrefour coté homme .

Ils passaient aux caisses et j’entrais dans les toilettes m’assurant que le vigile ne me voie pas, l’un deux me rejoignait tandis que le deuxième avec les courses restait a la machine à café avec William.

Assise sur les toilettes, je baissais sa braguette et en extirpais la bête. Je n’exagère même pas car même au repos elle etait balaise . Je le branlais tandis que penché sur moi il me caressait mon petit minou qui moullait déjà.  Je fini par le repousser pour prendre sa bite en bouche, ou elle finissait de gonfler. Je le pompais quelques minutes et il me fit relever pour me baiser rien d’extraordinaire il ma juste baiser mais son membre était tellement gros qu’il me faisait vraiment du bien . Mais malheureusement il etait vraiment excité, il m’attrapait par les cheveux en me demandant d’ouvrir ma bouche et me déchargeait une grande quantité d foutre dans la bouche, et il me dit attend la je t’envoie mon collègue et il partait .

C’était le tour de son collègue , bien que je le pris en bouche, il préférait me limer presque immédiatement en levrette après avoir mis son téléphone sur le lavabo pour faire des photos. Il s’avait s y prendre aussi il me baissait jusqu’a ce que je gémisse de plaisir, et il éjaculait en moi, et il prit une photo de ma moule remplis.

Il me demandait mon téléphone mais je lui donnais celui de monsieur William pour qu’il m’envoie les photos

Nous ressortions moi la première et je rejoins mon maitre .

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Mercredi 9 février 3 09 /02 /Fév 07:10

gb2 Remplis

Monsieur William ma envoyer sms lundi 7 SMS avec trois choix et sans explication

Choix numéro 1 : Une chambre d’hôtel

Choix numéro 2 : Un sauna

Choix numéro 3 : Une cave d’HLM

J’imaginais bien qu’il s’agissait de lieu de luxure. J’aime bien ce mot Luxure !

Je choisissais, les caves d’un HLM .

Peut être un choix dangereux , mais existant en ce qui me concerne, je reçu à ce moment un deuxième sms pour ma tenue de mardi suivant . Une jupe courte , un top ou tee-shirt , et des basquette et un string de mon choix.

Il m’avait convoqué pour 20 heures à son domicile. Et je mis rendais à l’heure convenu ave ma petite fiat 500.

On ne trainait pas à peine arrivée, me voilà assise dans le gros SUV de mon maitre direction le magnifique et pittoresque quartier de Fontbalette à Valence. Pour ceux qui ne connaissent pas ce n’est pas un endroit où l’on vient par plaisir puisque c’est le quartier mal famé de Valence.

D’ailleurs je ni etait jamais allée évitant cet endroit le plus possible. Il se garait près de la Médiathèque et passait un coup de fils. Je me sentais mal à l’aise un groupe de jeune a capuche faisait des rodéo avec leur moto, et s’approchaient de la voiture dangereusement et l’air menaçant . Un scooter avec deux jeunes s’arrêtait au niveau de la portière de Monsieur William et il nous invitait à le suivre.

Nous roulions encore quelques centaines de mètres et on se garait. Mon maitre me demandait de sortir et il m’emboitait le pas. Un jeune dit à un autre petit groupe de faire attention a la voiture.

Et l’on suivait le jeune. Une fois dans l’immeuble William saluait un autre homme que semblait être une sorte de chef et avait toutes les attitudes de la racaille de quartier comme on ce l’imagine. Il me dévisageait et il me dit : C ‘est toi la truie qui va tourner ? Je regardais William pas très rassurée il répétait sa question sur un ton beaucoup plus agressif. Et je répondais timidement OUI !

Ba aller dit-il encore : on va ! il ouvrait une porte et demandait à un jeune, de je dirais treize ou quatorze ans d’aller chercher les autres. Et a un autre de s’occuper du « bicrave » .

On descendait dans les caves qui apparemment ne servaient plus et il ouvrait la porte de l’une d’elle

La pièce etait plutôt propre pour une cave.  Il y avait un bureau et une chaise un canapé une table base et posée sur deux caisses de bois une télévision qui en plus fonctionnait et ou des clips de RAP passaient.

 Il me poussait dans pièce et sortait sa queue : un attroupement de jeunes de tous âges et dont certain ne devait pas avoir 15ans c’etait formé il demandait à Maitre William de sortir voulant rester seul avec moi et d’attendre dehors.

Et je dus le sucer : sous ses insultes. Bachir c’est son nom enfonçait sa queue loin dans ma bouche, et dit :  si je crache tu avale salle truie ce qui n’arrivait pas. Puis il me poussait violement sur le canapé

Il remontait ma jupe, écartait mes jambes, poussait un peut mon string et sans le défaire engouffrait sa bite en moi pour me baiser. Il me limait fort et me disait jouis salope. Je dus je l’avoue je simulais car quand il déchargeait je n’avais pas vraiment joui,

Il allait s’assoir sur la chaise, et dit c’est bon vous pouvez venir !!!!

 J’etait a genoux sans vraiment voir, qui ils étaient. Je suçais toutes les queues que je voyais , Des grandes, des petites, des épaisses certaine décalotter et d’autre non, des blanches des noirs des métisses ils devaient être au moins 15. Bientôt de nouveau sur le canapé l’un deux arrachaient mon string et alors que j’en suçait encore , je me fessais baiser à la chaine, j’étais leur pute et ils le disaient. Certain faisaient des selfies.

 Ils n’étaient en tout cas pas délicats, de vrai chien fou. Mais cela n’empêchait pas mes gémissements et mon plaisir. Certain jouirent sur mon visage, d’autres sur mes seins et encore d’autres dans mon vagin

Et certain, m’avaient bien baisé au moins trois fois. Je me sentais bien remplis un véritable sac a foutre. Mais c’est ce que j’aime et qui me procure du plaisir.et Monsieur William la bien compris

Sans que je nus le temps de prendre mon souffle, Bachir un pétard a la bouche revient a la charge basculée en avant je sentait sa queue fendre mon anus. Chacun de ses mouvements faisait couler le surplus de foutre reçus dans ma moule sur mes cuisses. Ses insultes continuaient, les autres l’encourageaient.

Trois heures à me faire tirer comme ça, j’étais morte de fatiguée.   

En rentrant Monsieur William me baisait à son tour, ceux-ci, avait réveiller sa libido. Et il jouait à un jeu qui me procurait aussi de l’envie et de la frustration à chaque fois qu’Il sentait que j’allais jouir il arrêtait, mon plaisir et retombait aussitôt puis il recommençait plusieurs l’avantage etait que sa durait longtemps mais mon dieu que c’est frustrant.

Mais quand il acceptait enfin que je jouisse là je poussais un crie de plaisir

Par 22ansapprentiesoumise - Publié dans : Mes rencontres - Communauté : 22 ans apprentie soumise
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